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Les prix du Brent tournent autour des 42 dollars Le baril au point mort

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  • Les prix du Brent tournent autour des 42 dollars Le baril au point mort

    29 sep 2020
    Les cours de l'or noir démarrent la semaine, en légère hausse, mais restent plombés par le Covid-19 et une offre abondante.

    Ce n'est pas la grande forme. Les cours de l'or noir démarrent la semaine, en légère hausse, mais restent plombés par le Covid-19 et une offre abondante. Hier, vers 16h00, le baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en novembre, valait 42,48 dollars à Londres, en hausse de 0,07% par rapport à la clôture de vendredi dernier. Les prix du pétrole restent sous la pression d'un marché pléthorique et d'une pandémie de coronavirus dévastatrice, sur lesquels se sont greffés la décision de l'Arabie saoudite qui avait baissé les prix de son brut destiné à son principal marché, l'Asie et l'annonce par la Compagnie nationale libyenne de pétrole (NOC), le 19 septembre, de la reprise de la production et des exportations d'or noir sur les sites qu'elle a qualifiés de «sûrs». Cette information n'a guère contribué à plus de sérénité parmi les acteurs du marché pétrolier tout en plaçant le baril dans des conditions défavorables pour amorcer une marche en avant. Les prix de l'or noir qui ont souffert la semaine dernière, semblent sans boussole, sans direction et restent mitigés malgré la réduction de la production «historique» décidée par l'Organisation des pays producteurs de pétrole et ses partenaires dont la Russie. L'Opep+ veille au grain. «Les coupes de production, intervenues dans le cadre de l'accord Opep+ d'avril dernier, portant sur une baisse de 7,7 millions de barils/jour (mbj) en août, après des réductions de 9,6 mbj en juillet et de 9,7 mbj en mai et juin, ont été «des décisions opportunes et courageuses», a jugé le ministre de l'Energie, Abdelmadjid Attar, président en exercice de l'Opep, lors de la 22ème réunion du Comité ministériel mixte de suivi Opep-non Opep (Jmmc), qui s'est tenue le 17 septembre, par vidéoconférence. Force est de constater que si cette initiative, qui a incontestablement contribué à éviter un éventuel plongeon du baril, n'a pas non plus provoqué l'étincelle qui puisse le propulser à un niveau «intéressant». C'est le cas de l'Algérie qui a besoin d'un baril de 60 dollars, voire plus, pour équilibrer son budget, même si actuellement il évolue 10 dollars au-dessus de celui qui a servi de base (30 dollars) à la confection de la loi de finances 2020. Son rebond espéré n'est certainement pas pour demain. Les prix du pétrole sont bridés par au moins trois facteurs, font remarquer les experts: «L'augmentation à travers le monde du nombre de cas de Covid-19, l'incertitude entourant l'élection américaine et le retour des exportations de pétrole libyen sur le marché», estime Tamas Varga, analyste pour PVM. Outre l'offre, «le niveau de la demande est pénalisé par l'augmentation du nombre de cas de coronavirus, qui ne montre aucun signe de ralentissement aux Etats-Unis et s'étend une nouvelle fois en Europe», a renchéri, pour sa part, Avtar Sandu, analyste pour Phillip Futures. Le baril doit prendre son mal en patience... Pas de décollage dans l'immédiat.
    L’expression

  • #2
    Ce n’est pas la grande forme certes, mais les derniers évènements au caucase peuvent changer la donne si les tensions persistent.

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    • #3
      mais les derniers évènements au caucase peuvent changer la donne si les tensions persistent

      Pourquoi ne pas espérer une guerre entre l'Iran et les pays du Golfe pendant qu'on y est.
      Souhaiter la guerre chez les autres pour voir son niveau de vie s'envoler,il y qu'une mentalité pourrie pour le faire.

      Commentaire


      • #4
        vu le shift technologique vers les énergies renouvelables et le gaz naturel les prix vont continuer à osciller entre 30 et 50$ au moins pendant les 3 prochaines années.

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        • #5
          Anzoul
          j'attendais ta reaction. tu me fais dire ce que je n'ai pas dit. mais tout le monde sait que les prix du petrole sont imprevisibles surtout en temps de guerre, et c le cas au caucase.
          allah yahdik

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          • #6
            tu me fais dire ce que je n'ai pas dit.
            Et ce qui suit veut dire quoi selon toi ?

