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En matière de contrats énergétiques, les groupes français restent toujours à la traîne de leurs concurrents anglo-saxons et chinois. Mais une partie de ce retard devrait être rattrapée à l’occasion de la visite d’Etat de Nicolas Sarkozy en Algérie. Le contrat concernant le projet de construction d'un complexe pétrochimique à Arzew, près d’Oran, sera officiellement signé. Avec une bonne nouvelle pour Total : le groupe français devrait détenir la majorité de la joint-venture qui sera en charge de la réalisation et de l’exploitation de ce projet dont le coût global est estimé à 3 milliards de dollars. Total a d'autres projets dans l'exploration et la production de pétrole. Mieux : Sonatrach et Total pourraient annoncer cette semaine des accords pour des projets communs à l’étranger dans les domaines pétrolier et gaziers.
Pour Gaz de France (GDF), la situation se présente différemment. A l’occasion de la visite de Nicolas Sarkozy, l'Algérie la France vont officiellement reconduire pour six ans supplémentaires les accords gaziers qui expirent en 2013. La reconduction jusqu'en 2019 des accords gaziers algéro-français fait partie d'un accord énergétique global entre les deux pays qui pourrait inclure dans l’avenir une coopération dans le nucléaire civil. Le PDG de GDF, Jean-François Cirelli fera partie de la délégation patronale qui accompagne Sarkozy. Il prendra part à des tables rondes sur les opportunités d'investissement en Algérie qui seront organisées par le Forum des chefs d'entreprises (FCE) à l'occasion de cette visite.
Mais, selon nos informations, la signature de l’accord entre Sonatrach pour l'exploitation du gisement gazier du Touat dans le sud du pays ne va pas intervenir la semaine prochaine. Le projet est toujours en cours d'évaluation, selon un proche du dossier. Un accord pourrait toutefois intervenir début 2008. Gaz de France s'intéresse au développement du gisement gazier du Touat et prévoit des investissements d'un milliard de dollars.
En matière de contrats énergétiques, les groupes français restent toujours à la traîne de leurs concurrents anglo-saxons et chinois. Mais une partie de ce retard devrait être rattrapée à l’occasion de la visite d’Etat de Nicolas Sarkozy en Algérie. Le contrat concernant le projet de construction d'un complexe pétrochimique à Arzew, près d’Oran, sera officiellement signé. Avec une bonne nouvelle pour Total : le groupe français devrait détenir la majorité de la joint-venture qui sera en charge de la réalisation et de l’exploitation de ce projet dont le coût global est estimé à 3 milliards de dollars. Total a d'autres projets dans l'exploration et la production de pétrole. Mieux : Sonatrach et Total pourraient annoncer cette semaine des accords pour des projets communs à l’étranger dans les domaines pétrolier et gaziers.
Pour Gaz de France (GDF), la situation se présente différemment. A l’occasion de la visite de Nicolas Sarkozy, l'Algérie la France vont officiellement reconduire pour six ans supplémentaires les accords gaziers qui expirent en 2013. La reconduction jusqu'en 2019 des accords gaziers algéro-français fait partie d'un accord énergétique global entre les deux pays qui pourrait inclure dans l’avenir une coopération dans le nucléaire civil. Le PDG de GDF, Jean-François Cirelli fera partie de la délégation patronale qui accompagne Sarkozy. Il prendra part à des tables rondes sur les opportunités d'investissement en Algérie qui seront organisées par le Forum des chefs d'entreprises (FCE) à l'occasion de cette visite.
Mais, selon nos informations, la signature de l’accord entre Sonatrach pour l'exploitation du gisement gazier du Touat dans le sud du pays ne va pas intervenir la semaine prochaine. Le projet est toujours en cours d'évaluation, selon un proche du dossier. Un accord pourrait toutefois intervenir début 2008. Gaz de France s'intéresse au développement du gisement gazier du Touat et prévoit des investissements d'un milliard de dollars.