Le Maroc en consultations avec des pays et des groupes financiers pour combler son déficit en devises

[Kech]

Bon an mal an; le maroc exporte (biens et services et transfert mre) pour environ 45 Mds $. Il a donc besoin d'environ 4 mds $/mois. 3 mois de dèche, et c'est un manque à gagner de 12 mds$.
le fond covid a procurer 3,5 mds$, la ligne de précaution FMI c'est 3,5 mds $, les différents emprunts c'est environ 2 mds$. il manquera donc 3 mds% qu'il faudra emprunter. Pour cela on approche toute sorte d'institution (BAD, BERD, club de paris etc etc). Dans la mesure ou notre économie est plutot ouverte et que notre monnaie sans être convertible est flottante, nous nous pouvons nous offrir de luxe d'imprimer 30 mds$.....
Ce que nous empruntons (ce qui n'est pas de la mendicité Si Harrachi), bien entendu qu'il nous en coûtera.Tout comme imprimer des billets finira par se payer. Alger risque d'aller assez rapidement devant ces mêmes institutions qu'il vomit aujourd'hui, tout simplement parce qu'il n'aura pas le choix. Ainsi va l'economie.
Tout ce pognon c'est pour que la société continue de fonctionner. A tout le moins, et c'est le plus important, les marocains constatent in situ, que cet argent n'est pas gaspillé. le seul revenu universel mis en place coute la bagatelle de 500 milliions $/mois.

rappelez vous de la sentence de Ferthat ait ali : Alger ne pourra sans doute pas lever plus d'un milliard et a un taux prohibitif s'il était amené à recourir aux marchés financiers.
c'est la mouise partout et personne n'en réchappera. Je ne me réjouis pas du sort prédit à mes frères algeriens, mais il n'est certainement pas plus clair que celui des voisins. Aussi s'envoyer nos tares réspectives à longueur de post devient fatiguant.Chacun regardant la bosse de l'autre

[Bachi]

Tant que le Maroc pourra emprunter, qu'il le fasse.
Et c'est tout bénéf pour l'économie marocaine.
Actuellement, tous les pays (riches) s'endettent. Le Canada, par exemple, à cause de cette pandémie, s'endette de 250 milliards de dollars, qu'il injectera dans l'économie.
C'est le temps de dépenser si on veut pas crever.

Ceux qui ne peuvent pas emprunter vont souffrir.

[Anzoul]

Parce que le mekhzen brade le phosphate pour enrichir le marocain

.

Il n'ya 'pas 'd'opep'' des phosphates pour espérer être un bradeur international.oeilfermé

[Kech]

et s'il y avait un opep du phosphate, nous en serions l'arabie saoudite.

[sergio]

Entre ( ) Record jamais enregistré
Un Dirham marocain dépasse 13 dinars algériens pour la première fois

[Anzoul]

et s'il y avait un opep du phosphate

Dieu nous en préserve,ce genre de cartel est la pire sangsue de l'humanité.

[Tizwel]

et s'il y avait un opep du phosphate, nous en serions l'arabie saoudite.

kech

Le phosphate ne pèse pas 1/1000 du chiffre d'affaire pétrole.

Bravo pour la comparaison

[jawzia]

Salut Harrachi et Saha ftourek

Tu aurais du essayer une carrière dans le tennis (même de table), tu as un de ces revers !!!

[Anzoul]

Chkoun medda7 le3roussa ?

[pioto]

L’activation de la Ligne de précaution et de liquidité de presque de 3 milliards de dollars du FMI sera sans doute suivie par d’autres recours aux emprunts extérieurs.

Comment ! un article sur l’économie marocaine sans les mots magiques: résilience, proactive, LPL c'est une juste une assurance...

[Kech]

Alger se dirige vers des emprunts nationaux, donc en dinars.
J'adore le passage sur le SO.. incidieusement il reconnaît que la position algérienne sur ce dossier est un frein pour accéder aux financements I ternationaux. Même dans le cadre d'un simple emprunt, le sahara est mis au menu.....à part ça, ça ne concerne en rien la junte

Le président algérien exclut le recours au FMI malgré la chute du pétrole

Abdelmajid Tebboune affirme préférer emprunter « auprès des citoyens » alors que l’Algérie devrait connaître une violente récession en 2020.

Le Monde avec AFP*Publié aujourd’hui à 16h32, mis à jour à 17h22

L’Algérie a exclu de contracter des prêts auprès du Fonds monétaire international (FMI) et des organismes financiers internationaux en dépit de la crise financière qui menace le pays en raison de l’affaiblissement des cours du pétrole, a affirmé le président algérien, Abdelmadjid Tebboune.*«*L’endettement porte atteinte à la souveraineté nationale*», a estimé M. Tebboune lors d’une rencontre avec des médias algériens diffusée vendredi 1er mai au soir.

L’Algérie est très dépendante de la rente pétrolière, qui représente plus de 90% de ses recettes extérieures, et ses réserves de change se sont réduites comme peau de chagrin, passant de 162,4 milliards d’euros en 2014 à près de 57 milliards d’euros fin 2019.

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Face à la chute des prix de l’or noir et à l’arrêt de l’économie à cause de la pandémie de Covid-19, M. Tebboune a assuré préférer*«*emprunter auprès des citoyens plutôt qu’auprès du FMI ou de la Banque mondiale (BM)*», rappelant la mauvaise expérience du pays après le recours à l’endettement auprès du FMI au début des années 1990.

Un déficit parmi les plus élevés de la région

M. Tebboune a précisé que l’argent du circuit informel, c’est à dire hors du système financier traditionnel, représentait*«*entre 6 000 milliards de dinars (42,57 mds EUR) et 10 000 milliards de dinars (près de 71 milliards d’euros)*», assurant que les propriétaires de fonds auraient*«*toutes les garanties et les facilitations (...) pour contribuer à l’économie nationale*».*«*Je préfère emprunter auprès des Algériens que d’aller vers le FMI ou d’autres banques étrangères*»*car*«*lorsque nous empruntons auprès de banques étrangères, on ne peut parler ni de la Palestine ni du Sahara occidental*», deux causes chères à Alger, a-t-il argué.

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Selon des prévisions du FMI, l’Algérie devrait connaître une récession en 2020 (-5,2%) ainsi qu’un déficit budgétaire parmi les plus élevés de la région en raison de la chute des cours du pétrole et du nouveau coronavirus.*« Face à la crise du coronavirus, notre point fort était que nous n’étions pas endettés », a ajouté le président. En 2018, la dette publique extérieure du pays était très faible (moins de 2% du PIB), mais selon le Premier ministre Abdelaziz Djerad, la dette publique intérieure a augmenté de 26% du PIB en 2017 à 45% du PIB en 2019.

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M. Tebboune a souligné que des pays*«*amis*»*-- sans les mentionner -- avaient proposé d’accorder des*«*prêts*»*mais qu’il avait décliné pour le moment. Le président algérien a également assuré que le pays n’aurait pas recours à la planche à billets car cela conduirait, in fine, à l’explosion du taux d’inflation, selon lui

Article du Monde