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Très bonne initiative surtout qu’elle vise les jeunes cadres de Sonatrach.
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Renforcement des capacités managériales du groupe sonatrach
HEC Montréal assure une formation à ses cadres dirigeants
Liberté
05/03/2007
Au moins cinquante jeunes cadres de Sonatrach ont commencé, hier à Alger, un cycle de formation managériale assuré par l’école canadienne des Hautes études de commerce (HEC) de Montréal.
Intitulé Energy Management Development Program (EMDP), ce programme de dix mois est encadré par le Centre de développement et d’application des techniques pétrolières et gazières (Naftogaz), a précisé à la presse le PDG de cette filiale de Sonatrach, M. Mohamed Raïs, en marge de la cérémonie de début de cours.
Après avoir enregistré un “grand succès” en Chine et au Mexique notamment, ce programme de formation vient d’être délocalisé en Algérie au profit des cadres dirigeants et des cadres supérieurs de Sonatrach, a-t-on indiqué sur place.
Pour sa part, la directrice exécutive des ressources humaines de Sonatrach, Mme Kheira Belkahla, a souligné que cette formation visait simplement à accompagner les cadres dirigeants du groupe, fraîchement désignés dans leur quasi-totalité, afin qu’ils puissent acquérir “des capacités managériales leur permettant d’assurer le plus convenablement possible leurs nouvelles tâches”.
Elle a précisé que parmi les responsabilités de ces jeunes cadres figurait notamment l’application du plan de refonte du système de rémunération au sein du groupe car, explique-t-elle, “les managers visés par cette formation sont censés décider des capacités et des objectifs de leurs collègue”. Ce genre de formation vient s’ajouter à d’autres programmes assurés en partenariat avec des instituts étrangers de réputation internationale et elle est “tout aussi nécessaire pour la préparation d’une relève compétente au sein de Sonatrach”, a-t-elle encore commenté.
Selon cette responsable, le groupe Sonatrach est le premier employeur du secteur économique en Algérie avec un total 120 000 travailleurs et compte recruter encore quelque 3 500 personnes en 2007 avec un niveau de technicien supérieur comme minimum requis.
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Renforcement des capacités managériales du groupe sonatrach
HEC Montréal assure une formation à ses cadres dirigeants
Liberté
05/03/2007
Au moins cinquante jeunes cadres de Sonatrach ont commencé, hier à Alger, un cycle de formation managériale assuré par l’école canadienne des Hautes études de commerce (HEC) de Montréal.
Intitulé Energy Management Development Program (EMDP), ce programme de dix mois est encadré par le Centre de développement et d’application des techniques pétrolières et gazières (Naftogaz), a précisé à la presse le PDG de cette filiale de Sonatrach, M. Mohamed Raïs, en marge de la cérémonie de début de cours.
Après avoir enregistré un “grand succès” en Chine et au Mexique notamment, ce programme de formation vient d’être délocalisé en Algérie au profit des cadres dirigeants et des cadres supérieurs de Sonatrach, a-t-on indiqué sur place.
Pour sa part, la directrice exécutive des ressources humaines de Sonatrach, Mme Kheira Belkahla, a souligné que cette formation visait simplement à accompagner les cadres dirigeants du groupe, fraîchement désignés dans leur quasi-totalité, afin qu’ils puissent acquérir “des capacités managériales leur permettant d’assurer le plus convenablement possible leurs nouvelles tâches”.
Elle a précisé que parmi les responsabilités de ces jeunes cadres figurait notamment l’application du plan de refonte du système de rémunération au sein du groupe car, explique-t-elle, “les managers visés par cette formation sont censés décider des capacités et des objectifs de leurs collègue”. Ce genre de formation vient s’ajouter à d’autres programmes assurés en partenariat avec des instituts étrangers de réputation internationale et elle est “tout aussi nécessaire pour la préparation d’une relève compétente au sein de Sonatrach”, a-t-elle encore commenté.
Selon cette responsable, le groupe Sonatrach est le premier employeur du secteur économique en Algérie avec un total 120 000 travailleurs et compte recruter encore quelque 3 500 personnes en 2007 avec un niveau de technicien supérieur comme minimum requis.
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