Annonce

Réduire
Aucune annonce.

Avis de décès : « Fatia », la Fiat algérienne, n’est plus !

Réduire
X
 
  • Filtre
  • Heure
  • Afficher
Tout nettoyer
nouveaux messages

  • #16
    il ne suffit pas de dire nous allons produire des voitures; il faut une prise en charge des dossiers par l'état: choisir et aménager les sites appropriés, tracer des voies d'accès modernes, former les gens...................................; rien n'a été fait!

    exact. et il faut trouver les partenaires qui trouvent leur interets pour un transfert de technologie. Personne ne se manifeste car même avec 200000 véhicules le marché est trop étroit.

    Commentaire


    • #17
      Envoyé par augustin
      Renault fabriquait des voitures en Algérie? Tu dois confondre avec Berliet, qui est devenu la sonacome et maintenant la SNVI. Elle fabrique toujours des poids lourds. Chiffre d'affaires 260 millions de dollars en 2006.
      Chiffre d'affaires 260 millions de dollars en 2006
      Dont 75 % des intrans importé, c'est juste du montage.

      Qui te dis que Renault n'aurait pas développer et monter une usine d'automobile dans les années 70 à la place de la Turquie, du Portugal ou de la Yougoslavie, parce qu'il avait déjà une bonne base industrielle en Algérie ?

      Sinon pour l'histoire De gaulle a bien nationalisé Renault en 1945.
      Cela n'a pas empêcher le développement de Renault malgré cette nationalisation qui été plutôt une punition pour collaboration avec les Allemands mais surtout pas idéologique.
      Dernière modification par zek, 14 août 2007, 19h30.
      Si vous ne trouvez pas une prière qui vous convienne, inventez-la.” Saint Augustin

      Commentaire


      • #18
        Dont 75 % des intrans importé, c'est juste du montage

        désolé tu ne connais pas la SNVI ni la le CMT de oued h'mime ni l'enmtp ni ....

        Pour la SNVI le taux d'intégration est de 50%. c'est plus que du montage, puisque la conception est Algérienne. Arrete d'insulter les ingénieurs Algériens.

        La SNVI est une entreprise qui a pour vocation la production de biens industriels de type camions, autocars et autobus, semi-remorques, porte-engins, cocottes à ciment et autres équipements spéciaux tractés ou portés.

        Le site principal à Rouiba, sur 260 hectares, et un autre site à Tiaret, constituent les deux grands sites de production de l'entreprise. La SNVI a un important réseau de soutien technique dans tout le pays, composé de douze unités commerciales réparties à travers le territoire national et assurant la prise en charge du produit.

        Pour réaliser ces produits, nous avons en amont une fonderie de fonte et d'aluminium d'une capacité nominale de 6.000 tonnes/an qui répond aux besoins des usines de SNVI, et réalise quelques opérations de sous-traitance tant nationale qu'à l'exportation. La fonderie emploie 800 personnes.

        L'usine intégrée de production de camions, d'autocars et d'autobus est composée d'un centre d'estampage doté de pilons, fours et divers équipements d'estampage, d'un bâtiment de tôlerie et emboutissage réalisant les châssis, les cabines et les diverses pièces embouties de tôlerie, un centre d'usinage mécanique pour la production d'organes mécaniques et de deux centres de montage, un pour les camions et un autre pour les autobus. Les capacités de production sont de 4.000 véhicules/an, avec un taux d'intégration de plus de 50 %. Cette entité qui emploie aujourd'hui près de 4.000 personnes

        En aval, deux carrosseries industrielles assurent l'équipement des camions porteurs ainsi que la production d'une large gamme de remorques, semi-remorques et porte-engins. Leurs capacités combinées permettent la réalisation jusqu'à 4000 carrosseries portées et 3000 carrosseries tractées par an.

        En 2002, nous escomptons atteindre un chiffre d'affaires de l'ordre de 17 milliards de dinars (220 millions de USD). En 2001, il était de 12,6 milliards de dinars.

