07.01.2021: L’État algérien négocie actuellement avec deux constructeurs automobiles mondiaux pour des investissements en Algérie. “Il s’agit de gros projets d’industrie mécanique qui généreront des écosystèmes dans lesquels évolueront plusieurs de leurs équipementiers et sous-traitants”, a indiqué le ministre de l’Industrie, Ferhat Aït Ali, lors d’un point de presse tenu, hier, au siège de son département.
Il s’agit d’investissements à capitaux exclusivement étrangers, souligne le ministre qui précise, dans la foulée, que ces deux marques de véhicules touristiques sont issues des continents européen et asiatique, sans préciser l’identité des deux constructeurs.
“Le gouvernement prépare la relance de cette industrie sur des bases solides qui rompent avec les pratiques du passé. Nous avons fixé les repères qui redonnent à la notion de valeur ajoutée toutes ses lettres de noblesse”, explique Ferhat Aït Ali. Signe de l’intérêt que suscite cette nouvelle politique, deux constructeurs de renom sont actuellement en discussion avec l’État algérien.
Dans le même temps, les premiers agréments pour l’importation de véhicules seront octroyés dès la semaine prochaine, annonce le ministre. “Il y a une quarantaine de dossiers finalisés et nous avons une commission qui doit se réunir dimanche pour commencer à libérer les concessions”, soutient-il. Il indique sur sa lancée que le mécanisme de concession ne profitera plus aux étrangers.
D’autres projets sont en cours d’examens pour des projets de véhicules utilitaires, dont les camions et les tracteurs. Par ailleurs, le ministre de l’Industrie a déclaré à la même occasion que le gouvernement est bien décidé à passer au peigne fin la situation du secteur public aux fins d’amorcer une nouvelle dynamique de redressement. Un travail d’audit par groupes et par filiales a été accompli et finalisé et servira d’un tremplin à l’identification d’un plan de relance et de relais de croissance.
le midi libre
Il s’agit d’investissements à capitaux exclusivement étrangers, souligne le ministre qui précise, dans la foulée, que ces deux marques de véhicules touristiques sont issues des continents européen et asiatique, sans préciser l’identité des deux constructeurs.
“Le gouvernement prépare la relance de cette industrie sur des bases solides qui rompent avec les pratiques du passé. Nous avons fixé les repères qui redonnent à la notion de valeur ajoutée toutes ses lettres de noblesse”, explique Ferhat Aït Ali. Signe de l’intérêt que suscite cette nouvelle politique, deux constructeurs de renom sont actuellement en discussion avec l’État algérien.
Dans le même temps, les premiers agréments pour l’importation de véhicules seront octroyés dès la semaine prochaine, annonce le ministre. “Il y a une quarantaine de dossiers finalisés et nous avons une commission qui doit se réunir dimanche pour commencer à libérer les concessions”, soutient-il. Il indique sur sa lancée que le mécanisme de concession ne profitera plus aux étrangers.
D’autres projets sont en cours d’examens pour des projets de véhicules utilitaires, dont les camions et les tracteurs. Par ailleurs, le ministre de l’Industrie a déclaré à la même occasion que le gouvernement est bien décidé à passer au peigne fin la situation du secteur public aux fins d’amorcer une nouvelle dynamique de redressement. Un travail d’audit par groupes et par filiales a été accompli et finalisé et servira d’un tremplin à l’identification d’un plan de relance et de relais de croissance.
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