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Maroc : chute des exportations en mars de 30%, avril sera pire
bon au moins l'office des changes et Bank el Maghrib ne maquillent pas les choses...
Non jamais, hacha wa lillah ...! D'ailleurs nous les Algeriens on comprend pas pourquoi ,union européenne vous cherche des poux et vous mis en demeure:
Au prochain coup de sifflet vous rejoignez l'équipe des paradis fiscaux tellement la gestion de votre système bancaire est transparente... !
Sans doute momo avait raison : "kETROU HOUSSADNA" !
Tu sait très bien que ce sont des institutions crédible avec des vrais chiffres, et elles rendent publique leurs chiffres tout les 3 mois.
Que tu site quand sa t'arrange volontiers... (hcp, office des changes, Bam).
Droite des Valeurs
Gauche du Travail
Centre "Intérêt de Mon Pays"
Office des changes: Hausse dedu flux des IDE
Le flux net des Investissements directs étrangers (IDE) au Maroc a atteint près de 4,24 milliards de dirhams (MMDH) à fin mars 2020, contre 3,94 MMDH un an auparavant, soit une hausse de 7,5%, selon l'Office des changes. Ce résultat s'explique par une baisse des dépenses des IDE de 41,6% à 2,3 MMDH, plus importante que celle des recettes (-17,1%), indique l'Office qui vient de rendre publics les indicateurs des échanges extérieurs de mars, notant que l'évolution de ces principaux indicateurs comporte l'effet de la crise sanitaire liée au Covid-19.
Au titre des trois premiers mois de l'année, le flux net des Investissements Directs Marocains à l’Etranger (IDME) a baissé de 1,5 MMDH à près de 1,16 MMDH, fait savoir l'Office, précisant que les investissements directs marocains à l'étranger ont atteint 2,46 MMDH (-24,8%), tandis que les cessions de ces investissements ont plus que doublé (+693 millions de dirhams MDH). Quant aux envois de fonds effectués par les Marocains Résidents à l'étranger, ils ont enregistré une baisse de 4,7% à 14,53 MMDH à fin mars 2020.
Pour leur part, les recettes voyages ont atteint près de 16,85 MMDH à fin mars 2020 contre 16,47 MMDH une année auparavant, soit une hausse de 2,3%, tandis que les dépenses voyages ont baissé de 3,6% à 4,19 MMDH. Ainsi, l'excédent de la balance voyages s'est inscrit en hausse de 4,4%.
leconomiste.com
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Centre "Intérêt de Mon Pays"
Tu sait très bien que ce sont des institutions crédible avec des vrais chiffres, et elles rendent publique leurs chiffres tout les 3 mois.
Je n'en sais rien. Je n'ai fait aucun audit donc je fais avec (je considère qu'ils sont innocents jusqu'à preuve du contraire comme dans le cas des "travailleurs non rémunérés" ).
D'ailleurs nous les Algeriens on comprend pas pourquoi
les algériens ont d'autres chats à fouetter...parle un peux pour toi même...
,union européenne vous cherche des poux et vous mis en demeure:
Au prochain coup de sifflet vous rejoignez l'équipe des paradis fiscaux tellement la gestion de votre système bancaire est transparente... !
tu vois comment tu ne maîtrises pas la chose et tu te fais grillé pour rien. le problème avec l'UE n'est pas la système bancaire marocain.
Le Maroc reste sur la liste grise des paradis fiscaux. La liste publiée, mardi 18 février, par le Conseil de l’UE, indique que le Royaume figure toujours dans la liste grise. L’antichambre de la liste noire représente les pays qui coopèrent avec l’UE pour abolir les «pratiques fiscales dommageables». Les griefs de Bruxelles concernaient le régime fiscal de l’export et le régime des zones franches, considé*rées, aux côtés du statut de Casablanca Finance City (CFC), par l’Union euro*péenne comme dommageables.
Pour le gouvernement, «c’est une victoire car l’Europe reconnaît la confor*mité des régies fiscales de l’exportation et des zones d’accélération industrielle aux normes de bonne gouvernance». Reste maintenant à attendre la publication dans quelques mois de l’évaluation finale du régime de Casablanca Finance City par l’OCDE, seule organisation habilitée à statuer sur les places financières.
et encore une fois, ces chiffres ou ces données ou ces articles sont publiés sur les journaux marocains...je ne comprend tjr pas comment des forumeurs pensent avoir découvert la roue lorsqu'ils postent des chiffres et des données publiques au commun des marocains...
Sans doute momo avait raison : "kETROU HOUSSADNA" !
Selon le UNDP, la banque mondiale, le HCP et le UNECA. 10 millions Marocains seront en situation précaire potentiellement en etat de pauvreté en 2020 en partie à cause de la pandémie mais aussi de l'inégalité dans le pays.
Le Maroc s'attend à une décroissance de 4.5% pour 2020 avant une reprise en 2021, une 1ere depuis deux décennies à cause de la chute du tourisme et des exportations. Fitch dégrade la perspective de la note du Maroc avec une augmentation de la dette extérieure à 27% du PIB.
Les importations représentent le double des exportations. Ce n'est pas une situation confortable.
Le déficit commercial est en quelque compenser par deux services, l'envoi des devises des Marocains vivant à l'extérieur (MAE) et le tourisme, qui représente 80% des importations.
