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M. Abdelhamid Temmar, ministre des Participations et de la Promotion des investissements, a souligné que les réformes économiques entamées en 2000 en Algérie “ont commencé à donner des résultats, les investissements hors hydrocarbures s’étant multipliés par quatre en 2005-2006, atteignant le milliard de dollars”. M. Temmar, qui a participé au Forum économique mondial (FEM), dont les travaux ont pris fin dimanche dernier, à la station balnéaire de la mer Morte (Jordanie), a déclaré à l’APS que les hommes d’affaires arabes et étrangers ont montré un vif intérêt pour l’investissement en Algérie, devenue, a-t-il dit, une “destination attractive”, soulignant les facilités accordées par les pouvoirs publics aux investisseurs aussi bien étrangers que nationaux.
“Nous avons, a-t-il ajouté, beaucoup de demandes d’investissements étrangers, mais à proposition égale, nous prenons automatiquement la proposition nationale”, signalant que parmi les investisseurs, ce sont “les Arabes qui sont les moins informés sur notre économie”. “Si le marché algérien fait l’objet d’un intérêt particulier des opérateurs économiques étrangers, cela ne veut dire nullement que nous avons réglé tous nos problèmes”, a indiqué M. Temmar qui a fait état d’un “redéploiement de l’appareil de production nationale” et relevé les réformes mises en chantier et touchant notamment le secteur des banques ainsi que la privatisation.
“Ces réformes mettent du temps dans tous les pays du monde pour apporter leurs premiers fruits”, a-t-il expliqué tout en se félicitant de l’intégration de l’économie algérienne qui est “la plus intégrée” dans la région euroméditerranéenne. Pour M. Temmar, la recherche et le développement et la mise à niveau des ressources humaines et des entreprises constituent “l’essentiel de notre approche pour pénétrer le marché européen et réussir la bataille de la mondialisation”. Évoquant le Forum économique mondial (FEM), M. Temmar a suggéré la création d’un “forum économique mondial pour le Maghreb”, une région qui, avec ses 100 millions d’habitants, s’impose, a-t-il dit, comme un “marché infiniment important”.
source : Liberté
“Nous avons, a-t-il ajouté, beaucoup de demandes d’investissements étrangers, mais à proposition égale, nous prenons automatiquement la proposition nationale”, signalant que parmi les investisseurs, ce sont “les Arabes qui sont les moins informés sur notre économie”. “Si le marché algérien fait l’objet d’un intérêt particulier des opérateurs économiques étrangers, cela ne veut dire nullement que nous avons réglé tous nos problèmes”, a indiqué M. Temmar qui a fait état d’un “redéploiement de l’appareil de production nationale” et relevé les réformes mises en chantier et touchant notamment le secteur des banques ainsi que la privatisation.
“Ces réformes mettent du temps dans tous les pays du monde pour apporter leurs premiers fruits”, a-t-il expliqué tout en se félicitant de l’intégration de l’économie algérienne qui est “la plus intégrée” dans la région euroméditerranéenne. Pour M. Temmar, la recherche et le développement et la mise à niveau des ressources humaines et des entreprises constituent “l’essentiel de notre approche pour pénétrer le marché européen et réussir la bataille de la mondialisation”. Évoquant le Forum économique mondial (FEM), M. Temmar a suggéré la création d’un “forum économique mondial pour le Maghreb”, une région qui, avec ses 100 millions d’habitants, s’impose, a-t-il dit, comme un “marché infiniment important”.
source : Liberté
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