Des indices "très positifs" ont été enregistrés récemment par l'entreprise Sonatrach concernant une nouvelle découverte d'hydrocarbures au Niger, a annoncé, lundi à Hassi-Messaoud (950 km au sud d'Alger), le Président directeur-général (Pdg) du groupe Sonatrach, Adelmoumen Ould Kaddour. S'exprimant lors d'un point de presse, au terme de sa visite de travail et d'inspection dans la région, M. Ould Kaddour a fait état "d'indices très positifs enregistrés, ces derniers jours, sur une nouvelle découverte d'hydrocarbures, effectuée par Sonatrach, au Niger".
La région transfrontalière est en effet assez riche en hydrocarbures et en 2015, les deux pays avaient même convenu de substituer le contrat de prospection et de recherche que détenait la Sipex, par un contrat de partage de production (CPP) avec le groupe public Sonatrach.
Avec cette annonce de la Sonatrach, de nouvelles opportunités s'ouvrent pour le pays. En plus d'attirer de nouveaux investisseurs qui ne manqueront pas d'être séduits par le potentiel de la zone frontalière avec les champs pétroliers de l'Algérie et de la Libye, la confirmation de la découverte pourrait se traduire par de nouveaux débouchés pour le Niger. C'est le cas notamment de l'ancien projet du pipeline gazier transsaharien, renvoyé aux calendes grecques, qui devrait relier le Nigeria à l'Algérie en passant par le Niger. A défaut, la proximité du champ de Kafra I avec les installations pétrolières du Sud algérien offrirait également une autre alternative pour le Niger d'exporter son pétrole et donc de doper sa production
A.News
La région transfrontalière est en effet assez riche en hydrocarbures et en 2015, les deux pays avaient même convenu de substituer le contrat de prospection et de recherche que détenait la Sipex, par un contrat de partage de production (CPP) avec le groupe public Sonatrach.
Avec cette annonce de la Sonatrach, de nouvelles opportunités s'ouvrent pour le pays. En plus d'attirer de nouveaux investisseurs qui ne manqueront pas d'être séduits par le potentiel de la zone frontalière avec les champs pétroliers de l'Algérie et de la Libye, la confirmation de la découverte pourrait se traduire par de nouveaux débouchés pour le Niger. C'est le cas notamment de l'ancien projet du pipeline gazier transsaharien, renvoyé aux calendes grecques, qui devrait relier le Nigeria à l'Algérie en passant par le Niger. A défaut, la proximité du champ de Kafra I avec les installations pétrolières du Sud algérien offrirait également une autre alternative pour le Niger d'exporter son pétrole et donc de doper sa production
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