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Crise inflationniste et krach rampant en Asie

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  • Crise inflationniste et krach rampant en Asie

    Ce dimanche 29 juillet 2007, à Taïwan, les magasins étaient envahis de citoyens remplissant à ras bord leurs chariots d’aliments de base. La raison en est simple: le 1er août prochain, les prix de nombreux produits de première nécessité - lait, sucre, maïs, pain, viande - vont augmenter en moyenne de 25 % à 30%. Après que les tarifs de l’essence se sont envolés et que la Bourse s’effondre progressivement. L’inquiétude est générale, pour ne pas dire plus...
    Ce que les observateurs ont pu voir ce dimanche à Taïwan, plusieurs autres pays d’Asie le vivent aussi car, alors que les Bourses locales s’effritent derrière la brutale et forte régression enregistrée à Wall Street, l’Asie connaît globalement, avec des différences nationales dues aux conditions locales, une vague inflationniste brusque et forte qui a pris son essor voici quelques semaines avec la flambée des prix du carburant automobile, de la viande et du lait.
    À Taïwan, un des "dragons économiques" du continent, l’annonce par les autorités des hausses de prix devant intervenir à compter du 1er août prochain a frappé l’opinion publique et créé un choc psychologique. D’autant que les gouvernement a déjà annoncé des mesures exceptionnelles de subventions publiques pour les entreprises de transport public et les taxis privés afin d’aider ce secteur à faire face à l’inflation pétrolière.
    Dans les cercles économiques et politiques continentaux, l’inquiétude, l’angoisse, voire parfois un début de panique, sont manifestes et les analyses sont plutôt pessimistes pour le futur à court et moyen termes.
    Dans toutes les bouches autorisées consultées, le spectre d’une situation de crise grave et inédite est évoquée une crise qui, démarrant en Asie, pourrait vite s’étendre au monde entier.
    Le prix du pétrole, point de départ d’un désordre économique général
    Ce même dimanche se tenait à Taipei une réunion informelle de réflexion prospective de responsables économiques privés et d’analystes des marchés boursiers.
    Il en est ressorti les faits suivants : l’envolée spéculative des prix du pétrole, outre son rôle de facteur de déséquilibre économique international avec la crise boursière qui démarre, a dorénavant poussé plusieurs grands pays producteurs de produits agricoles à transformer une partie significative, et croissante, de ces productions en carburants dits "verts", générant ainsi un déséquilibre entre l’offre et la demande dans le secteur alimentaire, d’où une hausse accélérée en cascade (effet de dominos) des prix de nombreux produits de l’agriculture et de l’élevage.
    Ces processus sont aggravés par la pénurie antérieure, déjà sensible en Asie depuis plusieurs mois, de viande et de lait, due notamment à la réduction de certains cheptels importants, pour lesquels, de plus, maintenant, les aliments essentiels vont renchérir fortement, ce qui permet de prévoir une hausse significative accélérée des prix à venir pour la viande et le lait, des produits essentiels pour l’alimentation humaine de base.
    Autre aspect instructif qui ressort de cette réunion : l’usage des carburants dits "verts" a eu un effet induit dévastateur, à la hausse, sur les produits alimentaires de première nécessité, dont la conséquence risque d’être une réduction drastique des productions de certaines céréales destinées à la consommation humaine, le tout accompagné par une inflation des prix de ces mêmes produits. Cette tendance, si elle se poursuivait, conduirait alors inéluctablement à un accroissement notable de la sous-alimentation dans le monde, avec ses lourdes conséquences sociales et politiques.
    Cette analyse pertinente, réalisée par des experts du domaine économique, suppose donc que les autorités publiques interviennent, dans l’intérêt général le plus évident, sur les cours des produits et les choix de l’usage des produits alimentaires visés, cela étant la seule solution si l’on veut enrayer à la racine une spirale inflationniste mondiale qui commence à s’emballer.
    Il apparaît aussi que les nouvelles technologies de motorisation non pétrolière (notamment électrique) pour les véhicules privés, bien qu’ayant beaucoup progressé techniquement et pleines de promesses pour l’avenir, sont pour l’heure inabordables en termes de tarifs pour la majorité écrasante des consommateurs potentiels.
    Il s’ensuit que la production de masse ne peut démarrer avec des débouchés potentiels trop restreints et que la dépendance nuisible au pétrole pour les automobiles ne peut être brisée par la seule force des lois classiques du marché.
    Tels sont les paramètres principaux mis en lumière par ces personnalités sur les faits auxquels les citoyens sont confrontés ici.
    Après l’Asie, l’Europe et le reste du monde
    Les processus en cours, qui découlent donc, à divers niveaux, de la hausse folle, incontrôlée, dangereuse et destructrice du prix du pétrole brut ne vont bien sûr pas s’arrêter à l’Asie.
