Et oui, le coût de la vie augmente plus vite que les salaires, malgré la rente pétroliére et le potentiel agricole, on croît rêver.
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Alger occupe la 50e place du classement mondial, en progression d’un rang par rapport à l’année dernière. En 2005, l’Algérie était classé à la 60e place, selon l’indice Mercer sur la cherté de la vie qui se base sur les coûts de l’immobilier, du transport, des produits alimentaires, des produits domestiques (électroménager, meubles, etc.) et les loisirs.
Dans le monde arabe, Alger est la troisième ville la plus chère derrière les villes emiriennes de Dubayy (34e) et d’Abu-Dhabi (45e). Toutefois, la ville israélienne Tel-Aviv est la plus chère dans la région puisqu’elle occupe la 17e place du classement mondial.
En Afrique, la capitale algérienne est à la cinquième place, distancée par Douala (Cameroun) qui occupe la 24e place, Dakar (Sénégal) 33e, Abidjan (Cote d’Ivoire) 35e et Lagos (Nigeria) 37e. Le rapport annuel de Mercer est établi pour fournir les données nécessaires aux compagnies internationales ainsi qu’aux offices diplomatiques au sujet du coût de la vie dans 143 pays.
Considéré comme le rapport le plus sérieux, il sert de référence aux multinationales et aux gouvernements pour déterminer les compensations financières devant être attribuées aux travailleurs expatriés et aux délégations en mission et établir les barèmes des primes et des salaires en fonction de la cherté de la vie dans ces villes pour les expatriés en poste pour une longue durée.
Selon les explications de Mercer, Alger est excessivement chère en matière de location et de transports. La cherté des produits de large consommation et des loisirs est aussi mise en évidence par l’étude. L’analyse effectuée sur 200 indices (critères) montre en outre qu’Alger devient de plus en plus chère pour les expatriés, en particulier dans l’immobilier dont les prix ont quintuplé en deux ans.
par Mohamed Khellaf
Le Jeune Indépendant.
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Alger occupe la 50e place du classement mondial, en progression d’un rang par rapport à l’année dernière. En 2005, l’Algérie était classé à la 60e place, selon l’indice Mercer sur la cherté de la vie qui se base sur les coûts de l’immobilier, du transport, des produits alimentaires, des produits domestiques (électroménager, meubles, etc.) et les loisirs.
Dans le monde arabe, Alger est la troisième ville la plus chère derrière les villes emiriennes de Dubayy (34e) et d’Abu-Dhabi (45e). Toutefois, la ville israélienne Tel-Aviv est la plus chère dans la région puisqu’elle occupe la 17e place du classement mondial.
En Afrique, la capitale algérienne est à la cinquième place, distancée par Douala (Cameroun) qui occupe la 24e place, Dakar (Sénégal) 33e, Abidjan (Cote d’Ivoire) 35e et Lagos (Nigeria) 37e. Le rapport annuel de Mercer est établi pour fournir les données nécessaires aux compagnies internationales ainsi qu’aux offices diplomatiques au sujet du coût de la vie dans 143 pays.
Considéré comme le rapport le plus sérieux, il sert de référence aux multinationales et aux gouvernements pour déterminer les compensations financières devant être attribuées aux travailleurs expatriés et aux délégations en mission et établir les barèmes des primes et des salaires en fonction de la cherté de la vie dans ces villes pour les expatriés en poste pour une longue durée.
Selon les explications de Mercer, Alger est excessivement chère en matière de location et de transports. La cherté des produits de large consommation et des loisirs est aussi mise en évidence par l’étude. L’analyse effectuée sur 200 indices (critères) montre en outre qu’Alger devient de plus en plus chère pour les expatriés, en particulier dans l’immobilier dont les prix ont quintuplé en deux ans.
par Mohamed Khellaf
Le Jeune Indépendant.
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