Tant mieux que l'Afrique ne soit pas victime de mondialisation.
En outre qu'est-ce un PIB de 3,3 milliards de dollars pour 55 états d'ici 2030?
- Pour Aboubaker Omar Hadi, président de l’Autorité des ports et zones franches de Djibouti, le continent pourrait devenir le plus grand espace de libre-échange du monde.
Dans leur nouvelle stratégie en Afrique, les Etats-Unis annoncent une remise en cause des aides financières octroyées à certains pays du continent. Si l’aide internationale demeure importante, c’est surtout l’investissement qui assurera le développement et la prospérité de l’Afrique. Or sur ce terrain aussi, les Américains semblent bien en retrait. Paradoxe, quand dans le même temps, les Etats-Unis déplorent que nous allions chercher ces investissements auprès de ceux qui nous traitent en affaires comme de véritables partenaires.
Entre l’Asie, l’Europe et les Amériques, l’Afrique se trouve au centre des échanges internationaux. Cette assertion n’est pas seulement géographique. Chaque jour un peu plus, notre continent se donne les moyens de contribuer à la production mondiale de richesses.
(…).
Une classe moyenne croissante
Les barrières douanières sont pour le moment un frein à l’expression de notre potentiel commercial. C’est pourquoi l’Afrique entend se doter de la plus grande zone de libre-échange du monde d’ici à 2030. Une fois mise en œuvre, elle regroupera jusqu’à 55 Etats pour un PIB de 3,3 milliards de dollars (2,9 milliards d’euros). L’Afrique ferait en quatorze ans ce que d’autres continents ont mis plusieurs décennies à construire-.
Le Monde.fr
En outre qu'est-ce un PIB de 3,3 milliards de dollars pour 55 états d'ici 2030?
- Pour Aboubaker Omar Hadi, président de l’Autorité des ports et zones franches de Djibouti, le continent pourrait devenir le plus grand espace de libre-échange du monde.
Dans leur nouvelle stratégie en Afrique, les Etats-Unis annoncent une remise en cause des aides financières octroyées à certains pays du continent. Si l’aide internationale demeure importante, c’est surtout l’investissement qui assurera le développement et la prospérité de l’Afrique. Or sur ce terrain aussi, les Américains semblent bien en retrait. Paradoxe, quand dans le même temps, les Etats-Unis déplorent que nous allions chercher ces investissements auprès de ceux qui nous traitent en affaires comme de véritables partenaires.
Entre l’Asie, l’Europe et les Amériques, l’Afrique se trouve au centre des échanges internationaux. Cette assertion n’est pas seulement géographique. Chaque jour un peu plus, notre continent se donne les moyens de contribuer à la production mondiale de richesses.
(…).
Une classe moyenne croissante
Les barrières douanières sont pour le moment un frein à l’expression de notre potentiel commercial. C’est pourquoi l’Afrique entend se doter de la plus grande zone de libre-échange du monde d’ici à 2030. Une fois mise en œuvre, elle regroupera jusqu’à 55 Etats pour un PIB de 3,3 milliards de dollars (2,9 milliards d’euros). L’Afrique ferait en quatorze ans ce que d’autres continents ont mis plusieurs décennies à construire-.
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