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Laâyoune compte sur l’offshore pour s’ouvrir à l’international

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  • Laâyoune compte sur l’offshore pour s’ouvrir à l’international

    L'état et le secteur privé compte dynamiser les régions du Sud en y créant des zones franches d'exportations basés sur l'exportation de produit industriel, comme dans la zone franche de Tanger (Tanger Free Zone).

    Le décollage de Laâyoune

    L’offshore pour s’ouvrir à l’international

    · La CDG partenaire de l’opération

    · Les Canariens intéressés


    Mettre en place une zone franche d’exportation à Laâyoune, c’est le dossier sur lequel travaillent actuellement l’Agence de développement du sud, les autorités locales de la ville et la CDG (Caisse de dépôt et de gestion). Cette dernière est, de fait, le chef de file de l’opération qui est programmée sur une superficie de 100 hectares avec possibilité d’extension. En effet, pour la future zone deux sites proches du port de Laâyoune ont été proposés. «Le premier site pourrait être aménagé et mis en activité assez rapidement, alors que le deuxième ne sera exploité qu’au vu de la réussite de la commercialisation des lots du premier», est-il indiqué. « Pour l’heure, le projet de décret pour lancer cette zone d’offshoring est finalisé », précise M’hamed Dryef, wali de la région de Laâyoune-Boujdour-Sakia El Hamra.
    Par ailleurs, une étude de faisabilité est aujourd’hui au stade de l’approbation par les différents intervenants dans le dossier. Elle a été réalisée par un cabinet canadien. Il s’agit à travers cette démarche de définir le positionnement de la future zone, à savoir l’infrastructure, la dimension des lots sans oublier les services nécessaires à son fonctionnement. De fait, l’aménagement d’une zone franche permettrait à l’archipel canarien de disposer d’un point de liaison avec le voisinage africain. Pour la région, l’implication des Espagnols, au-delà d’attirer des investisseurs étrangers dans la zone, permettra aux initiateurs de la démarche de profiter de leur expérience en matière d’offshoring. C’est aussi un moyen d’intensifier les échanges commerciaux avec les Iles Canaries. Il permettra d’une part d’offrir aux investisseurs un cadre fiscal clair et transparent, prévu par les textes légaux régissant les zones franches. Une situation qui mettrait fin au flou qui entoure l’exonération fiscale instaurée depuis la récupération des provinces du sud.
    L’implantation d’une zone franche permettrait donc d’institutionnaliser cette défiscalisation de fait. En attendant, le projet permettra aussi de doper l’investissement international dans la région et contribuerait également à la création d’emplois de manière à résorber le chômage dont le taux est estimé à 20% dans la cité. A noter que le secteur de la pêche est le principal domaine porteur d’emplois en raison de fortes richesses halieutiques. Grâce à cet atout, des activités de congélation et de traitement des produits de la mer sont envisagées dans la future zone franche. Cette dernière pourrait également abriter des industries du textile, de plastique, d’emballage et de métallurgie légère, sans oublier les services commerciaux et activités connexes à toutes ces activités.

    Malika ALAMI

  • #2
    la zone sud a un potentiel tres important en plus elle ne connaitra jamais de probleme pour le foncier....donc c'est tous benef .... pour les ils canarie il faut travailler directement avec eux il peuvent nous aidez a faire enormement de chose dans cette region....

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    • #3
      Peuuffff, tres interessant comme vous le voyez

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      • #4
        Tu vois Racdavid, ils ont tellement confiance en eux memes, qu'ils attentent l'aides iles canaries.

        pour les ils canarie il faut travailler directement avec eux il peuvent nous aidez a faire enormement de chose dans cette region....
        Oui les Sahraouis attendent enormement de l'aide des rochers des iles canaries.

        A noter que le secteur de la pêche est le principal domaine porteur d’emplois en raison de fortes richesses halieutiques. Grâce à cet atout, des activités de congélation et de traitement des produits de la mer sont envisagées dans la future zone franche. Cette dernière pourrait également abriter des industries du textile, de plastique, d’emballage et de métallurgie légère, sans oublier les services commerciaux et activités connexes à toutes ces activités
        Du metal, du plastique, du poisson: comment faire des conserves.
        En fait l'avenire du sahara occidentale sous l'occupation Marocaine consistera a exporter pour le compte d'investisseurs Marocains et etrangers, les richesses des Sahraouis.
        Ne croyez pas avoir etouffe la Casbah, Ne croyez pas batir sur nos depouilles votre nouveau monde.(Kateb Yacine)

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        • #5
          les iles canaries sont espagnol donc plus riches que le maghreb, c'est pas des aides mais une colaboration ect...... meme si c'est une aide et alore?? ont et deja aidé par les pays du golf la france l'espagne usa la belgique ....je vois pas pourquoi il faut avoir honte .....

