Le malheur des uns fait le bonheur des autres.
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Algérie: une entreprise algéro-française pour remplacer BRC
Par ali idir
05/10/2007
Tout Sur l'Algérie
A qui va profiter la liquidation de BRC (Broot Root & Condor) ? En Algérie, les candidats ne sont pas nombreux pour remplacer l'ancienne filiale de Sonatrach et de l'américain KBR, dissoute le 20 septembre dernier après avoir été durant plusieurs mois au cœur d’un scandale politico-économique impliquant plusieurs hauts cadres de l’État.
Selon nos informations, la société algéro-française d'ingénierie et de réalisation (Safir) semble bien placée pour récupérer au moins une partie des marchés et des contrats détenus par BRC dans les domaines pétroliers et parapétroliers. La Safir est une société mixte dont le capital est détenu par Sonatrach, Sonelgaz et le groupe français Marais. Basé à Durtal (France), Marais est spécialisé dans la réalisation et l'exploitation de réseaux à haut débit et la location de matériel de pose mécanisée. Dans le cadre de ses activités, cette société s’intéresse également au domaine des télécommunications en Algérie : elle souhaite notamment installer un réseau de fibre optique avec un partenaire algérien pour offrir des services aux entreprises et aux banques.
Après avoir frôlé le dépôt de bilan faute de commandes, Safir vient d'obtenir son premier « gros contrat» de gré à gré avec Sonatrach. Il s'agit de la construction d'un nouveau centre de stockage et de conditionnement d'azote au niveau de la zone industrielle d'Arzew, près d'Oran. D'un montant de six millions d'euros, ce contrat marque le retour de Safir au premier plan dans l'industrie pétrolière algérienne. Selon nos sources, la Sonatrach compte attribuer davantage de contrats à cette société afin de l’aider à accélérer son développement sur le marché national. Par le passé, Sonatrach avait une préférence aveugle pour BRC au détriment de Safir. Les choses semblent avoir évolué.
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Algérie: une entreprise algéro-française pour remplacer BRC
Par ali idir
05/10/2007
Tout Sur l'Algérie
A qui va profiter la liquidation de BRC (Broot Root & Condor) ? En Algérie, les candidats ne sont pas nombreux pour remplacer l'ancienne filiale de Sonatrach et de l'américain KBR, dissoute le 20 septembre dernier après avoir été durant plusieurs mois au cœur d’un scandale politico-économique impliquant plusieurs hauts cadres de l’État.
Selon nos informations, la société algéro-française d'ingénierie et de réalisation (Safir) semble bien placée pour récupérer au moins une partie des marchés et des contrats détenus par BRC dans les domaines pétroliers et parapétroliers. La Safir est une société mixte dont le capital est détenu par Sonatrach, Sonelgaz et le groupe français Marais. Basé à Durtal (France), Marais est spécialisé dans la réalisation et l'exploitation de réseaux à haut débit et la location de matériel de pose mécanisée. Dans le cadre de ses activités, cette société s’intéresse également au domaine des télécommunications en Algérie : elle souhaite notamment installer un réseau de fibre optique avec un partenaire algérien pour offrir des services aux entreprises et aux banques.
Après avoir frôlé le dépôt de bilan faute de commandes, Safir vient d'obtenir son premier « gros contrat» de gré à gré avec Sonatrach. Il s'agit de la construction d'un nouveau centre de stockage et de conditionnement d'azote au niveau de la zone industrielle d'Arzew, près d'Oran. D'un montant de six millions d'euros, ce contrat marque le retour de Safir au premier plan dans l'industrie pétrolière algérienne. Selon nos sources, la Sonatrach compte attribuer davantage de contrats à cette société afin de l’aider à accélérer son développement sur le marché national. Par le passé, Sonatrach avait une préférence aveugle pour BRC au détriment de Safir. Les choses semblent avoir évolué.
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