    Ce continent subit de plein fouet, du fait de sa place dans le marché mondial, la première onde de choc qui aura probablement des conséquences imprévisibles, lesquelles dépendent pour une large part des réactions, appropriées ou non, des pouvoirs publics nationaux et des organismes économiques régionaux aux causes réelles identifiées du problème.
    Car la pénurie croissante de produits alimentaires de base va faire monter - sauf, donc, intervention des États et des organismes internationaux ad hoc - les prix mondiaux, donc ceux payés à la caisse, pour tous les consommateurs de la planète.
    Personne ne saurait ignorer qu’une crise inflationniste en Asie, frappant durement des économies comme l’Inde ou la Chine, voire le Japon, aurait des conséquences rapides et profondes sur l’économie mondiale, tant les interdépendances sont fortes aujourd’hui .
    Il est à signaler que, par exemple, à Taïwan, pays développé à forte consommation alimentaire importée, ce sont les produits agricoles américains qui ont déjà subi les plus fortes hausses de prix (les cerises, certains jus de fruits, le maïs).
    Nous avons là un avant-goût de l’augmentation qui frappera d’ici peu les consommateurs américains et européens si rien n’est fait pour empêcher le déséquilibre constaté de se développer plus avant.
    En clair, la poussée inflationniste qui touche l’Asie et provoque ces hausses de prix jamais vues sur ce continent est appelée à s’étendre vite, à l’Europe et au reste du monde, si rien n’est entrepris pour la juguler.
    Des mesures d’urgence possibles et souhaitées
    Sans éléments concrets sur l’état des réflexions dans tous les pays d’Asie - à part quelques informations pour l’heure fragmentaires en provenance du Japon et de Chine -, il semble intéressant de voir comment, à Taïwan, certains analystes apprécient les mesures d’urgence à prendre.
    Outre le dispositif de subventions publiques au secteur des transports publics et des taxis, on sait que le gouvernement a déjà préparé quelques décisions visant à donner un puissant coup de pouce à l’agriculture nationale en encourageant certaines productions agricoles et l’élevage par des incitations à caractère financier.
    Lors de la réunion informelle évoquée plus haut, plusieurs responsables économiques ont estimé que de telles mesures, tout en étant positives, étaient insuffisantes. À leurs yeux, à une situation de crise nationale et internationale d’ampleur aux conséquences potentielles aussi importantes, il paraît nécessaire que les autorités prennent, sur le cours du pétrole en amont, et sur les cours des produits alimentaires en aval, des décisions énergiques et exceptionnelles, tout en s’attaquant aux causes des besoins les plus importants en pétrole brut.
    Il s’agirait, selon ce cercle de personnes qualifiées, de pratiquer un interventionnisme mesuré à travers un dispositif cohérent dont l’objectif serait de mettre un terme rapide à l’explosion du prix du pétrole (proposition de régulation négociée par les États des cours mondiaux) ; de réorienter de suite en urgence toutes les productions agricoles à destination de la consommation energétique automobile vers l’alimentation humaine et animale ; de subventionner transitoirement et sélectivement dans ce contexte des produits de première nécessité afin de stabiliser leur prix à la consommation ; et, enfin, de dégager des moyens financiers publics concertés pour assurer un prix abordable aux véhicules particuliers à motorisation électrique, et donc le démarrage d’une production de masse de ce type d’automobiles.
    Ces propositions sont pour l’heure couchées sur le papier. La question qui se pose maintenant est la suivante : les autorités publiques nationales et internationales vont-elles apprécier sainement et mesurer objectivement la gravité de la situation, ou bien vont-elles s’abandonner aux seules lois du marché et aux conséquences prévisibles des décisions antérieures, qui, quelque soit leur bien-fondé originel ou non, sont dorénavant des facteurs de crise aggravants ?
    Une menace globale qui secoue les Bourses mondiales
    Pour ceux qui doutent de l’urgence de la situation, la marche évidente des Bourses à un krach rampant, avec ici ou là des débuts de mouvements de panique caractérisés, apporte un début de réponse.
    À l’évidence, les milieux boursiers craignent aussi la genèse d’une situation inflationniste incontrôlable dans ses développements, son ampleur et ses conséquences, après la hausse démesurée des cours du pétrole.
    L’inquiétude boursière est encore accrue par les mouvements erratiques de la politique américaine face à l’Iran, les annonces contradictoires sur les décisions à prendre concernant l’Irak - avec le poids financier colossal de l’engagement militaire américain dans ce pays - et, enfin, par le jeu pétrolier tarifaire russe.
    The truth is incontrovertible, malice may attack it, ignorance may deride it, but in the end; there it is.” Winston Churchill

