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Pétrole: le cours recule fortement à cause des indicateurs chinois moroses

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  • #16
    1,2,3,4,5,6 et 7 Marocains contre une Algérienne.

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    • #17
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      • #18
        @Mtim

        Ne jubile pas ???

        Baisse ou pas ..
        Le développement d autres secteurs en Algérie , telle l agriculture et l industrie multiforme

        Dans tous les cas , le pétrole va rester aux les algeriens :
        transport , énergie ..et....


        le petrole sa cote tombe ...
        Actuellement le GAZ qui est trop demandé dans le monde ,

        *L'homme se désigne comme un être qui évalue, comme l'animal estimateur par excellence.'( Nietzsche )
        A qui sait comprendre , peu de mots suffisent

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        • #19
          Envoyé par Pomaria
          Je commence à comprendre notre "james bond" du forum !
          Quand le cours du pétrole diminue, James est là pour nous le dire !
          Et quand Trump menace, il est là aussi !
          ha ha ha !
          Je partage généralement la presse que je lis quotidiennement , ne crois pas que le pétrole = Algérie ,

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          • #20
            Pétrole Brent à 56,35$ à 11h GMT

            Les investisseurs s'inquiètent de voir à la fois se multiplier les signes d'un ralentissement de l'économie mondiale, qui se traduirait par une baisse de la demande en énergie, et la recrudescence de la production de brut dans certains pays.

            "La stabilisation du marché du pétrole fait déjà partie de l'histoire ancienne et l'effet de la réduction de la production annoncée par l'Opep s'est entièrement évaporé", ont souligné les analystes de Commerzbank.

            Confrontée à une chute des cours, l'Organisation des pays exportateurs de pétrole s'est en effet mise d'accord début décembre avec ses partenaires, dont la Russie fait partie, pour réduire sa production d'environ 1,2 million de barils par jour (mbj) à partir de janvier.

            Mais lundi, "la Russie a rapporté que sa production de brut avait pour le moment atteint un niveau record de 11,42 mbj en décembre", ont remarqué les analystes de Commerzbank.

            Et l'agence américaine d'information sur l'énergie (EIA) a, dans un rapport, anticipé une hausse de la production de pétrole de schiste de 134.000 barils par jour aux Etats-Unis entre décembre et janvier alors même que la production est déjà à un niveau record dans le pays.

            La société américaine Genscape a par ailleurs fait état d'une hausse des réserves à Cushing, en Oklahoma, là où sont stockés les barils servant de référence au pétrole new-yorkais.

            Parallèlement, la chute généralisée des places boursières et la faiblesse de certains indicateurs, comme le repli marqué du moral des entrepreneurs allemands mardi, alimente la crainte de voir la croissance économique mondiale ralentir.

            "Toute la question est désormais de savoir si la réduction de la production décidée par l'Opep et ses partenaires va être suffisante", a relevé John Kilduff d'Again Capital.

            "On peut s'attendre à une nouvelle salve de commentaires des ministres du Pétrole des pays concernés visant à rassurer les marchés et peut-être à une révision de leurs objectifs dès janvier ou février", a-t-il avancé.

            zonebourse

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            • #21
              De plus en plus les analystes font dans le sensationnel et non l'objectivité, pour rappel la baisse opep sera en janvier tirer des conclusions en decembre c'est false; pour le reste le feu d'echec continu et ce yoyo plus il est bref plus il perturbe l'economie mondial et à 50 pas mal de vendeur à perte se feront hara kira dans les maisons de courtage

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              • #22
                ANALYSE
                La révolution de la fracturation hydraulique, qui a fait des Etats-Unis une superpuissance pétrolière en quelques années, nécessite des investissements gigantesques pour une rentabilité encore incertaine. Sous perfusion de Wall Street, le secteur reste très fragile.
                La police a conclu à un accident, mais beaucoup continuent à croire au suicide. L'homme venait tout juste d'être inculpé par la justice américaine pour avoir tenté de manipuler le prix du gaz et du pétrole. Il est monté dans sa Chevrolet Tahoe et a appuyé sur l'accélérateur. « On dirait qu'il s'est jeté directement contre le mur », a lâché le capitaine de la police d'Oklahoma. Légende de l'industrie des gaz de schiste aux Etats-Unis, Aubrey McClendon était le premier à avoir cru à la fracturation hydraulique , le fondateur de Chesapeake, l'un des plus gros producteurs du pays.


