A force de tout laisser aux Chinois, on risque de tout reconstruire dans 10 ans. Expliquez moi comment une société chinoise, peut payer son ouvrier 400 dollars par mois et remporter les offres du marché parce qu'ils sont moins cher que les autres ? Ils doivent bien faire des économies quelque part, sur les rond à béton ou le ciment, il est préférable de payer un peu plus et d'avoir des infrastructure de qualité qui dureront dans le temps surtout que le pays en a les moyens, les constructions des années 70 à la Bulgare ou à la Yougoslave sont du même acabit que les Chinoises, la vieille quincallerie, on commence à connaître.
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A qui vont profiter les investissements des groupes du Golfe en Algérie ? L’annonce par plusieurs groupes du Golfe de projets colossaux dans l’immobilier de bureaux et l’hôtellerie de luxe, aiguise les appétits des grands groupes internationaux de BTP. Le géant émirien Emaar a dévoilé récemment un investissement de 20 milliards de dollars dans l’immobilier qui vont transformer profondément Alger et sa banlieue. De son coté, le saoudien Al Qudra va investir 10 milliards de dollars dans des projets immobiliers et hôteliers de luxe à Oran et Mostaganem. Les deux groupes vont construire des appartements de très haut standing qui seront vendus en moyenne à plus de 20 millions de dinars. Ils construiront également des immeubles de bureaux : des tours intelligentes qui vont accueillir les multinationales implantées en Algérie. Les matériaux qui seront utilisés dans la réalisation des logements seront sélectionnés et les techniques de construction seront conformes aux normes européennes », explique un spécialiste interrogé par « ******************** ».
Selon nos informations, pour réaliser leurs projets en Algérie, les groupes du Golfe feront appel à des sociétés étrangères qui répondent à des normes internationales reconnues. Parmi elles : la norme HQE (Haute Qualité Environnementale). Ce critère va, exclure de la course les groupes chinois qui ont pourtant remporté la majorité des contrats attribués ces dernières années dans le BTP en Algérie. « La norme HQE est notamment utilisé dans les immeubles de bureaux : elle permet la construction de tours qui consomment peu d’énergie et respectent les contraintes environnementales », explique le spécialiste. En Algérie, les groupes émiriens pourraient élargir l’utilisation de cette norme aux immeubles d’habitation qui accueilleront des locataires fortunés.
Dans ce contexte, selon nos sources, les groupes français Bouygues construction et Vinci sont les mieux placés pour décrocher les futurs projets initiés par les émiriens et les saoudiens en Algérie. Ces deux groupes figurent parmi les rares géants mondiaux du BTP à posséder le label HQE. Dans cette perspective, Bouygues et Vinci accélèrent leur installation en Algérie. Bouygues Construction a déjà créé une filiale à Alger, la BYALGE. Cette dernière a entamé début 2007 les travaux de réalisation du nouveau siège de l'ambassade Grande Bretagne à Alger pour près de 10 millions d'euros, son unique contrat en Algérie. Le gouvernement algérien avait sollicité Bouygues pour la réalisation du programme du million de logements, mais le groupe français a décliné l'offre faute d'un accord sur les prix de construction. Le gouvernement avait demandé à Bouygues d'aligner ses tarifs sur ses concurrents chinois, ce que le groupe français avait refusé. Avec les projets émiriens et saoudiens, Bouygues va pouvoir rattrapé son retard sur le plus important marché d’Afrique. Un autre groupe français entend également profiter des projets émiriens : Saint-Gobain. Le géant mondial de matériaux de construction se déploie discrètement en Algérie via l’acquisition de petites PME publiques.
Les groupes français vont également profité des effets de la nouvelle loi sur la concurrence. Cette dernière va en effet limiter la possibilité pour les groupes chinois qui détiennent déjà des parts de marché importantes dans des projets de BTP de répondre à de nouveaux appels d’offres. Une manière pour le gouvernement algérien de réduire l’influence des Chinois dans ce secteur et diversifier ses partenaires.
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A qui vont profiter les investissements des groupes du Golfe en Algérie ? L’annonce par plusieurs groupes du Golfe de projets colossaux dans l’immobilier de bureaux et l’hôtellerie de luxe, aiguise les appétits des grands groupes internationaux de BTP. Le géant émirien Emaar a dévoilé récemment un investissement de 20 milliards de dollars dans l’immobilier qui vont transformer profondément Alger et sa banlieue. De son coté, le saoudien Al Qudra va investir 10 milliards de dollars dans des projets immobiliers et hôteliers de luxe à Oran et Mostaganem. Les deux groupes vont construire des appartements de très haut standing qui seront vendus en moyenne à plus de 20 millions de dinars. Ils construiront également des immeubles de bureaux : des tours intelligentes qui vont accueillir les multinationales implantées en Algérie. Les matériaux qui seront utilisés dans la réalisation des logements seront sélectionnés et les techniques de construction seront conformes aux normes européennes », explique un spécialiste interrogé par « ******************** ».
Selon nos informations, pour réaliser leurs projets en Algérie, les groupes du Golfe feront appel à des sociétés étrangères qui répondent à des normes internationales reconnues. Parmi elles : la norme HQE (Haute Qualité Environnementale). Ce critère va, exclure de la course les groupes chinois qui ont pourtant remporté la majorité des contrats attribués ces dernières années dans le BTP en Algérie. « La norme HQE est notamment utilisé dans les immeubles de bureaux : elle permet la construction de tours qui consomment peu d’énergie et respectent les contraintes environnementales », explique le spécialiste. En Algérie, les groupes émiriens pourraient élargir l’utilisation de cette norme aux immeubles d’habitation qui accueilleront des locataires fortunés.
Dans ce contexte, selon nos sources, les groupes français Bouygues construction et Vinci sont les mieux placés pour décrocher les futurs projets initiés par les émiriens et les saoudiens en Algérie. Ces deux groupes figurent parmi les rares géants mondiaux du BTP à posséder le label HQE. Dans cette perspective, Bouygues et Vinci accélèrent leur installation en Algérie. Bouygues Construction a déjà créé une filiale à Alger, la BYALGE. Cette dernière a entamé début 2007 les travaux de réalisation du nouveau siège de l'ambassade Grande Bretagne à Alger pour près de 10 millions d'euros, son unique contrat en Algérie. Le gouvernement algérien avait sollicité Bouygues pour la réalisation du programme du million de logements, mais le groupe français a décliné l'offre faute d'un accord sur les prix de construction. Le gouvernement avait demandé à Bouygues d'aligner ses tarifs sur ses concurrents chinois, ce que le groupe français avait refusé. Avec les projets émiriens et saoudiens, Bouygues va pouvoir rattrapé son retard sur le plus important marché d’Afrique. Un autre groupe français entend également profiter des projets émiriens : Saint-Gobain. Le géant mondial de matériaux de construction se déploie discrètement en Algérie via l’acquisition de petites PME publiques.
Les groupes français vont également profité des effets de la nouvelle loi sur la concurrence. Cette dernière va en effet limiter la possibilité pour les groupes chinois qui détiennent déjà des parts de marché importantes dans des projets de BTP de répondre à de nouveaux appels d’offres. Une manière pour le gouvernement algérien de réduire l’influence des Chinois dans ce secteur et diversifier ses partenaires.
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