        Nous avons un effectif, de 8.000 travailleurs, que nous comptons réduire durant l'année pour le porter à 7.400 ou 7.300 personnes, dans le cadre d'un processus de réduction des effectifs résultant d'un plan stratégique mis en œuvre depuis l'année 2001 déterminant une réduction d'environ 1.000 travailleurs.
        Qui te dis que Renault n'aurait pas développer et monter une usine d'automobile dans les années 70 à la place de la Turquie, du Portugal ou de la Yougoslavie, parce qu'il avait déjà une bonne base industrielle en Algérie ?

        la yougoslavie n'exite plus. le portugal est dans l'europe. la turquie est un marché bcp plus important et quasiment dans l'europe.

        Cela n'a pas empêcher le développement de Renault malgré cette nationalisation qui été plutôt une punition pour collaboration avec les Allemands mais surtout pas idéologique.

        Punir les collabos ce n'ets pas idéologique? pour ton info c'était plutot sous la pression des communsites et intégré dans une stratégie de développement guaulienne.

        Arrete de dénigrer pour dénigrer

        Commentaire


        • #19
          Il faut oublier Fatia

          Déjà le choix du site est une grosse erreur, Rouiba est par exemple un lieu idéal pour ce genre d’usine mais a cette époque, ils font pas des vraies études, par exemple, ils ont construit une usine de l’huile d’olive a Saida pour acheminer la matière première de Sig, une usine de papier a Mostaganem dans une région connu pour ces problèmes d’eau ……..

          En plus il ne faut pas croire que Fatia était une voiture algérienne mais une copie conforme de la Fiat 127 je pense, puis ils ont pensés à la palio et la sienna, des voitures de *****.

          Pour moi, les Hyundai sont des voitures idéales pour le marché algérien, fiables, economiques et de plus en plus jolies (voir la nouvelle i30), une usine Hyundai en Algérie va relancer toute l’industrie algérienne a mon avis.

          Il y a aussi Toyota mais je ne pense pas qu’ils sont intéressés par une implantation industrielle en algérie.

          Commentaire


          • #20
            Déces de fatia

            la meilleure réponse qu'on doit faire aux européens est de favoriser la concurrence au profit des asiatiques et des que les coûts de transports deviendront prohibitifs( renchérissement de l'énergie et autres) is se décideront à implanter leurs usines au plu prés des utilisateurs. Pour cela l'Etat algerien doit avoir une politique à long terme, nous avons les moyens et le potentiel pour atteindre cet objectif.

            Commentaire


            • #21
              Arrete d'insulter les ingénieurs Algériens.
              Les ingénieurs algériens sont déjà insulté par la baisse de leurs niveau de vie.

              Serais-tu mieux informé que M. Mokhtar Chahboub, directeur général de la SNVI qui affirme que les intrans importés sont de 70 %

              La yougoslavie n'exite plus. le portugal est dans l'europe. la turquie est un marché bcp plus important et quasiment dans l'europe.
              Je maintiens ce que je dis en 1969 Renault crée une usine de montage en Yougoslavie et au Zaîre, en 1970, une en Colombie et en 1971, une en Turquie, à l'époque ces pays n'étaient pas plus avancé que l'Algérie, peut-être un peu plus ouvert.

