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  • #16
    Non, ca veux juste dire que c'est un pays qui as de tres bonnes reserves et une certaine securite a court et moyen terme.
    Vi et ca veut dire que c'est un pays tres riche, quand un homme a un gros compte en banque il est riche meme s'il ne depense pas bien son argent, ou s'il est avare ^^

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    • #17
      Vi et ca veut dire que c'est un pays tres riche, quand un homme a un gros compte en banque il est riche meme s'il ne depense pas bien son argent, ou s'il est avare ^^
      oui mais si il vit dans un bidonville,il mange que du pain, et il bois occasionnelement !!! meme avec son argent au banque qu'il ne veu pas y toucher, on va dire que c'est un pauvre !!
      donc en resumé, l'algerie est un pays riche qui veux etre pauvre (ou qui se deguise en pauvre)
      Se tromper est humain, persister dans son erreur est diabolique. (Saint Augustin)

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      • #18
        Les réserves, il faut les laisser dans le sous-sol, au moins, il n'y aura pas de polémique sur ce sujet.
        Si vous ne trouvez pas une prière qui vous convienne, inventez-la.” Saint Augustin

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        • #19
          Il ne faut s'emballer ,et il faut savoir ou mettre son pied, il ne faut comettre les erreurs du passé , 100 milliards ou peut etre demain 150 milliards de dollards il faut les investire dans des projets porteurs qui vont nous liberé de la dépendance des hydrocarbures .
          ... « La douleur m’a brisée, la fraternité m’a relevée, de ma blessure a jailli un fleuve de liberté » Mémorial de Caen .

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          • #20
            @quasard

            Vi et ca veut dire que c'est un pays tres riche, quand un homme a un gros compte en banque il est riche meme s'il ne depense pas bien son argent, ou s'il est avare ^^

            Allons donc, un homme n'etant pas un pays, la richesse d'un homem ne peut etre identique a la richesse d'un pays d'autant que, plus que le compte en banque, c'est la source qui l'alimente qui definit la richesse reelle.
            "L'armée ne doit être que le bras de la nation, jamais sa tête" [Pio Baroja, L'apprenti conspirateur, 1913]

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            • #21
              Je vois aucune difference si ce n'est la redistribution qui est plus complexe.

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              • #22
                harrachi, c'est l'utilisation qu'on en fait de cet argent qui determinera si c'est une reserve (donc, a ne pas le depenser) ou pas et non le contraire.

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                • #23
                  @quasard

                  ... Je vois aucune difference si ce n'est la redistribution qui est plus complexe.

                  Deja un homme ne "distribue" ps son argent, il le "depense".
                  "L'armée ne doit être que le bras de la nation, jamais sa tête" [Pio Baroja, L'apprenti conspirateur, 1913]

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                  • #24
                    Mon opinion sur les réserves de change de l'Algérie, je le partage avec cet extrait d'un article du Quotidien d'Oran :

                    Beaucoup d'argent, et si peu d'idées
                    par Abed Charef

                    "Que veut Nicolas Sarkozy ? Grande question.
                    Mais peut-être faudrait-il savoir auparavant ce que veut l'Algérie pour elle-même ?

                    A part acheter des armes à la Russie et se faire construire une autoroute par les Chinois et les Japonais, l'Algérie a de la peine à trouver un débouché pour les recettes financières obtenues grâce à la vente d'hydrocarbures. Car malgré une frénésie de dépenses, les réserves de change ont atteint 90 milliards de dollars à fin juin 2007.

                    Face à des recettes qui tournent autour de 50 milliards de dollars par an, les dépenses incompressibles se montent à 20 milliards de dollars par an, destinées à faire fonctionner l'économie du pays - importations de biens d'équipements, matières premières et services -, ou à acheter la paix sociale - produits alimentaires, médicaments, produits de large consommation -. Une nouvelle mode a été introduite, pour faciliter l'installation des banques étrangères et les inciter à se lancer dans une activité rudimentaire, le crédit à la consommation. Mais toutes les dépenses représentent moins de la moitié des recettes d'exportations d'hydrocarbures.

                    Le million de logements promis par le président Abdelaziz Bouteflika ne sera jamais réalisé dans les délais. Car si l'Algérie sait importer, par contre, elle ne sait pas construire, ni produire. Elle délégue le tout à des entreprises étrangères. L'actualité économique du pays est d'ailleurs essentiellement faite de signatures de contrats avec de grosses firmes étrangères, qui réalisent routes, voies ferrées, stations de dessalement, usines de liquéfaction de gaz ou fournissent des vaches laitières. La presse algérienne a d'ailleurs élevé au niveau de dogme cette compétition entre grandes puissances économiques qui se battraient pour s'emparer du marché algérien.