  • #2
    Tu vois pourquoi c'est une mauvaise chose pour tout le monde un petrole chers?
    Tu paieras tes TV made in Taiwan 25 a 30% plus chers dans le futur si ca continue.

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    • #3
      c pas a cause de ca
      la faute est au bio carburant
      les terres agricoles doivent nourrir et non servir d energie aux voitures
      The truth is incontrovertible, malice may attack it, ignorance may deride it, but in the end; there it is.” Winston Churchill

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      • #4
        c pas a cause de ca
        la faute est au bio carburant
        les terres agricoles doivent nourrir et non servir d energie aux voitures
        lol on utilise le surplux de production agricole et des dechets de transformation pour faire des bio carburants xD
        Faut regarder les choses en face, c'est l'inflation du a l'explosion du cours du petrole qui entraine tout ca, et encore on n'a pas atteint un baril a 100 dollars imagine ce que cela donnerait sur le cout de transport des produits => direct la chine pourra plus rien exporté a bas cout vers l'europe => crise en chine etc

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        • #5
          lol on utilise le surplux de production agricole et des dechets de transformation pour faire des bio carburants xD
          Quasard tu ne comprend pas ce que solas vient de dire:
          La terre doit nourrir les hommes. Les biocarburants ne sont pas issus des dechets agricoles, desormais ils font l'objet d'une production agricole specifique. Les dechets de la canne sont certes utilise pour la production de l'ethanol bresilien. Malheureseusement tout le monde sait que la culture intensive de la canne appauvrit les sols. Quasard sache que la culture du colza, en france, ou celle de la palme, en malaysie par exemple, reduissent les surfaces viables aux cultures alimentaires. Les biocarburants c'est le chat qui se mord la queue.
          Ne croyez pas avoir etouffe la Casbah, Ne croyez pas batir sur nos depouilles votre nouveau monde.(Kateb Yacine)

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          • #6
            Ca je le sais, mais ce n'est pas la reduction des surfaces cultivables pour l'alimentation humaine qui cause cette hausse des prix (chaque année francais et americains jettent des millions de tonnes de produits agricoles divers au lieu de les donner a des pays pauvres) mais c'est surtout a cause de l'explosion de la consomation dans des pays comme la chine qui commence a acheter tout ce qui bouge sur les marchés creant une pénurie.