            Ce n’est pas la grande forme certes

            Commentaire


            • #7
              Ce n’est pas la grande forme certes
              assimiler cela à un souhait de guerre!!*
              ce n'est pas moi qui dis cela, c'est le début de l'article, et je ne faisais que reprendre ce qu'a dit le journaliste.
              Ce n'est pas la grande forme. Les cours de l'or noir démarrent la semaine, en légère hausse, mais restent plombés par le Covid-19 et une offre abondante. Hier, vers 16h00, le baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en novembre, valait 42,48 dollars à Londres, en hausse de 0,07% par rapport à la clôture de vendredi dernier....*
              voilà pq j'avais dis : "Allah yahdik" j'ajouterai cette fois ci: "wa yachfik" , car tu en as vraiment besoin!

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              • #8
                Tu sais pas que chaque mot a une signification et une certification


                Ce n’est pas la grande forme certes
                Ensuite tu te justifies par la guerre au Caucase comme si c'était un évènement très banale.

                T'es fatiguant a la longue,
                Il y a pas d'issue pour t'en sortir.

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                • #9
                  rouh Allah yahdik wa'chafik way'afik !

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                  • #10
                    Les cours du baril ne sont pas près de remonter avec la rédaction mondiale de la consommation et des nouvelles habitudes de consommation.

                    Commentaire


                    • #11
                      avec la réduction mondiale de la consommation, c'est vrai mais la reprise economique ne saurait trop tarder et va surement reprendre dès qu'un vaccin pour le covid 19 soit trouvé, et qui dit croissance economique dit reprise de la consommation et ds les deux cas le petrole retrouvera des couleurs!

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                      • #12
                        ont n est pas près d avoir un baril même à 100 dollars

                        Commentaire


                        • #13
                          avec la réduction mondiale de la consommation, c'est vrai mais la reprise economique ne saurait trop tarder et va surement reprendre dès qu'un vaccin pour le covid 19 soit trouvé, et qui dit croissance economique dit reprise de la consommation et ds les deux cas le petrole retrouvera des couleurs!
                          Oui probablement mais on ne retrouvera pas des niveaux de prix élever comme par le passé.

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                          • #14
                            personne ne parle des prix exceptionnels du passé, ni même de 100 $
                            le prix qui arrangerait les exportateurs tourne autour de 60-65-70-80 dollars, pour les importateurs moins de 30 $ serait l'idéal.
                            Dernière modification par Ismail, 29 septembre 2020, 17h36.

                            Commentaire


                            • #15
                              personne ne parle des prix exceptionnels du passé, ni même de 100 $
                              Je ne parle pas des prix à plus de 100 dollars car même à 80 dollars c'est plus qu'improbable. Les majors du pétrole comme BP commencent déjà à se désengager du pétrole pour investir dans les énergies renouvelables !

                              Envoyé par Les Echos fr
                              BP met le cap sur les énergies renouvelables
                              La major du pétrole britannique va investir plus de 4 milliards de dollars par an dans les énergies renouvelables tandis que sa production d'hydrocarbures va baisser de 40 %. Après une perte record, elle réduit son dividende de moitié pour limiter son endettement.
                              D'autres majors comme Shell et Total font exactement comme BP, donc d'ici 3 ans la tendance ne sera qu'encore plus forte. Des pays comme le Danemark ou le Maroc exportent même leur excédent qui proviennent des récentes installations d'énergies renouvelables !

                              le prix qui arrangerait les exportateurs tourne autour de 60-65-70-80 dollars, pour les importateurs moins de 30 $ serait l'idéal.
                              Non les exportateurs ont besoin de prix bien plus important pour équilibrer leur budget ! Malheureusement pour rester réaliste les pays exportateurs dépendants du pétrole sont obligés de faire des lois de finances avec des prix moyen potentiel bien plus bas ! Par exemple l'Algérie a besoin d'un pétrole qui tourne autour en moyenne autour des 140 dollars pour faire une loi de finance équilibrée.
                              Dernière modification par Nasser_, 30 septembre 2020, 00h43.

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