La Maroc s'attend à un déficit des comptes courants de 8.3% eu PIB en 2020 qui sera financer par des emprunts à l'étranger au vu des circonstances économiques (pandémie) avec une chute des réserves de change à 22 milliards $ pour 2020. Le déficit budgétaire sera de 7.2% du PIB.
Le problème politique du Sahara affaiblit l'économie marocaine et ses ressources. Le Maroc maintien une grande force militaire dans la région, le maintien du mur du Sahara et les investissements militaires ont leur poids en ressource dans l'économie.
The truth is incontrovertible, malice may attack it, ignorance may deride it, but in the end; there it is.” Winston Churchill
Covid-19 : Chute de 30% des exportations marocaines en mars 2020
Les importations ont pour leur part baissé de 16%. Au premier trimestre, les exportations reculent de 10%, les importations de 5%. Le solde de la balance commerciale se dégrade. Les chiffres du mois d'avril seront pires.
L’Office des Changes vient de publier les statistiques des échanges extérieurs à fin mars 2020, qui montrent les premiers impacts de la crise du Covid-19 sur la balance commerciale du Maroc.
Pour rappel, même si le Maroc n’a décrété l’urgence sanitaire que le 20 mars, son commerce international accusait déjà le coup de la forte propagation du virus chez les principaux partenaires du Maroc, notamment l’Union européenne. Cette propagation ayant causé une baisse de la demande étrangère, des perturbations des chaines d’approvisionnement, auxquelles est venu s’ajouter au Maroc, l’arrêt de plusieurs secteurs exportateurs ou consommateurs de biens importés.
En mars 2020, selon les calculs de Médias24, les exportations ont chuté de 30% ou de 8,5 milliards de DH, pour s’établir à 19,9 milliards. De leur côté, les importations ont reculé de 16% ou de 7,4 milliards de DH, pour s’établir à 38 milliards.
Ces contre-performances du mois de mars ont effacé les maigres réalisations des deux premiers mois de l’année.
En effet, à fin mars (premier trimestre), les chiffres de l’Office des changes montrent une chute de 10,6% ou de 8,1 milliards de DH des exportations qui s’établissent à 68,2 milliards.
En face, les importations ont baissé de 5,1% ou de 6,3 milliards de DH pour s’établir à 117,3 milliards. Le déficit commercial du Maroc s’est donc aggravé de 1,8 milliard, passant à 49,1 milliards de DH.
Aucun secteur exportateur n'est épargné
Aucun secteur exportateur n’a été épargné par la crise du Covid-19 :
- Automobile : -25,3% ou -5,2 milliards de DH
- Aéronautique : -19,2% ou -809 MDH
- Textile et cuir : -7% ou -657 MDH
- Phosphates et dérivés : -4,9% ou -568 MDH
- Agriculture et agroalimentaire : -2,5% ou -513 MDH
- Electronique : -19,5% ou -439 MDH.
Pour les importations, hormis les céréales (+13,6% ou +1,7 milliard) dont les achats augmentent à cause de la sécheresse, tous les autres postes affichent également des baisses :
- Biens d’équipement : -12% ou -3,8 milliards de DH
- Demi produits : -4,7% ou -1,3 milliard
- Produits bruts : -17,6% ou -1,1 milliard
- Produits énergétiques : -4,8% ou -884 MDH
- Produits finis de consommation : -3,2% ou -859 MDH.
Impact différé sur le tourisme
En ce qui concerne les autres composantes de la balance des paiements, les recettes de voyages ont enregistré une baisse de 14% en mars, à 5 milliards de DH. Ce qu’on peut qualifier de prouesse compte tenu de la crise, due aux pratiques de paiement dans le secteur touristique et au fait que le Maroc n’a décidé de fermer totalement ses frontières que le 15 mars.
A fin mars donc (1er trimestre), les recettes touristiques se contentent d’une légère hausse de 2,3% ou +337 MDH, alors qu’à fin février elles affichaient une performance de 11,5% ou +1,2 milliard de DH.
De même, les transferts des MRE ont enregistré une baisse de 14% en mars, à 4,6 milliards de DH. Sur le premier trimestre, ils enregistrent une baisse de 4,7% ou 725 MDH, à 14,5 milliards.
Enfin, le flux net des Investissements Directs Etrangers atteint 4,2milliards de DH à fin mars, soit une hausse de 295 MDH ou +7,5%.
Mais ce résultat s’explique par une baisse des dépenses des IDE de 41,6% ou -1.644 milliard, plus importante que celle des recettes (-1.349 milliard ou -17,1%). Les recettes d’IDE sont donc toujours en baisse, à l’instar des mois précédents.
Inutile de préciser que la situation des échanges extérieurs va se dégrader davantage à fin avril. Le confinement au Maroc, l’arrêt de plusieurs secteurs exportateurs, la fermeture des frontières qui a causé un arrêt net de l’activité touristique…, plusieurs facteurs conduiront à un choc déjà prévu par les analystes et économistes, choc qui sera probablement atténué par un recul plus prononcé des importations à cause du gel des investissements et de la baisse de la facture énergétique.
Dernière modification par Raco, 04 mai 2020, 17h58.
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