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Le boom économique de l'Algérie attire les immigrés

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  • #16
    ils veulent investir

    Bienvenus, remontez les manches, et mettez vous au travail.
    n...no....nonnn!!!!! ils n'allez tout de même pas piller l'argent du pétrole et repartir à l'étranger, remarque, ça arrangerai beaucoup de monde.

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    • #17
      Bienvenue à cette richesse inestimable !
      A l'etat de faire en sorte que le climat interieur favorise ce phenomene et qu'il prenne enfin l'ampleur tant souhaité dans le pays.

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      • #18
        Il est où ce boom économique ? qlq 1 voit quelque chose, entend quelque chose !
        Baisse du niveau de vie, croissance fictive et mauvaise gouvernance
        Des économistes tirent la sonnette d’alarme


        L’Algérie est superbement organisée pour demeurer sous-développée » et les Algériens « se dirigent inexorablement vers une trappe de misère permanente ».

        Le constat que les experts font de l’économie nationale est sans appel. Bien que les différents indicateurs macroéconomiques militent en faveur d’une bonne santé économique, il n’en demeure pas moins que la réalité est, selon eux, tellement inquiétante qu’il y a « nécessité de changer tout le système ». Invités hier à Alger à une conférence-débat organisée par la Confédération des cadres de la finance et de la comptabilité (CCFC), Ahmed Benbitour et Abdelhak Lamiri, respectivement ancien chef de gouvernement et docteur en sciences de gestion, estiment que le plus grand problème qui se pose actuellement réside dans la mauvaise gestion des affaires publiques. « Il n’y a pas de pays sous-développé. Il y a des pays mal gérés », soutien M. Lamiri. Pour M. Benbitour, cette idée peut être interprétée autrement, à savoir qu’il faut toujours faire la différence entre « régner sur un pays et gérer un pays ». Tout en estimant que les Algériens sont presque revenus à la situation d’avant la guerre de Libération nationale, avec toutes les misères qui y régnaient, l’ancien chef de gouvernement pense que malgré toute l’évolution que l’économie nationale a connue, les éléments sur lesquels se construit une véritable croissance ne sont pas, à ce jour, réunis. Il citera, entres autres éléments, l’industrialisation, les institutions de qualité, le développement durable, les libertés et l’équité. Se référant à des statistiques officielles, M. Benbitour a indiqué qu’au plan social, une forte austérité est imposée à la population alors que l’argent et les richesses réalisées sont thésaurisés. Selon lui, la part de la consommation des ménages dans le PIB était en 2006 de 31,6%, et de 43,8% en 2002. Durant les années difficiles 1992-1995, cet indicateur reflétant l’austérité était de 54,6% et dans les années 1980 de 48,6%. La moyenne des pays à revenu intermédiaire dans laquelle se classe l’Algérie est de 61%, précise le conférencier. Ce dernier constate de ce fait qu’il y a « une nette transformation de la structure de distribution des richesses au détriment des ménages », et d’ajouter qu’il s’agit là d’un gaspillage de ressources puisque la richesse thésaurisée n’est ni investie ni consommée. Quant aux IDE, M. Benbitour estime que si le montant de 2,8 milliards de dollars représentant le flux net enregistré durant les deux années 2005/2006 paraît important, les rapatriements des bénéfices des seules sociétés associées à Sonatrach s’est situé durant la même période à 10,03 milliards de dollars. Face à ces résultats, l’ancien chef de gouvernement estime que « le changement de régime devient impératif ». « Changer un homme ne signifie pas changer un système, mais garder un homme c’est forcément garder le même système », a-t-il conclu. Abordant la question salariale, M. Lamiri ne manquera pas d’indiquer que « l’Algérie n’a pas de stratégie claire en la matière » et que les statistiques montrent que le niveau de vie de 1985 à 1995 a baissé de 95%. Selon lui, le SMIG a été certes rattrapé ces dernières années, mais un entassement vers le bas des salaires est à constater. Le conférencier relèvera par la même occasion une baisse de la productivité de l’ordre de 1 à 1,5% par an, sans pour autant imputer cette baisse aux seuls travailleurs. « Le manque de management, l’absence de stratégie et les mauvais choix économiques adoptés sont, entre autres, à l’origine de cette baisse de productivité », soutient le même expert. Pour lui, « les statistiques sur la croissance ne doivent pas nous fasciner, dans la mesure où il s’agit d’une croissance extensive et non réelle ». Se voulant plus précis, M. Lamiri dira que cette croissance est tirée par les hydrocarbures et que les performances réalisées sont dues à l’argent du pétrole qui est injecté dans l’économie. C’est la raison qui fait que « notre économie est fondamentalement faible » et le demeurera tant que « les ressources ne sont pas canalisées pour développer la richesse et encourager la productivité », a-t-il ajouté. C’est pourquoi, le conférencier a appelé à orienter les ressources vers la création des PME, tout en instaurant un meilleur management des institutions et une modernisation institutionnelle. Il ne manquera pas également de suggérer la création d’une institution de stratégie regroupant les experts en la matière et proposera, à sa tête, le nom de l’éminent spécialiste algérien, Taïb Hafsi, convoité actuellement par le gouvernement chinois.

