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Corruption : la très chère facture pour le Maroc

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  • #16
    Oui évidemment ! En Algérie les dirigeants et les hauts fonctionnaires sont des gros pourris mais les policiers et les fonctionnaires de bas niveau sont des gens biens !

    Va raconter tes élucubrations ailleurs !

    C'est plus fort que toi tu fais du cachir pourri sans t'en rendre compte !

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    • #17
      Au Maroc, la corruption est un phénomène social important et touchant tous les secteurs de la société (santé, immobilier, justice, armée). Selon la Banque mondiale, elle représente environ 39 milliards de dollars par an . Régulièrement dénoncée par l'association Transparency Maroc, aucun gouvernement dans l'histoire du Maroc n'a eu la volonté politique de s'y attaquer sérieusement2. L'instance de lutte contre la corruption ne dispose ainsi d'aucun réel pouvoir2.

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      • #18
        Au maroc la grande corruption est centralisée et gérée par le mahzen. C'est est à dire le palais, les grandes fortunes qui tournent autour et l'armée. Aucune affaire ne se fait sans ce cercle et c'est est préjudiciable à l économie du pays.

        Il y a la petite corruption pour arrondir les fins du mois. Celle ci est un phénomène culturel au maroc. Du flic à l enseigants en passant par le médecin. Certains marocains sont fiers avec leur expression "ndawar m3ah". La grande majorité des marocains en souffrent.
        « Great minds discuss ideas; average minds, events; small minds, people. » Eleanor ROOSEVELT

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        • #19
          pour les danois là, un peux de retenu:

          https://www.transparency.org/cpi2019...ature/cpi-2019

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          • #20
            Bon over je vais exceptionnellement te répondre. Je n'ai pas pour habitude de suivre les mouches électroniques qui pour dévier du sujet principal te sorte un autre, car sincerement je pense que tu n'en fais pas partie.

            C'est normal que le Maroc soit mieux classé que l'Algerie dans le index de tranparency. Car la corruption economique au maroc est très centralisée. En Algérie elle très diffuse. Cela va du gouvernement au chef de projet qui réceptionne un projet public d infrastructure par exemple.

            Elle peut être plus facilement combattue au maroc.


            La petite corruption qui empoisonne la vie des citoyens au maroc n est pas très répandue en algerie. Elle a un autre nom, ça s appelle el maarifa. On se rends service entre maarifa. Il n y pas de argent mais elle est tout aussi nocive. Elle empêche la administration de fonctionner normalement
            « Great minds discuss ideas; average minds, events; small minds, people. » Eleanor ROOSEVELT

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            • #21
              Bledar tu n'as rien compris au classement de Trannparency International. Celui-ci ne prend en compte que la corruption publique. La corruption privée est impossible à déterminer précisément. Mais on peut au moins estimer que la corruption de la sphère privée va de paire avec la corruption de la sphère publique.

              POLITIQUE

              Corruption : l’Algérie régresse selon Transparency International

              Publié Il y a 24 heures le 25 janvier 2020
              Par Melissa NAIT ALI


              Les années se suivent et se ressemblent pour l’Algérie. En matière de lutte contre la corruption, le pays régresse. En dépit du brouhaha général provoqué par l’opération dite « mains propres », lancée en avril dernier dans l’objectif d’absorber la colère populaire et de détourner l’attention de l’opinion nationale, aucune avancée n’est réalisée en matière de lutte contre le fléau tentaculaire de la corruption.

              Que des scores médiocres qui donnent accès à un classement mondial peu enviable. Selon le rapport annuel sur l’indice de perception de la corruption (IPC), rendu public aujourd’hui par l’ONG Transparency International, l’Algerie arrive à la 106e place sur 180 pays dans le classement de 2019. Le score du pays n’est pas aussi réjouissant. L’Algérie obtient 35 points sur 100, enregistrant un recul d’une place comparativement à 2018 lorsqu’elle avait occupé la 105e position.

              Au plan régional, l’Algérie reste à la traine, en comparaison avec les scores des pays voisins. Dans l’IPC 2019, l’Algérie arrive loin derrière le Maroc 80e avec un score de 41 points sur 100 et la Tunisie 74e avec un score de 73/100. Selon le rapport, l’Algérie et l’Egypte se partagent la même position avec le même score. Les seuls pays d’Afrique du nord qui sont mal classés par rapport à l’Algérie sont la Mauritanie (137e avec 28 points) et la Libye (168e avec 18 points sur 100).

              Au niveau africain, l’Algérie est aussi loin derrière des pays comme le Burkina Faso (85e), l’Afrique du Sud (70e), le Sénégal (66e) ou encore le Rwanda (57e). Au niveau africain, le Botswana est le pays africain qui a le moins de corruption « 34e place avec un score de 61 sur 100 ». Il est suivi par l’Île Maurice en deuxième position sur le Continent, qui arrive au 56e rang.

              L’argent et la politique
              Transparency International relève à cette occasion que l’indice de Perception « de la Corruption 2019 révèle qu’un nombre impressionnant de pays ne montrent que peu ou pas de signes d’amélioration dans la lutte contre la corruption ».

              « Notre analyse suggère également que la réduction de l’influence de l’argent en politique et la promotion de processus de prise de décision inclusifs sont essentielles pour lutter contre la corruption », souligne Transparency International.

              Les responsables de l’ONG mettent également en garde contre, notamment, la connexion entre l’argent et la politique. « Les gouvernements doivent s’attaquer de toute urgence au rôle corrupteur des grosses sommes d’argent dans le financement des partis politiques et à l’influence indue qu’elles exercent sur nos systèmes politiques », explique Delia Ferreira Rubio, Présidente de Transparency International, citée dans le rapport.

              Pour sa part, Patricia Moreira, directrice générale de l’ONG, précise que : « Pour avoir une chance de mettre fin à la corruption et d’améliorer la vie des citoyens, nous devons nous attaquer à la relation entre la politique et l’argent. Tous les citoyens doivent être représentés dans la prise de décision ».
              Dernière modification par LockDown, 26 janvier 2020, 14h17.

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