                    Dans ces fortunes dépensées annuellement par l'Algérie, on retrouve une petite part consacrée aux infrastructures de base, une autre réservée à une production encore insignifiante, alors que le reste, un peu plus de la moitié, est consacré à la consommation. Au chapitre production, il faut cependant reconnaître que l'Algérie excelle sur un chapitre : elle produit abondamment des discours creux. Assises de la stratégie industrielle, le mythe du géant qui se réveille, de l'Algérie qui part à la conquête du Maghreb, de l'expansion tous azimuts et du choix de nouvelles branches, tout a été dit. Avec un seul résultat : beaucoup de mots et de papier, et aucun acte concret. "

                    Sur le plan économique, Nicolas Sarkozy veut renforcer davantage les intérêts français en Algérie. Ambitieux, il n'hésite pas à dessiner des projets d'avenir pour les entreprises algériennes, dont la plus puissante, Sonatrach, qu'il veut lier à des entreprises françaises. Personnage sans ancrage historique, du fait de son propre itinéraire, le chef de l'Etat français peut négliger des questions qui peuvent paraître essentielles à ses interlocuteurs. Mais peut-on le lui reprocher ? Pur produit du CAC 40, de la mondialisation et des plans media, Nicolas Sarkozy est pleinement dans son rôle. Il veut mettre en place de nouvelles règles, conformes à son monde à lui. Il a été élu pour cela.

                    Par contre, c'est du côté algérien que la situation est préoccupante. Le pays a en effet peu de choses à proposer à la partie française. A côté de l'humiliante question des visas, on ne sait guère ce que l'Algérie ambitionne pour Sonatrach, ni si elle veut se doter d'une véritable économie. Incapable de dégager un hectare pour les projets industriels, de consacrer des assiettes de terrains pour la construction de logements, d'offrir un crédit bancaire pour la fabrication de pièces automobiles, l'Algérie se retrouve dans la position dans la position de la jeune fille courtisée à cause de la dot qu'elle va ramener. Mais elle ne prend jamais l'initiative, et attend que les autres lui fassent des avances pour réagir, en rejetant leurs offres ou en se laissant entraîner dans une coopération incertaine.

                    Cette incapacité de l'Algérie à se lancer dans de nouvelles initiatives étonne. D'autant plus qu'elle dispose de deux atouts essentiels: le financement et le marché, mais elle ne sait pas quoi en faire. Pourtant, note un économiste, d'autres pays ont mis en place des formules devenues classiques dans le placement de l'argent et son utilisation. Pour les surplus financiers, il suffit ce créer des fonds d'investissements qui prendraient des participations dans des entreprises un peu partout dans le monde, à la fois pour gagner de l'argent, et pour apprendre comment sont gérées des entreprises performantes. Un fonds d'investissement de Dubaï a bien acheté des parts dans le fleuron de l'industrie européenne, EADS, ajoute cet économiste. « Au lieu de tourner en rond à propos de la privatisation du CPA, les responsables algériens feraient mieux de voir comment permettre à cette banque d'utiliser ses surplus financiers pour se développer à l'international », dit-il. D'ailleurs, « que faire de l'argent obtenu par le biais de la privatisation du CPA, alors que qu'on ne sait pas quoi faire de l'argent déjà disponible ? », se demande-t-il.

                    Au plan interne, passer en revue les échecs de l'économie algérienne est devenu un exercice lassant. Depuis au moins une décennie, les responsables qui se succèdent n'ont pas avancé d'un pouce sur certains sujets, comme l'allégement du poids de la bureaucratie, le crédit, le foncier et la lutte contre la corruption. La situation s'est même dégradée. Au point que même les interlocuteurs étrangers s'en alarment.

                    Dans un tel schéma, il est facile de se lancer dans de savantes analyses sur les appétits français, les visées américaines et les ambitions espagnoles ou italiennes, ou encore sur la menace chinoise. De grands stratèges font de brillants exposés pour expliquer comment déjouer tous ces plans et ces complots ourdis de l'étranger. Mais tout cet effort est aussi dérisoire qu'inutile, tant que le pays continue à naviguer à vue, sans objectifs politiques et économiques clairs. C'est cette absence de démarche qui constitue la première menace pour le pays. Il ne sert à rien de se demander ce que veut Nicolas Sarkozy ou George Bush si on ne sait pas soi-même où on va.
                    Dernière modification par shadok, 18 juillet 2007, 12h59.
                    Le bon sens est la chose la mieux partagée du monde... La connerie aussi - Proverbe shadokien

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                    • #25
                      Moi je veux une seule chose , je veux qu'on partage cette argent qui est

                      quand même l'argent du peuple par ce que si l'argent du pétrole , au peuple et que on me donne ma part, je fait avec ce que je veux et je me casse.

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                      • #26
                        Mouh

                        Ta part, tu l'as déjà eu en fraude fiscale, fausse déclaration....tu as peut etre même dépassé ta quote-part.

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