              Colloque sur le Management Industriel et Logistique

              Comment faire évoluer la logistique traditionnelle vers le Supply Chain Management : logistique intégrée dans le secteur industriel, permettant à notre pays d’avoir les capacités, par le biais des entreprises mises à niveau, d’intégrer les réseaux économiques mondiaux afin de capter ne serait-ce qu’une infime partie des flux marchands et par la même accumuler les bénéfices de la valeur ajoutée qui sera induite par la circulation des marchandises ? Telle était la problématique posée par les spécialistes qui sont intervenus lors du colloque sur le management industriel et logistique qui a été organisé à l’hôtel El-Aurassi par l’INPED (Institut national de productivité et de développement industriel) de Boumerdès à l’intention des P-DG, de DG et des hauts cadres d’entreprises économiques algériennes issus des secteurs publics ou privés. Selon les organisateurs, cette rencontre, prélude à quatre autres séminaires du même genre, vise à « sensibiliser les entreprises algériennes sur l’enjeu du management industriel et logistique dans la perspective de la libéralisation du marché à l’horizon 2006.” M. Mokhtar Chahboub, directeur général de la SNVI a été le premier à intervenir pour faire une rétrospective sur l’entreprise qu’il dirige. Par la suite l’orateur n’a pas manqué de situer les enjeux de la SNVI s’agissant de la préservation des parts du marché local, évalué, selon lui à 40% dans le secteur des véhicules industriels. Il a rappelé que ce marché, connaîtra un boum dans les années à venir, boum qui sera issu du plan de relance économique bis. Néanmoins, l’orateur n’a pas caché ses appréhensions quant aux multiples difficultés que vit, à l’instar de la majorité des entreprises algériennes, la SNVI. Il cite succinctement les problèmes endogènes particulièrement ceux en rapport avec la restructuration en cours, le statut futur de la société et ses relations avec l’Etat puissance publique et propriétaire du capital social, l’endettement de celle-ci ainsi que l’absence d’investissements depuis 1975. A ce tableau, s’ajoutent les difficultés que ne manqueront pas de drainer l’entrée de l’Algérie à l’OMC, l’application de l’accord avec l’UE et le démantèlement du tarif douanier. A noter par ailleurs que la SNVI importe, selon son patron, 70 % des composants des véhicules qu’elle fabrique. En fait, M. Chahboub décrit la situation de la majorité des entreprises algériennes. Prenant justement, comme exemple un constructeur de véhicules pour argumenter son intervention intitulée “Evolutions de la productivité industrielle, les nouveaux outils pour mieux gérer les performances”, M. Hugues Molet, professeur à l’Ecole des mines de Paris et directeur des systèmes de production et de logistique, a parlé de l’intégration et de globalisation. Il rappelle que la production n’est jamais simple “d’autant plus que nous sommes dans un monde d’optimisation et un monde de gestion et de compromis”, dit-il. Puis il ajoute “il faut être meilleur partout”. La conférence de M. Philippe-Pierre Domier, professeur à l’ESSEC et P-DG de NV Consulting, ayant pour thème “Supply Chain et logistique : clef de la compétitivité” a le mérite de situer les enjeux des entreprises algériennes dans un environnement économique optimisé et globalisé. D’emblée, l’orateur fait référence aux réussites économiques de Singapour, de la Corée et une région du nord de la France grâce à leur savoir-faire en matière de logistique intégrée. Il estime que cette logistique intégrée est une aptitude à prendre en charge les problématiques de production “il n’y a pas de raison que des entreprises marocaines soient intégrées dans les systèmes internationaux et pas des entreprises algériennes”, affirme-t-il. En citant en référence certains groupes mondiaux de production délocalisés, il précise en outre, “pour exister dans la globalisation, il faut intégrer ces réseaux en y apportant de la valeur ajoutée et en dansant au même rythme que les partenaires”. Toutefois, cette intégration dépend, selon l’orateur quant aux choix assumés dans le domaine industriel, à la spécialisation des unités de production et à l’existence d’un tissu logistique moderne et performant notamment les ensembles de dépôt, les zones franches, les réseaux de transport fiables... qui apportent un service supplémentaire dans le processus économique allant de la conception à la commercialisation en passant par le marketing, les approvisionnements, la fabrication, le transport... Lors des débats, la première question a été adressée, justement par M. Domier à M. Chahboub : “La SNVI disposet- elle d’un réseau logistique intégré ?” La réponse est non ; dès lors cette réponse peut susciter une autre question : le décollage économique de l’Algérie se cache-t-il derrière ce jeu de questions-réponses ?

              Abachi L.
              7 octobre 2004. Le Soir d'Algérie
              Si vous ne trouvez pas une prière qui vous convienne, inventez-la.” Saint Augustin

              Commentaire


              • #22
                Exact zmigri

                Il ne faut pas rêver de voir Peugeot ou Volkswagen…… en Algérie,

                Il faut attirer les constructeurs asiatiques, surtout les coréens, Daewoo voulait s’installer en Algérie mais malheureusement il est tombée en faillite.
                Avec Hyundai, il ne faut pas rater l’occasion
                Apres il faut penser aux constructeurs chinois mais a condition qu’ils améliorent le design et la fiabilité de leurs voitures , j’ai conduit une voiture chinoise il y a une semaine, une vraie catastrophe.:22:

                Et il faut aussi arrêter de rêver d’une marque algérienne pour le moment, ça sera peut être dans 30 ou 40 ans, qui sait.
                Dernière modification par kawkawa, 14 août 2007, 21h51.