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          • #6
            Tu vois Racdavid, ils ont tellement confiance en eux memes, qu'ils attentent l'aides iles canaries.

            Voila la déviation qui arrive on sens de l'amertume dans les propos d'Alforza quand il s'agit d bonne nouvelle sur le Maroc et mais quand il 'agit de mauvaise nouvelle on sens l'excitation qui le fait chauffer.

            Voci le dossier sur le sahara.



            Pour info le Maroc est un pays ouvert qui cherche aller vers les autres pour avancer le Maroc c'est pas comme l'Algérie pays refermé sur lui même conscient de son retard mais qui ne fait pour le changer à cause de son incapacité à se remettre en question au contraire l'Algérie préfére se raconter des histoires et croire que le Maghreb entier dépend d'elle....

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            • #7
              de plus en plus interessant, le forum se degrade....de l'aide

              a mon avi, c'est bien de savoir l'evolution de pays du maghreb, mais on s'en bat les nouilles de connaitre qu'une alimentation generale a ouvert qqe part.

              Je prefere discuter de facon global des evolutions de chaqu'1 sans bourde

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              • #8
                rien ne va plus à laayoune, la population s'est revolté dernierement contre les intentions du gouvernement marocain à vouloir relancer l'economie, et creer de l'emploi, assez c'est assez

                content maintenant! y a le mot revolution

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                • #9
                  Pourquoi tamurt, guelmi et JUBA75 sont bannis ? c’est bien dommage

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                  • #10
                    @kawkawa et Alfoza.

                    Vous savez les Sahraouis sont trop gâtés, null besoin de sombrer dans les "haylala" du peuple lésé dans ses richesse.
                    Crois moi, le makhzen leur offre bcp plus que ce que peut leur apporter le poisson ..
                    Contrairement à ce que prétend les articles propagondiste du polisario, les richesses actuelement exploitées aux S.O ne comble pas le trasfert de richesses oppéré depuis rabat.
                    C'est la seul région du maroc ou le social existe, et est en plus géré au cas par cas. C'es trop laxiste, puisque c'est le seul coin en afrique ou on touche une indémnité de non-activité (...).

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                    • #11
                      C'est la seul région du maroc ou le social existe, et est en plus géré au cas par cas. C'es trop laxiste, puisque c'est le seul coin en afrique ou on touche une indémnité de non-activité (...).
                      C'est l'une des pires injustice que fait le gouvernement marocain en donnant ce RMI à des personnes qui ne font rien des familles entiére en vive. Même au niveau des bourses universitaires les gens originaire du sahara touche plus que les autres étudiants marocains.

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                      • #12
                        Yach Kawkawa , c'est vrais que Tameurt et Juba et Guelmi sont Bannis?vraiment c'est domage, alors nous allons ecrire à l'administrator pour les réintegres .
                        ... « La douleur m’a brisée, la fraternité m’a relevée, de ma blessure a jailli un fleuve de liberté » Mémorial de Caen .

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                        • #13
                          Riata stp on parle economie laisse le sahara dans son coin , c'est comme ça que la discution dérape.

                          cordialement.mouhcouscous
                          ... « La douleur m’a brisée, la fraternité m’a relevée, de ma blessure a jailli un fleuve de liberté » Mémorial de Caen .

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                          • #14
                            Parlons uniquement de l'aspect économique et évitons de parler politique dans ce sujet.

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                            • #15
                              Laayoune : des investissements considérables

                              Investissements: Les mastodontes intéressés

                              · Miloud Chaâbi compte investir 3,8 milliards de DH à Foum El-Oued

                              · Addoha et la CDG nourrissent de grandes ambitions

                              · Un projet de zone franche sur 100 hectares

                              Laâyoune s’ouvre tous azimuts aux investissements nationaux et étrangers: tourisme, industrie, pêche, T.I., BTP… pratiquement tous les secteurs sont concernés.

                              Des fleurons de l’industrie sont déjà installés dans la capitale des provinces du Sud: Calvo, Fleur de mer, Iglofish, le cimentier Indusaha...

