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Rabat, 19/04/07 - L'Agence de notation "Fitch Ratings" a attribué l’"Investment Grade" au Maroc, une note qui reflète les progrès remarquables accomplis aussi bien sur le plan politique, économique que social au cours des dernières années.
Le ministère des Finances et de la Privatisation a indiqué, dans un communiqué parvenu jeudi à la MAP, que "Fitch Ratings" note que le compte courant du Maroc est resté excédentaire depuis 2001, contribuant ainsi à une position extérieure nette qui excède celle de la plupart des pays de la catégorie "BBB".
L'Agence de notation souligne également que malgré une dette publique relativement élevée par rapport aux pays de la même catégorie, des efforts substantiels pour réduire le déficit budgétaire ont été déployés au Maroc.
Le marché domestique, aussi bien profond que liquide, offre une importante flexibilité au niveau du financement, ajoute l'Agence.
La structure de l'économie est entrée dans une phase de transition avec la réalisation d'investissements significatifs, qui sont de nature à augmenter les avantages comparatifs du Maroc. Ces derniers concernent le tourisme qui est devenu la principale source de devises, l'offshoring et la sous-traitance, précise l'Agence, citée par le communiqué.
Le secteur du textile a bien repris son activité après le démantèlement de l'accord multifibres intervenu en 2005 et le PIB s'est accru de 8,1 pc en 2006 soutenu par le tourisme, l'agriculture, le bâtiment et les infrastructures, note l'Agence, estimant toutefois que malgré les efforts de libéralisation déployés ces dernières années, contribuant à améliorer la croissance non agricole, la croissance globale n'a pas été suffisante pour réduire significativement la pauvreté qui demeure relativement élevée et pour résorber le chômage de façon soutenue.
Le Maroc a privatisé un certain nombre d'entreprises publiques et a réduit progressivement les barrières administratives qui entravent l'esprit d'entreprise. Des efforts significatifs ont été déployés pour restructurer le système bancaire et pour moderniser les marchés financiers, ajoute "Fitch Ratings".
L'agence note également que la vie politique a été libéralisée par SM le Roi Mohamed VI. Concernant les récents événements de Casablanca, Fitch considère qu'ils ne sont pas de nature à menacer la stabilité politique du pays.
Les réformes ont amélioré la gouvernance et le climat des affaires, malgré la relative faiblesse du système judiciaire. Ces réformes ont également contribué à attirer les investissements étrangers, précise la même source qui ajoute que les recettes provenant du tourisme, des produits manufacturés et des investissements directs étrangers augmentent à un rythme soutenu, permettant d'améliorer davantage les indicateurs extérieurs de la dette et de liquidité en 2007-2008.
Fitch s'attend à ce que l'élan des réformes soit soutenu au-delà des élections législatives prévues en septembre.
Le ministère des Finances et de la Privatisation a exprimé sa satisfaction quant à la notation attribuée par Fitch, qui témoigne des progrès réels accomplis par le Maroc en matière des réformes politiques, économiques et sociales, de maîtrise de son cadre macroéconomique et de réalisation d'une croissance forte génératrice d'emplois.
Le ministère des Finances et de la Privatisation a indiqué, dans un communiqué parvenu jeudi à la MAP, que "Fitch Ratings" note que le compte courant du Maroc est resté excédentaire depuis 2001, contribuant ainsi à une position extérieure nette qui excède celle de la plupart des pays de la catégorie "BBB".
L'Agence de notation souligne également que malgré une dette publique relativement élevée par rapport aux pays de la même catégorie, des efforts substantiels pour réduire le déficit budgétaire ont été déployés au Maroc.
Le marché domestique, aussi bien profond que liquide, offre une importante flexibilité au niveau du financement, ajoute l'Agence.
La structure de l'économie est entrée dans une phase de transition avec la réalisation d'investissements significatifs, qui sont de nature à augmenter les avantages comparatifs du Maroc. Ces derniers concernent le tourisme qui est devenu la principale source de devises, l'offshoring et la sous-traitance, précise l'Agence, citée par le communiqué.
Le secteur du textile a bien repris son activité après le démantèlement de l'accord multifibres intervenu en 2005 et le PIB s'est accru de 8,1 pc en 2006 soutenu par le tourisme, l'agriculture, le bâtiment et les infrastructures, note l'Agence, estimant toutefois que malgré les efforts de libéralisation déployés ces dernières années, contribuant à améliorer la croissance non agricole, la croissance globale n'a pas été suffisante pour réduire significativement la pauvreté qui demeure relativement élevée et pour résorber le chômage de façon soutenue.
Le Maroc a privatisé un certain nombre d'entreprises publiques et a réduit progressivement les barrières administratives qui entravent l'esprit d'entreprise. Des efforts significatifs ont été déployés pour restructurer le système bancaire et pour moderniser les marchés financiers, ajoute "Fitch Ratings".
L'agence note également que la vie politique a été libéralisée par SM le Roi Mohamed VI. Concernant les récents événements de Casablanca, Fitch considère qu'ils ne sont pas de nature à menacer la stabilité politique du pays.
Les réformes ont amélioré la gouvernance et le climat des affaires, malgré la relative faiblesse du système judiciaire. Ces réformes ont également contribué à attirer les investissements étrangers, précise la même source qui ajoute que les recettes provenant du tourisme, des produits manufacturés et des investissements directs étrangers augmentent à un rythme soutenu, permettant d'améliorer davantage les indicateurs extérieurs de la dette et de liquidité en 2007-2008.
Fitch s'attend à ce que l'élan des réformes soit soutenu au-delà des élections législatives prévues en septembre.
Le ministère des Finances et de la Privatisation a exprimé sa satisfaction quant à la notation attribuée par Fitch, qui témoigne des progrès réels accomplis par le Maroc en matière des réformes politiques, économiques et sociales, de maîtrise de son cadre macroéconomique et de réalisation d'une croissance forte génératrice d'emplois.
c'est vraiment bien 
les orientations économiques du pays.
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