Classée 29ème à l’échelle internationale, la Tunisie est, selon le rapport 2007 sur la compétitivité du World Economic Forum, leader en Afrique dans ce domaine, loin devant le deuxième, en l’occurrence l’Afrique du Sud, classée 46ème dans le monde. Une position de leader imputable, d’après le rapport, à des «forces comparatives» que démontre le pays dans divers domaines, parmi lesquels «des institutions publiques perçues comme efficientes», avec un faible niveau de corruption (19ème), et des droits de propriété «plutôt bien protégés» (36ème), et une justice indépendante (34ème), un fort environnement sécuritaire (20ème), un niveau d’éthique dans le milieu d’affaires plutôt élevé (29ème), la possibilité de démarrer une affaire rapidement (12ème), une fiscalité considérée comme ne provoquant pas de distorsion, un marché du travail assez flexible et efficient avec la possibilité pour les entreprises de recruter et de licencier avec une relative facilité, une forte coopération entre employeurs et travailleurs (29ème), etc.
Considérée comme un pays en transition entre les niveau 1 et 2 de développement, la Tunisie souffre néanmoins, encore, de multiples faiblesses. Celles-ci concernent le système éducatif, avec un assez faible niveau d’accès au secondaire (74ème) et au supérieur (61ème), les marchés financiers, également moyennement classés, «particulièrement pour leur niveau de sophistication» (60ème), et de la perception de la solidité des banques (66ème).
De même, le rapport estime que la Tunisie pourrait tirer un meilleur profit des technologies de l’information et de la communication, en vue d’améliorer la productivité -elle n’est que 47ème pour ce qui est de l’aptitude technologique. En particulier, les lois touchant aux TIC ne sont pas considérées comme favorisant la prolifération de ces dernières, et les taux de pénétration des nouveaux instruments de communication (téléphones mobiles, Internet, ordinateurs individuels) demeurent bas au regard des standards internationaux. Mais la plus grande faiblesse de la Tunisie se situe au niveau des lignes téléphoniques (80ème).
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Considérée comme un pays en transition entre les niveau 1 et 2 de développement, la Tunisie souffre néanmoins, encore, de multiples faiblesses. Celles-ci concernent le système éducatif, avec un assez faible niveau d’accès au secondaire (74ème) et au supérieur (61ème), les marchés financiers, également moyennement classés, «particulièrement pour leur niveau de sophistication» (60ème), et de la perception de la solidité des banques (66ème).
De même, le rapport estime que la Tunisie pourrait tirer un meilleur profit des technologies de l’information et de la communication, en vue d’améliorer la productivité -elle n’est que 47ème pour ce qui est de l’aptitude technologique. En particulier, les lois touchant aux TIC ne sont pas considérées comme favorisant la prolifération de ces dernières, et les taux de pénétration des nouveaux instruments de communication (téléphones mobiles, Internet, ordinateurs individuels) demeurent bas au regard des standards internationaux. Mais la plus grande faiblesse de la Tunisie se situe au niveau des lignes téléphoniques (80ème).
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