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L’Ecole des Mines dégaine son classement anti-Shanghai

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  • L’Ecole des Mines dégaine son classement anti-Shanghai

    Source L'Expansion.com - -

    L’Ecole des Mines de Paris a présenté jeudi son palmarès international des établissements d’enseignement supérieur. Contrairement à celui établi par l'Université Jiao Tong de Shanghai, il met les grandes écoles françaises à l’honneur. Explication de ce tour de force.

    L’Ecole des Mines de Paris au secours de la réputation de l’enseignement supérieur français ? Le classement international des Universités et des grandes écoles publié jeudi vient en tout cas à point pour redresser un prestige régulièrement mis à mal par un des palmarès qui fait aujourd’hui référence : l’'Academic Ranking of World Universities de l'Université Jiao Tong de Shanghaï. Dans sa dernière édition, celui-ci relègue la France à un 13ème rang mondial, juste derrière la Chine et Israël. Elle est même carrément absente des différents Top 20 téhématiques.

    Pour l’Ecole des Mine, l’Hexagone n’a au contraire pas à rougir. Certes son classement portant sur quelque 338 établissements dans le monde confirme la domination des Etats-Unis. Mais il fait « apparaître une excellente position des établissements d’enseignement supérieur français puisque 5 d’entre eux figurent dans les 10 premiers » se félicite le communiqué officiel. Polytechnique est en effet 4ème, immédiatement suivi suivi par HEC. Sciences Po, l’ENA et l’Ecole des Mines font un beau tir groupé aux 8ème, 9ème et 10ème places.

    Tout est en fait question de critère. L’Ecole des Mines a pour sa part choisi de baser son classement sur le nombre d’anciens élèves occupant le poste de dirigeant dans les 500 plus grandes entreprises mondiales (dont la liste est tirée de l’édition 2006 du classement de Fortune). Il s’agit clairement de se distinguer de Shanghai qui « prend en compte la qualité du corps professoral (prix Nobel et Médailles Fields, chercheurs très cités), les résultats de la recherche (articles publiés dans Nature et science, articles dans Science citation index-expanded, social science citation index), et la productivité apparente des chercheurs. » Autrement dit, des critères académiques.

    Pour l‘Ecole des Mines, il s’agit évaluer les performances des formations, fondées sur le devenir professionnel des anciens étudiants. Et d’expliquer que « le nombre d’anciens élèves occupant le poste de n°1 exécutif… se veut être l’équivalent au niveau des entreprises du critère des anciens élèves ayant obtenu le Prix Nobel ou la médaille Fields, les nombres étant du même ordre de grandeur. » Reste à savoir si la très forte imperméabilité des grands groupes français à l'arrivée de patrons étrangers et le quasi-monopole de quelques grandes écoles sur ces hautes fonctions ne constituent pas un biais.
    Ce que vous faites de bien et de mal, vous le faites à vous
    Mahomet

  • #2
    Franchement les français c'est grave, ils sont tellement complexes par leurs classements (Shanghai) qu'ils ont crée un nouveau classement qu’il les met en valeur. Même si je suis issu d'une grande école française mais je dis ouvertement que ce classement c'est une grande ***** tout simplement.

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    • #3
      Les postes de dirigeants des grandes entreprises françaises sont réservés aux X-mines et HEC le plus souvent. Il n'est donc pas étonnant que les critères choisie par l'Ecole des Mines pour établir ce classement mettent les écoles françaises en avant. Bien qu'ayant été formé par l'une de ces grandes écoles françaises, dont l'enseignement est incontestablement de très grande qualité, je pense que les formations d'ingénieurs et de finance des pays anglo saxons sont mieux organisées et meilleures.

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      • #4
        Le critère choisi par l'Ecole des Mines est clairement moins objectif que celui de l'Université de Shanghai. Il est peu probable que ce classement devienne une référence.

        En tout cas, les français ont trouvé l'astuce pour intégrer 5 écoles françaises dans le top 10 des meilleurs établissements mondiaux!

        - Les 338 premiers établissements d'enseignement supérieur

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        • #5
          Le mieux est d'etre servit par soi meme, dicton francais, les mines font honneur a l'academie francaise " cocoricooooo"

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          • #6
            Le classement de l'Ecole Centrale m'intrigue un peu. Beaucoup de n°1 sont issus de cette école, au monde entier je dirai.

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            • #7
              Cinq Français à la tête de grandes organisations internationales

              Cela veut peut être dire que le systeme educatif français n'est pas si "nul" que cela ?

              Avec l'élection de Dominique Strauss-Kahn, 58 ans, à la direction générale du FMI, cinq Français seront à la tête de grandes organisations internationales :
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              Jean-Claude Trichet, 64 ans, préside la Banque centrale européenne (BCE) depuis 2003. En 1993, il devient le premier gouverneur de la Banque de France, devenue indépendante du pouvoir politique pour la première fois de son histoire. Pédagogue infatigable de la monnaie européenne, il est nommé à nouveau à cette fonction en 1999. Cet énarque, né le 20 décembre 1942, a commencé sa carrière politique comme conseiller de l'ancien président Valéry Giscard d'Estaing, puis comme directeur du cabinet d'Edouard Balladur de 1986 à 1987, alors ministre de l'Economie. Au pouvoir en 1988, les socialistes l'ont confirmé à la direction du Trésor, poste qu'il a occupé de 1987 à 1993.
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              Pascal Lamy, 60 ans, ancien Commissaire européen au Commerce, est directeur général de l'Organisation mondiale du commerce (OMC) depuis 2005. Il a été chef de cabinet de 1985 à 1994 de Jacques Delors, alors président de la Commission européenne, avant d'entrer au Crédit Lyonnais dont il était le numéro 2. Né le 8 avril 1947, cet énarque et inspecteur général des Finances a été membre du comité directeur du PS de 1977 à 1994. En 1981, il entre au cabinet de M. Delors au ministère de l'Economie avant d'être directeur-adjoint de cabinet de Pierre Mauroy, alors Premier ministre. En 1985, il rejoint M. Delors à Bruxelles.

              Jean Lemierre, 57 ans, préside la Banque européenne pour la reconstruction et le développement (BERD) depuis 2000. Il a été réélu en 2004. Né le 6 juin 1950, cet énarque a commencé sa carrière à l'inspection générale des Finances en 1976. En 1980, il intègre la Direction générale des Impôts (DGI) avant de prendre en 1989 la direction de ce service. En mai 1995, il est nommé directeur de Cabinet d'Alain Madelin alors ministre de l'Economie. Il dirige ensuite le cabinet de son successeur Jean Arthuis, avant de prendre en 1996 la direction du Trésor.

              Michel Kazatchkine, 61 ans, est directeur exécutif du Fonds mondial de lutte contre le sida, la tuberculose et le paludisme, depuis février 2007. Très engagé dans le plaidoyer en faveur de l'accès aux soins dans les pays en développement, il a dirigé de 1998 à 2005, l'Agence nationale de recherches sur le sida (ANRS), deuxième centre de recherche mondial sur le sida. Né le 7 avril 1946, le Pr Kazatchkine, immunologiste, chercheur et clinicien, a été formé en France et aux Etats-Unis.
              Ce que vous faites de bien et de mal, vous le faites à vous
              Mahomet

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              • #8
                en fait c'est un peu normal que les ecoles francaises ne se retrouvent pas parmi les premiers du classement de shangai!en effet ces ecoles sont de petites structres qui ne sont pas axees sur la recherches pas comme les grandes universites francaises!dnc tout est question de criteres

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