                              D’autres prospectent ce marché vierge qui regorge de potentialités. L’on parle d’un important investissement du groupe Chaâbi à Foum El-Oued, sur la corniche. Miloud Chaâbi compte y injecter 3,8 milliards de DH dans des lots touristiques, un hypermarché Asswak Assalam, un golf et un parc d’attraction. «Un projet-pilote qui devra drainer d’autres investisseurs», estiment les pouvoirs publics qui parlent déjà de la locomotive Chaâbi. En effet, il y a quelques semaines, une équipe d’ingénieurs d’Ynna Holding s’est rendue par ailleurs à Lâayoune et y a étudié le site d’implantation.

                              Le groupe Addoha s’intéresse également à la région. Autre projet-phare, en partenariat avec les Espagnols, la ligne maritime Tarfaya/Fuerte Ventura (85 miles) dont le démarrage est prévu pour le mois de juillet. Des tests sont prévus dès ce mois de juin. Les travaux d’aménagement vont bon train. Ils prévoient notamment la mise à niveau du port de Tarfaya et la construction d’une digue flottante permettant l’accostage de navires.

                              Chose qui permettra de drainer des flux touristiques de et vers les îles Canaries. Et partant, favoriser des échanges économiques et des flux de marchandises de et vers les provinces du Sud.

                              La région compte drainer une flopée d’investissements au profit de l’implantation de PME-PMI. Bientôt une zone franche sera installée à Lâayoune. C’est un projet que lorgnent les Espagnols et sur lequel planche en ce moment l’Agence du Sud (ADPS). La CDG (Caisse de dépôt et de gestion) y joue un rôle de premier plan via sa filiale MedZ. Des établissements hôteliers, des lieux de loisirs, restaurants, lotissements…

                              Et pour cause: la ville de Lâayoune dispose d’une assiette foncière très flexible et à des prix encourageants.

                              Forte de ces investissements, la ville est appelée à devenir un pôle stratégique de développement dans les provinces du Sud.
                              Aujourd’hui, «l’environnement global de la région est favorable à l’investissement. Il connaît une dynamique visant à désenclaver la région et à booster son économie», souligne Hassana Maoulainine, directeur du Centre régional d’investissement.

                              Et pour cause, la zone (Laâyoune/Boujdour) représente 20% du territoire national avec une superficie s’étalant sur quelque 140.000 km2 pour seulement 256.000 habitants, dont 210.000 à Lâayoune et 46.000 à Boujdour, selon le recensement de 2004.


                              Rapportées à la démographie (qui représente 2% de l’ensemble de la population du Royaume), les infrastructures de base dont dispose la capitale des provinces du Sud dépassent de loin les grandes agglomérations du nord du pays.

                              A elle seule, la ville abrite 3 ports de pêche, un aéroport international, un important réseau routier et de télécoms, une zone industrielle, une pépinière d’entreprises, un projet de zone franche et la première halle aux poissons en Afrique… La pêche reste incontestablement le secteur porteur de la région. Ce qui explique une activité maritime des plus dynamiques avec 680 unités de pêche côtière et quelque 2570 barques artisanales. Mais en même temps, «ce n’est pas assez», souligne Maoulainine.
                              Si l’on compare, selon lui, le tonnage de poissons débarqués (318.259 t, ce qui correspond en valeur à 890 millions de DH) au nombre d’unités industrielles (seulement 32) ou encore au nombre de conserveries (3), «ce n’est rien comparé à l’importance et la qualité des débarquements».

                              Selon le CRI de Lâayoune, «l’effort doit s’orienter principalement vers des projets de valorisation sur place». A cet effet, plusieurs projets et investissements de valorisation des produits de mer sont en cours de lancement. L’on parle d’un programme de pêche artisanale et du lancement de 10 villages de pêche dès cette année. Les unités de valorisation sont d’ailleurs fortement employeuses de main-d’œuvre. Et contribuent à réduire considérablement le chômage.
                              A noter que la région affiche, en ce domaine, l’un des taux les plus élevés.

                              Sur le plan national, le taux de chômage dans les provinces du Sud est de 3 fois plus élevé que la moyenne.

                              Pourtant, le taux d’analphabétisme est des plus bas, l’on parle de 10 à 15% d’analphabètes. Ce qui est un atout de taille, mais le manque de qualification et l’inadaptation des profils au marché de l’emploi sont flagrants.

                              A cet effet, un programme est lancé pour la formation de 4.000 jeunes et leur insertion dans la pêche artisanale, à raison de 4 jeunes par barque ainsi que le développement de l’activité conserverie.

                              Une autre formation est en cours de lancement dans le secteur du BTP ainsi que des projets de sous-traitance au profit de TPE récemment créées.

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