            Il y a aussi le probleme de la production délocalisée, on ramene des oranges de floride au lieu de les acheter en Espagne ou au Maroc, tout ca a un coup de transport, mais bientot la taxe Co2 sera installé sur tous les produits et ca coutera trop chers de les ramener du fin fond du monde et la on réduira les couts et on achetera aux producteurs qui se trouvent a proximité en payant un bon pris.

            Et enfin il ne faut pas oublier la marge que s'ocrtoient les grandes surfaces, qui prennent un max de frik dessus.

            Moi je suis pour l'extension de l'utilisation des bio carburants s'ils utilisent des plantes OGM qui donneront des extrait riches en ethanol par exemple.

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            • #7
              Moi je suis pour l'extension de l'utilisation des bio carburants s'ils utilisent des plantes OGM qui donneront des extrait riches en ethanol par exemple.
              Il y a une chose qui est clair avec ces biocarburants, OGM ou pas ce sont des cultures extensives, qui vont demander a ce qu'on brule les forets primaires dans les pays en developpement, c'est comme ca que ca se passe dans le monde reel(ex: Afrique centrale, Amazonie, Borneo).
              Ne croyez pas avoir etouffe la Casbah, Ne croyez pas batir sur nos depouilles votre nouveau monde.(Kateb Yacine)

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              • #8
                Allons allons je ne demande pas qu'on brule des forets lol je suis pour planter des arbres sur le toit des immeubles c'est pour dire!
                Il y a suffisement d'espace dans des zones arides pour planter des especes OGM resistantes et riches en dérivés alccoholés ^^
                On peut trouver un compromis entre ecologie et developpement economique pour peu qu'on s'en donne les moyens.
                Sinon pomper du petrole en Alaska c'est pas mieux hein =)

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                • #9
                  Après le pétrole, le déluge

                  Croisement de deux infos, la chute des cours de la Bourse et un édito du Monde sur une vieille antienne, la crise, débattue lors d’une fameuse émission en 1984 qui eut le mérite de faire débat, notamment parce que Montand, acteur de gauche, était venu louer les mérites de l’activité, de la gagne. Cet événement signa la longue conversion de la gauche aux valeurs de l’économie de marché. Une économie qui, souvent, connaît la crise, certaines plus graves, annonçant quelque bouleversement planétaire, comme en 1929. Le journaliste François Lenglet se montre très pessimiste, annonçant une réplique de 1929 dans les prochaines années. Une crise pas seulement économique, mais aussi sociale et politique ; perte de confiance, démocratie se délitant, etc. Wait and see.

                  C’est d’ailleurs le marché qui fixera le prix du baril de pétrole. L’essence est devenu un bien indispensable, autant que peut l’être l’eau ou le gibier pour un animal. Mais ce besoin en essence n’est pas naturel. Il est venu artificiellement, suite au progrès technique et à l’utilisation intense de l’automobile pour les déplacements privés, de l’avion pour les longues distances, du transport des marchandises. Ensuite, d’autres utilisations participent à l’épuisement de cette ressource, notamment la production d’électricité, le chauffage, la pétrochimie.

                  Les esprits sont préoccupés actuellement par le réchauffement climatique mais ce sont deux autres chocs qui sont à prévoir : le choc des transports et le choc des cultures.

