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The Economist critique le gel de la privatisation du Crédit populaire d'Algérie

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  • #31
    bah remontes le post et dis moi ou j'ai fait un HS pour te provoquer

    Le fait est que lorsque tu es a court d'arguments, tu cherches a devier du topic et a provoquer l'autre. Il en faut malheureusement bcp plus pour me provoquer comme tu l'as remarque.

    Revenons donc au sujet, que penses tu de l'article que j'ai mis plus haut? Ils cherchent a te provoquer aussi?

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    • #32
      Revenons donc au sujet, que penses tu de l'article que j'ai mis plus haut?
      Que "The economist" s'est planté et que "Rothschild conseil" mérite sa rémunération.

      Imagine que le capital du CPA ait été acquis par la Lehman Brothers ??

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      • #33
        hahahah jawzia

        tu l'as déterré hassan dos

        bravo 3alik
        « Great minds discuss ideas; average minds, events; small minds, people. » Eleanor ROOSEVELT

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        • #34
          Que "The economist" s'est planté et que "Rothschild conseil" mérite sa rémunération.

          Imagine que le capital du CPA ait été acquis par la Lehman Brothers ??
          Ca y est un autre qui ne sait pas de quoi il parle, Le capital du "CPA" aurait ete acquis par une banque "commerciale" parce que ce dont le CPA a besoin, plus que le capital, c'est le transfert de savoir faire, de methodes de gestion, d'experience, etc...

          Lehman Brothers a zine fait du capital investment, elle finance les etats, les grandes entreprises et les fortunes, pas le citoyen moyen.

          Aujourd'hui, mettez le CPA la a la vente, vous aurez 0 pretendants parce qu'il faut etre fou pour avoir dans son portefeuille une banque qui n'a de banque que de nom, c'est un "no no" durant la crise financiere actuelle. La valeur du CPA au jour d'aujourd'hui est bcp moindre que lors de sa privatisation avortee. Une raison de plus pour avoir privatise au moment ou les banques avaient les moyens de payer, maintenant c'est pshiit.

          Vous avez donc le choix entre fermer la banque, ou la subventionner.

          Dans le 1er cas, c'est une perte pour l'etat, dans le 2eme c'est une perte pour toi parce que les subventions sont ton argent.
          Dernière modification par Invité, 10 octobre 2008, 23h12.

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          • #35
            Elle ne sera ni fermée, ni subventionnée.

            C'est une banque bénéficiaire, elle compte plus de 1.3 millions de clients et a réalisée un bénéfice de 150 millions de dollars.

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            • #36
              Sacré Jawzia.
              La mauvaise langue n'est jamais à court d'inventions !

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              • #37
                Elle ne sera ni fermée, ni subventionnée.

                C'est une banque bénéficiaire, elle compte plus de 1.3 millions de clients et a réalisée un bénéfice de 150 millions de dollars.
                Le but de la privatisation etait donc... ?

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                • #38
                  nassim

                  merci de situer chronologiquement cet article.
                  il serait bon, en effet, de savoir si l'article du "the economist" est paru avant ou durant la semaine "noire" vécue par les marchés boursiers mondiaux

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                  • #39
                    Mouwatan,

                    Date de l'article est : 28/11/2007

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                    • #40
                      Le but de la privatisation etait donc... ?

                      D'améliorer sa gestion. Et de désengager l'état du secteur bancaire progressivement. Ca veut pas dire pour autant que le CPA est déficitaire ou subventionné.

                      P.S. T'est en retard d'une guerre. Les entreprises publiques déficitaires en Algérie ont été dissoutes dans leur écrasante majorité pendant les années 90.

                      ∑ (1/i²) = π²/6
                      i=1

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                      • #41
                        ayoub7,

                        Le gouvernement a pris une bonne décision. Le moment n’était pas bon pour privatiser le CPA. Avec la crise des subprimes 3 banques soumissionnaires se sont retirées. Notre ministre des finances s’est montré très lucide par rapport à la crise financière qui secoue en ce moment toutes les banques mondiales.

                        Algérie: Suspension de la privatisation du CPA après le retrait de trois banques de la course


                        «L'Etat n'est pas dans l'obligation de vendre à n'importe quel prix»

                        La crise des crédits hypothécaires a brouillé les cartes du dossier de l'ouverture du capital du Crédit Populaire d'Algérie (CPA). Sur les six banques pré-qualifiées pour le rachat de 51% des parts du CPA, seules trois ont décidé d'aller jusqu'au bout de l'opération, alors que les trois autres se sont retirées de la course. Il s'agit du Crédit agricole (France), de la Citibank (Etats-Unis) et de Stantarder (Espagne). «Au 23 novembre, nous n'avions plus que trois banques en lice, les trois autres ayant pris du recul en raison, notamment, de la crise des crédits hypothécaires. Ce qui altérait le jeu tant souhaité de la concurrence et aurait pu toucher le prix. Et l'Etat ne peut pas se permettre un tel risque.» C'est en ces termes que la ministre déléguée à la réforme financière, Fatiha Mentouri, a expliqué, hier, les raisons de la suspension de l'opération de privatisation du CPA, lors d'une conférence de presse animée au siège du ministère des Finances, en présence du P-DG de cette banque, M. Mohamed Djellab. Selon la conférencière, l'Etat a le devoir de veiller sur l'intérêt des institutions financières.