                C'était aussi un génie des montages financiers hasardeux permettant de lever de l'argent sans jamais en gagner. Si bien que deux ans après l'accident, les avocats et créanciers qui s'échinent à démêler ses affaires, continuent de s'interroger : est-il mort richissime ou bien ruiné ?

                Difficile de ne pas voir dans ce destin flamboyant l'allégorie d'un secteur où l'argent coule néanmoins à flots depuis des années sans qu'il ait jamais prouvé sa rentabilité. Dix ans après la révolution du schiste américain, analystes et experts demeurent bien en peine d'affirmer si extraire le pétrole et le gaz par fracturation hydraulique rapporte de l'argent. Dans son dernier livre, « Saudi America » , la journaliste la plus redoutée de Wall Street, Bethany McLean, qui fut la première à dénoncer les malversations d'Enron quand tout le monde criait au génie, dresse un diagnostic cruel. Sous perfusion continue de Wall Street, le secteur est, selon elle, incapable de tenir sur ses jambes. Et c'est sous nos pieds que la prochaine crise couve.

                Accueilli comme un sauveur

                Lorsqu'il a fait son apparition à la fin des années 2000, le gaz de schiste a pourtant été accueilli comme un sauveur outre-Atlantique : investisseurs et politiques étaient alors convaincus que les réserves de pétrole et de gaz allaient rapidement s'épuiser. Jusqu'à ce qu'un inconnu nommé George Mitchell prouve qu'il était possible d'en extraire de grandes quantités d'un sol que l'on pensait stérile, en y injectant horizontalement du liquide à haute pression. Un bouleversement qui a transformé en quelques années le pays en une superpuissance pétrolière et bousculé les équilibres géopolitiques mondiaux.

                Les Etats-Unis sont désormais les plus gros producteurs de gaz et de pétrole au monde et sont même brièvement devenus exportateurs nets de pétrole il y a quelques jours. Au point que Donald Trump se plaît à rêver d 'indépendance énergétique . « Tout ce qui n'est pas pérenne économiquement, qu'il s'agisse des dotcom qui perdent de l'argent ou des crédits immobiliers subprime, finit par connaître une fin malheureuse », prévient toutefois Bethany McLean.


                Car la fragilité du schiste tient précisément à son mode d'extraction. Les puits forés par fracturation hydraulique s'épuisent vite : selon la Fed régionale de Kansas City, la production des puits dans le bassin du Bakken (Dakota) diminue de près de 70 % la première année, et de plus de 85 % dans les trois ans, contre un recul de 10 % par an pour un puits conventionnel. « Pour maintenir une production d'un million de barils par jour, il faut jusqu'à 2.500 puits de schiste, écrit la journaliste. En Irak, moins d'une centaine suffit. » Les puits sont, certes, moins onéreux à construire qu'une plate-forme offshore, mais leur durée de vie est très courte. Pour continuer à croître, ou simplement maintenir la production à un niveau constant, les producteurs de schiste n'ont d'autre choix que de forer en permanence. Et pour forer, il faut du cash. L'accès au financement est donc crucial.

                Des producteurs très endettés

                Dans un environnement de taux nuls, cela n'a guère posé de problèmes depuis dix ans. Grâce à la politique ultra-accommodante de la Fed, le secteur s'est financé gratuitement sans jamais avoir besoin de gagner de l'argent, les remboursements d'intérêts progressant deux fois moins vite que les montants empruntés. Entre 2005 et 2015, la dette des producteurs nord-américains a donc triplé à 200 milliards de dollars. Il est probable que sans la crise de 2008 et la politique monétaire de Ben Bernanke, le schiste n'aurait jamais vu le jour.

                Opérant sur des cycles très courts, le secteur est en outre démesurément sensible aux variations de prix. Lorsque le brut tombe à 30 dollars le baril comme ce fut le cas début 2016, les puits doivent fermer . Mi-2016, les producteurs américains et canadiens perdaient en moyenne 350 millions de dollars par jour, selon le cabinet AlixPartners. Et à la fin de l'année, le nombre de puits en exercice avait reculé de plus de 65 %. Ce qui n'a pas empêché l'industrie de lever plus de 110 milliards de dollars de capital et de dette cette année-là, selon Dealogic, soit davantage que l'année précédente. Non pas pour investir, mais pour refinancer la dette.