                  Le premier choc est facile à comprendre. Certains se souviennent du second choc pétrolier en 1980, consécutif à la révolution islamique en Iran, puis le conflit avec l’Irak qui s’ensuivit. Des mouvements de panique et dans les stations-service américaines, des tendances à l’émeute. Plus près de nous, en ligne de mire, le souvenir d’interminables queues pour l’essence, à l’occasion de blocage des centres d’approvisionnement lors des conflits routiers. Et pas plus tard qu’il y a deux mois, des émeutes en Iran à l’occasion d’une annonce du gouvernement sur des augmentations du prix de l’essence, fixé par l’État, et d’un rationnement de cette essence vendu à prix cassé. Rien que des indices témoignant du rôle central que joue cette denrée à notre époque. L’Histoire sait que, il y a deux ou trois siècles, les famines pouvaient jouer un rôle dans le déclenchement d’émeutes, de crises sociales, voire même de révolutions. Le prix du pain également. De nos jours, le risque de famine est nul en Occident. Et si une denrée devait participer à quelque insurrection ou émeute, c’est bel et bien le carburant, son prix, son rationnement. Voilà ce qui nous attend.

                  Second choc, celui des cultures, au sens agricole du terme. Dans le contexte de l’après-pétrole, la culture destinée à la production de biocarburant va devenir très rentable. Ce sera encore le marché qui décidera, mais on peut prévoir une réorganisation de l’agriculture mondiale avec une ampleur conséquente, voire même inquiétante. Des enjeux d’ordre humanitaire se dessineront. Car les terres cultivables ne sont pas extensibles et qu’il y aura un antagonisme entre la culture pour nourrir les hommes et celle destinée à nourrir les chevaux mécaniques gourmants en carburant. Ce qui pourrait engendrer une étendue de la famine dans les zones à risque de la planète, plutôt situées au Sud.

                  Bref, tout ceci est très réjouissant. Et va demander de l’imagination et une grande responsabilité de la part des politiques. Les innovations technologiques seront nécessaires pour alléger le fardeau de la pénurie inéluctable en énergie. C’est le marché qui devrait orienter les choix car, en ce domaine, les États ne sont pas les mieux placés pour intervenir à titre technique. Pour preuve, la voiture hybride ou électrique qui, comme le chauffage électrique, est une absurdité du point de vue énergétique. Écologique, oui, localement, dans les villes, qui seront moins polluées. Mais ce n’est pas pour autant que les États devront s’abstenir de toute régulation. C’est même le contraire. Il sera indispensable d’allouer un quota de carburant à prix encadré à chaque utilisateur de véhicule privé. Comme cela se fait d’ailleurs en Iran. Ce qui suppose, en France par exemple, de baisser les taxes sur les carburants. D’où des problèmes de nature budgétaire et fiscale à arbitrer. Rien ne sera facile. S’il y a eu une civilisation fondée sur le pétrole pour une bonne part, il y aura une civilisation nouvelle à inventer, basée sur une part plus réduite pour le pétrole.

                  Voilà, un billet décidément très réjouissant et destiné à exposer, en filigrane, les raisons pour lesquelles la question du réchauffement climatique n’est pas, selon moi, un véritable problème. Par contre, le climat social me paraît plus inquiétant. L’économie, l’addiction aux technologies et à la consommation, les effets de sevrage quand le pétrole sera devenu rare, et bien d’autres phénomènes annexes. Bref, les enjeux ne sont pas là où la presse les indique et, d’ailleurs, pourquoi faire confiance à la presse ? Car chaque corporation et chaque individu bien placé a pour devise : "Après moi le déluge !"

                  bernard dugue
                  The truth is incontrovertible, malice may attack it, ignorance may deride it, but in the end; there it is.” Winston Churchill

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                  • #10
                    Des enjeux d’ordre humanitaire se dessineront. Car les terres cultivables ne sont pas extensibles et qu’il y aura un antagonisme entre la culture pour nourrir les hommes et celle destinée à nourrir les chevaux mécaniques gourmants en carburant.
                    Rien n'est categoriquement antagonique a autre chose, tout est question d'organisation, on peut faire cohabiter glace et feu si on le veut, et avoir de la vapeur d'eau a 20 degres etc
                    Si on monte un plan de gestion, on se fixe un but on reussit a faire cohexister le chaud et le froid tout est question de volonté et de moyens.

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