                        «L'Etat n'est pas dans l'obligation de vendre à n'importe quel prix», a clairement expliqué la ministre. Une manière de signifier que le gouvernement ne cherche pas à brader le CPA mais à réaliser les objectifs assignés à cette opération, dont le retrait de deux banques, la française et l'américaine, est lié à la crise des crédits hypothécaires à l'échelle mondiale. En effet, la Citibank a notifié son retrait du processus le 21 novembre dernier alors que le Crédit agricole avait exprimé, deux jours plus tôt, le souhait de voir la date de présentation des offres reportée. La Citibank, l'une des principales banques américaines à être secouée par la crise des «subprime», «a été amenée à engager un processus de restructuration de son management au plus haut niveau de son organigramme», a expliqué la conférencière, tout en précisant que cette banque a vu son résultat net amputé de 4 à 5 milliards de dollars avec une dépréciation d'actifs entre 11 et 14 milliards.

                        La ministre a également regretté le retrait de Citibank : «La Cirtibank est une grande banque. Nous aurions souhaité qu'elle soit dans la course jusqu'au bout», a-t-elle déclaré. Stantarder a, quant à elle, renoncé à l'acquisition d'une part du CPA en mai dernier, s'étant engagée dans une vaste opération de rachat d'une grande banque internationale, toujours selon Mme Mentouri qui a tenu à préciser encore une fois : «En toute souveraineté, la décision a été prise de reporter la réalisation de l'opération de privatisation du CPA. C'est réellement l'effet de cette crise qui a surpris tout le monde. Les premiers signaux sont venus assez tardivement. Le motif est bien celui-là. Il n'est que celui-là.» Elle notera aussi : «Le processus de privatisation du Crédit populaire d'Algérie (CPA) ne sera pas entaché par la décision de sa suspension. Le processus redémarrera une fois les meilleures conditions de visibilité, notamment sur les marchés financiers internationaux, réunies Des conditions pouvant permettre, de l'avis de la conférencière, l'élargissement de la base des investisseurs potentiels, à même d'assurer la réalisation des objectifs assignés à cette opération. La décision de réouverture de ce dossier sera prise «au moment opportun».

                        Le ministère des Finances, rappelle-t-on, avait annoncé samedi
                        dernier, dans un communiqué, sa décision de «surseoir» à l'opération de privatisation du CPA et «par voie de conséquence à l'ouverture des plis, programmée pour le 26 novembre, en attendant une meilleure visibilité sur les marchés financiers internationaux». Et ce, sans annoncer le retrait tardif de Citibank et de Stantarder.

                        Le ministère, qui a motivé cette décision par «l'impact non encore évalué de la crise internationale des crédits hypothécaires», avait souligné que l'objectif est de «réunir toutes les conditions d'un transfert de savoir-faire bancaire, technique, commercial et financier au CPA, d'enrichir sa gamme de produits et de services, de moderniser ses outils de gestion et de contribuer enfin au développement général de tout le secteur bancaire algérien.

                        La privatisation du CPA fut lancée pour rappel en 2001 pour être suspendue et relancée en 2005 et connaître de nouveau le report au bout de sa troisième phase. Car, faut-il le souligner, l'ouverture des plis des offres financières et techniques devait avoir lieu hier. Finalement, ils n'ont même pas été réceptionnés.


                        La Tribune (Algiers)
                        27 Novembre 2007
                        Publié sur le web le 27 Novembre 2007
                        Samira Imadalou
                        Dernière modification par icosium, 11 octobre 2008, 09h54.
                        "Les vérités qu'on aime le moins à apprendre sont celles que l'on a le plus d'intérêt à savoir" (Proverbe Chinois)

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                        • #42
                          Le capital du "CPA" aurait ete acquis par une banque "commerciale"
                          Et qui ont toutes un avenir incertain !!!

                          Ce qui est arrivé à Lehman Brothers peut arriver à toute banque, fusse t-elle commerciale au vu des portefeuille qu'elle possèdent !

                          En tout les cas Merci à Nassim d'avoir retablit la fonction "Recherche" qui nous permettra de remémorer certains "Dires". Comme ne le dit pas le PUB de l'opérateur Nedjma "Al HAdra Machi Batel" !!!

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                          • #43
                            Et merci jawzia pour l'utiliser cette fonction "recherche" et cloturer un débat comme celui là en beauté, avec des conclusion concrétes.

                            ∑ (1/i²) = π²/6
                            i=1

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