Le ministre des Finances a procédé, hier, à la notification officielle des crédits alloués aux différents ministères et aux wilayas pour l’exercice 2008. M. Karim Djoudi, dans son allocution d’ouverture de la cérémonie de notification et devant les représentants des départements ministériels et des wilayas, a rappelé que durant les dix dernières années, l’État a consacré d’importantes ressources aux dépenses publiques, qui sont passées de 1 099 milliards de dinars en 1999 à 3 947 milliards de dinars en 2007, soit 62% du produit intérieur brut.
L’effort budgétaire se poursuit à travers la loi de finances 2008 qui prévoit un montant de crédits de 4 322,86 milliards de dinars, soit une augmentation de 9,53% par rapport à la loi de finances complémentaire pour 2007. La loi de finances 2008 retient une autorisation de programme de 1 932,04 milliards de dinars et un volume de crédits de paiement de 2 304,89 milliards de dinars. 577,72 milliards de dinars sont destinés “à la mise à niveau des coûts et de la consistance physique du programme en cours”.
Les réévaluations couvrent le programme complémentaire de soutien à la croissance ainsi que les programmes spéciaux de développement des régions du Sud et des Hauts-Plateaux. Compte tenu de l’importance du programme d’équipements publics, le ministre des Finances estime que “les défis à venir résident dans la maîtrise des délais de réalisation et des coûts prévus. Ce qui nécessite un effort particulier de mobilisation de maîtrise d’ouvrage et de capacités de réalisation et une rigueur dans le suivi de l’exécution de la dépense publique”.
source : Liberté
L’effort budgétaire se poursuit à travers la loi de finances 2008 qui prévoit un montant de crédits de 4 322,86 milliards de dinars, soit une augmentation de 9,53% par rapport à la loi de finances complémentaire pour 2007. La loi de finances 2008 retient une autorisation de programme de 1 932,04 milliards de dinars et un volume de crédits de paiement de 2 304,89 milliards de dinars. 577,72 milliards de dinars sont destinés “à la mise à niveau des coûts et de la consistance physique du programme en cours”.
Les réévaluations couvrent le programme complémentaire de soutien à la croissance ainsi que les programmes spéciaux de développement des régions du Sud et des Hauts-Plateaux. Compte tenu de l’importance du programme d’équipements publics, le ministre des Finances estime que “les défis à venir résident dans la maîtrise des délais de réalisation et des coûts prévus. Ce qui nécessite un effort particulier de mobilisation de maîtrise d’ouvrage et de capacités de réalisation et une rigueur dans le suivi de l’exécution de la dépense publique”.
source : Liberté
Commentaire