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Crise. L’Algérie confrontée à une pénurie de pâtes

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  • Crise. L’Algérie confrontée à une pénurie de pâtes

    Publié le 28/02/2021 - 13:40

    Ces jours-ci, il est quasiment impossible de trouver des pâtes dans les épiceries algériennes et les rares paquets que l’on trouve sont hors de prix. En cause, la décision du gouvernement algérien de mettre fin à la subvention du blé en septembre 2020.




    Depuis quelques jours, les Algériens ont vu les paquets de pâtes alimentaires se faire rares dans les rayons des magasins et chez l’épicier du coin. Et s’ils en trouvent, ils doivent débourser en moyenne 20 à 30 % de plus que d’habitude. En cause, une spirale spéculative due à la levée en septembre 2020 des subventions du blé tendre et dur.

    Malgré le gel de cette décision annoncé par le ministre du Commerce, les prix ont continué à grimper et la pénurie se poursuit. De plus en plus incapable de financer les aides sociales, le gouvernement algérien avait décidé de faire des choix : continuer à subventionner la semoule et mettre un coup d’arrêt aux subventions des produits dérivés de la farine, à l’image des pâtes alimentaires.

    ETC...

    Courrier international

  • #2
    La pénurie des pâtes qui devient une crise!!!!!!

    franchement les titres des journalistes....

    comme si les pâtes étaient le plat national de l'Afrique du nord....


    PS: on ne lira jamais, Crise. L'Italie confrontée à une pénurie de couscous

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    • #3
      Kayen el khout fi el moghrib...ils vont nous inonder de pates et de bananes..

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      • #4
        Overclocker

        PS: on ne lira jamais, Crise. L'Italie confrontée à une pénurie de couscous

        Les pates , ça inclut aussi le couscous et la vermicelle , toutes les pates meme italiennes sont très consommées en Algérie comme au Maroc, faciles à préparer , rassasiantes et pas chers .

        Autre article en ce sens :

        Les moulins de Amor Benamor reprennent la production

        Par Arezki Benali -24 février 2021

        Les moulins de Amor Benamor des pâtes alimentaires et de couscous à Guelma ont repris hier (mardi) la production, après un arrêt depuis le mois d’août 2020.

        Selon le journal El Watan de ce mercredi, les lignes de production de l’usine Amor Benamor ont commencé à tourner après l’arrivée d’une première cargaison de matière première « le blé ». « Une cargaison de 23 587 tonnes de blé dur, est arrivée du Canada à bord d’un navire, le Federal Hudson, battant pavillon de Marshall Islands. En rade au port commercial de Annaba depuis le 14 janvier dernier, il a été bloqué durant 34 jours avant d’avoir l’autorisation d’accéder et de décharger. Ce qui a coûté à l’importateur, le groupe Amor Benamor, 544 000 dollars en surestarie », rapporte la même source.

        L’information a été confirmée hier par B. Abdlatif, le représentant d’un millier de travailleurs du groupe Amor Benamor, cité par le même journal. Il a précisé que la production concernera dans un premier temps le couscous avant de passer aux pâtes courtes et longues.

        « Après l’arrivée de la matière première, nous avons entamé aujourd’hui (hier, ndlr) la reprise, à travers la mise en marche de nos 12 lignes de production. Nous avons commencé par le couscous avant d’enchaîner immédiatement avec les pâtes courtes et longues, au grand bonheur de notre clientèle », a-t-il expliqué.

        L’Office algérien interprofessionnel des céréales a repris l’approvisionnement de l’usine de Amor Benamor en blé subventionné par l’Etat qui sera destiné « exclusivement » à la production de la semoule.

        Des sources ont indiqué à El Watan que l’administrateur désigné par le justice au groupe « a débloqué immédiatement les comptes bancaires, l’importation de la matière première est désormais acquise, impliquant la pérennité des 1000 emplois directs et autant indirects ». Ces derniers sont sans salaire depuis le début de l’année et, en majorité, mis au chômage technique d’office.

        L’arrêt de la production des moulins de Amor Benamor et l’absence de ses produits sur le marché depuis plusieurs mois a impacté les prix des pâtes alimentaires et du couscous qui ont flambé, sachant que les parts de marché du groupe sont estimées à 25%.

        Algérie Éco

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        • #5
          le gouvernement algérien avait décidé de faire des choix : continuer à subventionner la semoule et mettre un coup d’arrêt aux subventions des produits dérivés de la farine, à l’image des pâtes alimentaires.

          c'est la semoule du couscous, ou je me trompe???

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          • #6
            Je ne vois pas de différence entre : blé, semoule et farine , et je ne comprends pas pourquoi subventionner l'un et pas l'autre , tout est blé !

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            • #7
              L’Algérie met fin à la subvention systématique des blés tendre et dur. Si les prix des farines panifiables et semoules restent inchangés, la subvention sera néanmoins supprimée pour le blé tendre et le blé dur destinés à la fabrication d’autres types de farines et de pâtes alimentaires et couscous, en vertu de deux décrets exécutifs parus ce lundi 7 septembre au Journal officiel.


              Le premier décret portant sur la fixation des prix aux différents stades de la distribution des farines et des pains, maintient le prix de cession au consommateur du kilogramme de farine ordinaire à 27.50 dinars. Le prix de cession aux boulangers est maintenu aussi à 2000 dinars le quintal.


              « Les quantités de blé tendre destinées aux autres types de farines sont cédées par l’OAIC aux minoteries par référence à leur prix non subventionné », est-il en revanche stipulé dans l’article 9-bis du même décret.

              Le prix de la semoule destinée aux ménages ne bougera pas aussi, en vertu du deuxième décret. Il reste fixé à 38.5 Da et à 42.5 Da pour la semoule ordinaire et extra respectivement.

              « Le différentiel entre le prix de revient réel, toutes charges et taxes comprises, du blé dur destiné à la production des semoules courantes et des semoules extra pour le consommateur et le prix entrée semoulerie fixé à l’article 6 ci-dessus, est pris en charge par l’État », prévoit le décret.

              Mais la subvention ne touche pas le blé dur destiné à la production des pâtes, couscous et autres dérivés, qui sera « cédé par l’OAIC aux semouleries au prix non subventionné ».

              Sur le marché, le blé dur coûte environ 4 000 dinars le quintal, alors qu’il est cédé aux minoteries à 2280 dinars. La différence est supportée par l’Etat, sous forme de subvention directe afin de maintenir les prix de la semoule, produit de base de la consommation des ménages algériens, à la portée de tous.
              Dernière modification par hakimcasa, 01 mars 2021, 12h43.

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              • #8
                Toutes ces subventions qui ont vidé les caisses de l'Algérie doivent s'arrêter au profit d'une redistribution plus juste et ciblée.
                Quand le pouvoir de l'amour dépassera l'amour du pouvoir, le monde connaîtra la paix (Jimi Hendrix)

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                • #9
                  Toutes ces subventions qui ont vidé les caisses de l'Algérie doivent s'arrêter au profit d'une redistribution plus juste et ciblée.
                  C'est obligé. Le gouvernement se positionne avant fin 2021 pour pouvoir déposer ses demandes de financement aux bailleurs de fonds internationaux. La premiere condition sera Pas de subventions...

                  Le probleme c'est que le peuple n'a pas les moyens de vivre en Algerie sans les subventions. Le SMIG est tres faible.

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                  • #10
                    A votre place, j'aurai aussi peur pour lemrarka elli khedamine 3end syadhoum.

                    Votre compassion me touche...au plus haut de point de ma...

                    Commentaire


                    • #11
                      des pates partout, y'a pas de crise, mais une légère hausse des prix

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