                Symétriquement, la force des producteurs de schiste est de pouvoir rapidement s'adapter. Après l'effondrement du brut en 2016, l'industrie a réduit ses coûts, innové, développé de nouvelles technologies. « Le prix de revient a été considérablement abaissé », insiste Brian Youngberg, analyste chez Edward Jones. Plusieurs grands producteurs comme EOG ou Continental Resources ont même commencé à gagner de l'argent en 2018, portés par la hausse du brut, qui a gagné près de 25 % au cours des neuf premiers mois de l'année. De leur propre aveu, il est difficile de rester rentable quand le brut passe sous les 50 dollars le baril.

                Alors que les prix ont recommencé à baisser et sont passés lundi sous les 50 dollars pour la première fois depuis plus d'un an, la pression sur les producteurs va s'accroître à Wall Street. Certains hedge funds, comme Greenlight ou Kynikos, sont convaincus depuis longtemps que le secteur n'est pas viable. Pour eux, il n'y a guère de doute : Aubrey McClendon est mort ruiné.

                Elsa Conesa
                Bureau de New York
                The truth is incontrovertible, malice may attack it, ignorance may deride it, but in the end; there it is.” Winston Churchill

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                • #23
                  Envoyé par danube
                  pour rappel la baisse opep sera en janvier tirer des conclusions en decembre c'est false
                  les marchés boursier anticipent toujours !
                  Dernière modification par Monsieur, 19 décembre 2018, 21h52.

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                  • #24
                    Les marchés reagissent et n'anticipe jamais le petrole car il est soumit a des cartels et non à une croissance potentiel , comme dans notre cas les russes et l'arabie ont degainés mais là ou on les attends pas faire baissé les cours pour que le schiste encaisse le coup et diminue son expanssion avant janvier.

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                    • #25
                      Cours du baril de pétrole en euro dollar

                      • Jeudi 20 décembre 2018 17:37

                      Le Cours du baril de pétrole en dollars: 45.92 $ (-2.25 4.67% )
                      Le Cours du pétrole Brent en dollars: 54.89 $ (-2.35 4.11% )

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                      • #26
                        Un cours trop bas ou trop élevé n'arrangera les choses pour personne. Il faut soutenir l'idée d'un cours avoisinant 70$ le baril
                        Dernière modification par tafrawti, 21 décembre 2018, 00h29.

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                        • #27
                          Un cours trop bas ou trop élevé n'arrangera les choses pour personne. Il faut soutenir l'idée d'un cours avoisinant 70$ le baril

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                          • #28
                            Les Saoudiens font le double jeu: aux réunions de l'OPEP ils insistent sur la nécessité de baisser la production mais en réalité ils augmentent leur production suite aux demandes incessantes de leur Maître TRUMP:

                            Dernière modification par sergio, 21 décembre 2018, 10h06.

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                            • #29
                              Sergio ! avec cette image c'est mieux

                              L'Arabie se paye la tête de Touuuuuus les membres de l'OPEP

                              L'état séoudien fait tout ce qu'il faut pour se faire le maximum d'ennemis. ha ha ha !


                              Dernière modification par Pomaria, 21 décembre 2018, 10h33.
                              Lorsque vous changez votre manière de voir les choses, les choses que vous voyez changent !

                              Ne cédez donc plus à la tentation de victimisation, si vous voulez êtes l’acteur principal de votre vie.

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                              • #30
                                Il n'y a pas que l'Arabie qui se paye la tête de tous les membres de l'OPEP, la Russie aussi !

                                ""La production de pétrole en Russie en octobre 2018 a atteint un niveau inédit depuis la chute de l'Union soviétique, a constaté l'Organisation des pays exportateurs de pétrole (OPEP). sputniknews""



                                ""L'OPEP est morte, désormais, seules 3 personnes au monde s'amusent avec le prix du baril de pétrole

                                L'OPEP, l'organisation des producteurs de pétrole, a perdu son emprise sur le marché de l'or noir. Désormais, ce sont les actions (ou les tweets) de 3 hommes, les présidents Donald Trump et Vladimir Poutine, ainsi que le prince héritier saoudien Mohammed ben Salmane, qui détermineront les cours du pétrole en 2019 et au-delà, écrit Julian Lee, journaliste expert sur les questions liées au pétrole, dans Bloomberg.

                                La production cumulée des États-Unis, de la Russie et de l'Arabie Saoudite dépasse en effet celle des 15 membres de l'OPEP, une organisation dont les membres ont de plus en plus de mal à s'entendre. Ces 3 pays n'ont jamais pompé autant de pétrole, et l'année prochaine, chacun d'entre eux pourrait décider d'augmenter leur production encore davantage. wikistrike.com, 22 Novembre 2018""

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