                Commentaire


                • #23
                  Envoyé par kawkawa
                  Et il faut aussi arrêter de rêver d’une marque algérienne pour le moment, ça sera peut être dans 30 ou 40 ans, qui sait.
                  Qu'on commence déjà à fabriquer des vélos, au moins on apprendra à pedaler.
                  Dernière modification par zek, 14 août 2007, 22h16.
                  Si vous ne trouvez pas une prière qui vous convienne, inventez-la.” Saint Augustin

                  Commentaire


                  • #24
                    a zek,

                    tu googles pour corriger tes approximations.

                    1) Ok on est d'accord il n y avait pas d'usine renault en algérie contrairement à ce que tu as ecrit précedement.

                    2) de 75 % des intrants tu es à 70% mnt avec un article de octobre 2004.

                    3) il y a des usines renault au zaire et en ex yougoslavie en 2007? rien de rien. Il y en en slovénie pour la clio mais la slovénie c'est l'europe.

                    Commentaire


                    • #25
                      Qu'on commence déjà à fabriquer des vélos, au moins on apprendra à pedaler

                      à part pédaler dans le vide dans google, tu ne sais rien faire. A guelma (CMG) on fabrique des vélo moteurs et des fauteuils mécaniques pour handicapés. Tu en as peut être besoin?

                      Commentaire


                      • #26
                        a zek,

                        tu googles pour corriger tes approximations.
                        Non j'ai googler après, tu sais 75 % 70 %, c'est l'ordre de grandeur qui est important, j'ai pas l'habitude d'archiver.

                        1) Ok on est d'accord il n y avait pas d'usine renault en algérie contrairement à ce que tu as ecrit précedement.
                        Pose de la premier pierre de l'usine Renault en Algérie en 1959
                        http://www.ac-nancy-metz.fr/enseign/...onorenault.htm

                        2) de 75 % des intrants tu es à 70% mnt avec un article de octobre 2004.
                        Bah, qu'est-ce que tu veux, on prend ce qu'on a, ou ce qu'on veut bien nous donner, même à 50 % d'intrans, y a pas de quoi être fier.

                        3) il y a des usines Renault au zaire et en ex yougoslavie en 2007? rien de rien. Il y en en slovénie pour la clio mais la slovénie c'est l'europe.
                        http://www.ac-nancy-metz.fr/enseign/...onorenault.htm

                        à part pédaler dans le vide dans google, tu ne sais rien faire. A guelma (CMG) on fabrique des vélo moteurs et des fauteuils mécaniques pour handicapés. Tu en as peut être besoin ?
                        Augustin, cool, faut se décompresser, bientôt la retraite
                        Dernière modification par zek, 14 août 2007, 22h51.
                        Si vous ne trouvez pas une prière qui vous convienne, inventez-la.” Saint Augustin

                        Commentaire


                        • #27
                          1971: Confiscation par les autorités algériennes de l'usine Renault d'Alger

                          1977: Mai : demande du gouvernement du Maroc pour voir Renault participer au développement industriel du pays. Création de Renault Industrie Maroc

                          2 ideologies economiques differentes. 2007, le Maroc exporte des voitures.

                          voila un exemple latent que ce n'est pas une question de financement mais d'incitation a l'investissement et de volonte politique.

                          Commentaire


                          • #28
                            kawkama, au contraire ce n'est pas un rêve, il n'est pas necessaire d'avoir des marques à 100% algeriennes mais seulement un tissu industriel avec des capitaux étrangers: joint venture, pouvant à terme répondre à la demande des citoyens en biens et service, les vehicules particuliers en font partie, et c'est à la portée de notre pays. ce n'est tout de même pas le projet APPOLO!

                            Commentaire


                            • #29
                              zek, google et lit

                              quelle usine renault? elle a fabriqué quoi comme modèle?

                              Ayoub,

                              pas la peine de nous ramener la sonacma, juste une unité d'assemblage. sauvetage de chirac suite au retrait de fiat production fable et exportation par défaut car l'algérie préfère les dacia des concepteurs c'ets a dire les roumains.... on en a déjà parlé.

                              Commentaire


                              • #30
                                Envoyé par augustin
                                zek, google et lit

                                quelle usine renault ? elle a fabriqué quoi comme modèle?
                                Janvier 1961, les premières Dauphine sortent de l'usine d'Alger (CARAL)
                                Si vous ne trouvez pas une prière qui vous convienne, inventez-la.” Saint Augustin

                                Commentaire

                                Chargement...
                                X