Le Maroc surpassera la Tunisie en 2007 Écrit par Tunisie Affaire
Le constat est clair: le retard que connaît la Tunisie au niveau de l’ouverture de son ciel (par rapport au Maroc à titre d’exemple) constitue un énorme blocage pour le développement du tourisme tunisien. En parallèle du grand boom qu’a connu la Tunisie en matière de lits d’hôtel, il a fallu avoir en parallèle et instantanément le même boom pour les sièges d’avion.
Les chiffres du tourisme marocain ont montré une évolution de + 29 % pour le premier trimestre 2007, contre 6 % pour la Tunisie. Ainsi le Maroc dépassera le cap de 7 millions de touristes pour l’année 2007 et dépassera définitivement la Tunisie en termes d’arrivées.
«Le contexte de ciel ouvert et de concurrence agressive qui s’exacerbe rendent nécessaire la création d’un pôle low-cost en Tunisie»
En effet, contrairement à la Tunisie qui est une destination bon marché et de tourisme de masse, le Maroc arrive à se positionner comme une destination balnéaire de qualité, tout en régulant la croissance de ses capacités hôtelières et aérienne en cohérence avec la demande.
Fin 2006, le Maroc a totalise 6,55 millions d’entrées, soit autant que la Tunisie, avec une croissance de + 12 % par rapport a 2005 et des recettes de 53 milliards de Dirhams et enfin 1,584 milliards d Euros d’investissements.
Cette réussite du Maroc, il faut la chercher du coté de la stratégie du développement unique et se basant sur une intégration du transport aérien avec les infrastructures.
La politique de Low-cost a permis de faire exploser le nombre des arrivées et de baisser de manière significative le cout du voyage en dessous de la barre de 100 Euros pour un aller retour France-Maroc.
Le Maroc, précurseur en la matière, avait décidé la création d’une formule low-cost. Atlas Blue, filiale spécialisée dans le transport «à bas prix «.
L’environnement est véritablement en train de changer, obligeant les compagnies à adopter des démarches plus efficaces dans un souci de compétitivité. «Même les compagnies régulières qui estimaient que le modèle low-cost n’est pas rentable ont été obligées de changer d’avis», affirme Zouheir Elaoufir, président du directoire de la low-cost marocaine, Atlas Blue.
Mettre en place un vrai mécanisme pour favoriser et faciliter aux compagnies étrangères la programmation des nouvelles lignes sur la Tunisie devient une réelle urgence !
L’option low-cost ? «Une réaction globale à l’industrialisation du transport aérien», estiment de nombreux observateurs. Le recentrage des métiers dans un secteur fortement concurrentiel apparaît comme la réponse la plus adéquate.
Les prévisions à l’échelon mondial tablent sur une explosion du modèle low-cost. Les low-cost ont grignoté, en 2006, près de 17% du marché aux compagnies régulières en Europe.
Si La Tunisie n’ouvre pas son ciel et ne développe pas le transport Low-coast, elle risque de se faire distancer définitivement par ses voisins et de perdre sa position de leader du tourisme au Maghreb (......)
http://www.tunisieaffaire.com/index....d=32&Itemid=93
Le constat est clair: le retard que connaît la Tunisie au niveau de l’ouverture de son ciel (par rapport au Maroc à titre d’exemple) constitue un énorme blocage pour le développement du tourisme tunisien. En parallèle du grand boom qu’a connu la Tunisie en matière de lits d’hôtel, il a fallu avoir en parallèle et instantanément le même boom pour les sièges d’avion.
Les chiffres du tourisme marocain ont montré une évolution de + 29 % pour le premier trimestre 2007, contre 6 % pour la Tunisie. Ainsi le Maroc dépassera le cap de 7 millions de touristes pour l’année 2007 et dépassera définitivement la Tunisie en termes d’arrivées.
«Le contexte de ciel ouvert et de concurrence agressive qui s’exacerbe rendent nécessaire la création d’un pôle low-cost en Tunisie»
En effet, contrairement à la Tunisie qui est une destination bon marché et de tourisme de masse, le Maroc arrive à se positionner comme une destination balnéaire de qualité, tout en régulant la croissance de ses capacités hôtelières et aérienne en cohérence avec la demande.
Fin 2006, le Maroc a totalise 6,55 millions d’entrées, soit autant que la Tunisie, avec une croissance de + 12 % par rapport a 2005 et des recettes de 53 milliards de Dirhams et enfin 1,584 milliards d Euros d’investissements.
Cette réussite du Maroc, il faut la chercher du coté de la stratégie du développement unique et se basant sur une intégration du transport aérien avec les infrastructures.
La politique de Low-cost a permis de faire exploser le nombre des arrivées et de baisser de manière significative le cout du voyage en dessous de la barre de 100 Euros pour un aller retour France-Maroc.
Le Maroc, précurseur en la matière, avait décidé la création d’une formule low-cost. Atlas Blue, filiale spécialisée dans le transport «à bas prix «.
L’environnement est véritablement en train de changer, obligeant les compagnies à adopter des démarches plus efficaces dans un souci de compétitivité. «Même les compagnies régulières qui estimaient que le modèle low-cost n’est pas rentable ont été obligées de changer d’avis», affirme Zouheir Elaoufir, président du directoire de la low-cost marocaine, Atlas Blue.
Mettre en place un vrai mécanisme pour favoriser et faciliter aux compagnies étrangères la programmation des nouvelles lignes sur la Tunisie devient une réelle urgence !
L’option low-cost ? «Une réaction globale à l’industrialisation du transport aérien», estiment de nombreux observateurs. Le recentrage des métiers dans un secteur fortement concurrentiel apparaît comme la réponse la plus adéquate.
Les prévisions à l’échelon mondial tablent sur une explosion du modèle low-cost. Les low-cost ont grignoté, en 2006, près de 17% du marché aux compagnies régulières en Europe.
Si La Tunisie n’ouvre pas son ciel et ne développe pas le transport Low-coast, elle risque de se faire distancer définitivement par ses voisins et de perdre sa position de leader du tourisme au Maghreb (......)
http://www.tunisieaffaire.com/index....d=32&Itemid=93
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