Par Rédaction AE -16 janvier 2021 / 11 :43
Les prix du pétrole ont terminé la semaine en baisse
Les prix du pétrole ont terminé en baisse vendredi, le marché reprenant son souffle après un début d’année en fanfare tandis que la pandémie de Covid-19 continue de planer sur la demande actuelle et future d’or noir.
A Londres, le baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en mars a perdu 2,34%, ou 1,32 dollar, pour finir à 55,10 dollars.
A New York, le baril américain de WTI pour le mois de février a abandonné 2,26%, ou 1,21 dollar, pour clôturer à 52,36 dollars.
Les prix du brut « s’affichent en baisse après avoir atteint leur plus haut niveau en onze mois et alors que le dollar remonte« , a souligné Phil Flynn de Price Futures Group.
Un billet vert plus cher rend en effet le baril plus onéreux pour les investisseurs munis d’autres devises. Par ailleurs, a ajouté le spécialiste, les courtiers procèdent à des prises de profit avant un week-end de trois jours aux États-Unis: lundi est férié en hommage à Martin Luther King.
Plus fondamentalement, « les mauvaises nouvelles sur le front du coronavirus suscitent l’incertitude » des investisseurs, a aussi expliqué
Plus de 30 millions de cas de contaminations au nouveau coronavirus ont été officiellement recensés en Europe, selon un comptage réalisé par l’AFP à partir de bilans fournis par les autorités de santé vendredi.
La résurgence du virus frappe aussi la Chine, qui avait largement maîtrisé l’épidémie mais a recensé jeudi son premier décès dû au Covid-19 depuis mai. « Malgré la correction de ces dernières heures, le scénario reste favorable au pétrole, qui est toujours placé dans un mouvement positif à long terme« , nuance Carlo Alberto De Casa, d’Activtrades.
Dans son rapport mensuel publié jeudi, l’Organisation des pays exportateurs de pétrole (OPEP) n’a pas révisé à la baisse ses prévisions de rebond de la demande cette année.
De plus, Joe Biden a dévoilé jeudi un nouveau plan de relance d’urgence de 1.900 milliards de dollars, censé sortir les États-Unis de leur pire crise depuis les années 1930 et dont devrait profiter la demande pétrolière.
Algérie Eco
Les prix du pétrole ont terminé la semaine en baisse
Les prix du pétrole ont terminé en baisse vendredi, le marché reprenant son souffle après un début d’année en fanfare tandis que la pandémie de Covid-19 continue de planer sur la demande actuelle et future d’or noir.
A Londres, le baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en mars a perdu 2,34%, ou 1,32 dollar, pour finir à 55,10 dollars.
A New York, le baril américain de WTI pour le mois de février a abandonné 2,26%, ou 1,21 dollar, pour clôturer à 52,36 dollars.
Les prix du brut « s’affichent en baisse après avoir atteint leur plus haut niveau en onze mois et alors que le dollar remonte« , a souligné Phil Flynn de Price Futures Group.
Un billet vert plus cher rend en effet le baril plus onéreux pour les investisseurs munis d’autres devises. Par ailleurs, a ajouté le spécialiste, les courtiers procèdent à des prises de profit avant un week-end de trois jours aux États-Unis: lundi est férié en hommage à Martin Luther King.
Plus fondamentalement, « les mauvaises nouvelles sur le front du coronavirus suscitent l’incertitude » des investisseurs, a aussi expliqué
Plus de 30 millions de cas de contaminations au nouveau coronavirus ont été officiellement recensés en Europe, selon un comptage réalisé par l’AFP à partir de bilans fournis par les autorités de santé vendredi.
La résurgence du virus frappe aussi la Chine, qui avait largement maîtrisé l’épidémie mais a recensé jeudi son premier décès dû au Covid-19 depuis mai. « Malgré la correction de ces dernières heures, le scénario reste favorable au pétrole, qui est toujours placé dans un mouvement positif à long terme« , nuance Carlo Alberto De Casa, d’Activtrades.
Dans son rapport mensuel publié jeudi, l’Organisation des pays exportateurs de pétrole (OPEP) n’a pas révisé à la baisse ses prévisions de rebond de la demande cette année.
De plus, Joe Biden a dévoilé jeudi un nouveau plan de relance d’urgence de 1.900 milliards de dollars, censé sortir les États-Unis de leur pire crise depuis les années 1930 et dont devrait profiter la demande pétrolière.
Algérie Eco
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