        Lyes Malki
        Il y a lieu à surveiller tous les indicateurs. Certains visibles et ne peuvent être ignorés ou cachés à l'opinion. Ils expriment avec objectivité, le retard accumulé par l'algérie dans le domaine économique. Et puis l'éternelle question reste toujours d'actualité : que deviendrait l'algérie sans pétrole ?

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        • #19
          nan je suis desoler je ne ve pa d'immigres en algerie ca ve dire ke siil ya des immigre en algerie il ya ora beacoup de delinquance et en plus nos encetre n'ont pa fait la guerre pour eux

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          • #20
            MenBerline

            N'tawa3koum (les votre) sont des feignants ?

            Quand on s'identifie à un groupe on partage forcement les mêmes valeurs ne serai ce que les symboliques.

            Ce n'est certainement pas la présence de nos voisins et des étrangers au pays qui prouve la Feignantise de nos compatriotes, c'est une lecture simpliste et réductrice des conjonctures socio-économiques qui sévissent en Algérie.

            Le mal est beaucoup plus profond que ça, il a des envergures et des racines qui vont loin, c'est un amalgame de dysfonctionnement et de système qui sert d'excuses et qui laisse libre court à la négation.

            Le mouvement de la main d'oeuvre et l'immigration "économique" est loin d'être un signe ou un indicateur de hyperactivité.

            Enfin encore une fois ce sont des visions raccourcis !

            Sérieusement j'ai beau lire et relire l'intitulé du thread n'a absolument rien a avoir avec le contenu de l'article. J'y comprends plus rien.
            Dernière modification par l'imprevisible, 15 janvier 2008, 20h57.
            “La vérité est rarement enterrée, elle est juste embusquée derrière des voiles de pudeur, de douleur, ou d’indifférence; encore faut-il que l’on désire passionnément écarter ces voiles” Amin Maalouf

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            • #21
              l imprevisible,
              je parles des feneants ntawa3na, et Algerie il existe des fenenats qui ne veulenet pas travailler, je connais le terrain et je sais de quoi je parle, faut pas se gener à les denoncer ni d en avoir honte,
              et je ne m identifie absolument pas á cette categorie d algeriens qui sont feneanst et au lieu de secouer leur c***, il vont critquer lkhedma makanch, et bla bla!

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              • #22
                Je suis d'accord sur le fait que les journaux ne parlent des africains que lorqu'il y a des problèmes, des trafics... un peu comme en France lorsqu'ils parlent des maghébins et leur traffics !
                Je suis pour une immigration controlée et surtout plus juste en Algérie. Il faut aussi qu'il y ait plus de tolérance vis-à-vis de nos frères africains ! Si un jour, Inch'Allah, je possède ma boite en Algérie, j'embaucherai un certain pourentage de travailleurs sub-sahariens
                tout à fait d'accord.
                sinon on embauche celui qui veut travailler qu'il soit algérien ou non, et surtout s'il en a besoin et qu'on a besoin, ou est le problème, faut dire que l'Algérie s'ouvre et c bien de ne pas s'ouvrir que vers le nord, et j'espère qu'il y aura rapidement des assoc, et organisme pour aider ces immigrants qui sont plus proche de nous géographiquement et historiquement

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                • #23
                  MenBerline, hello!

                  Maybe l'ami baybe !!

                  Encore une fois un citoyen ça se forme, j'y crois dure comme fer !

                  La preuve des feignants au pays qui une fois en Europe se lèvent à 4h du matin pour allez au travail ! C'est tout de même paradoxale.

                  Je l'ai écrit ailleurs, ce n'est certainement pas une particularité algérienne il fait arrêter avec ce cliché.

                  Un mal-être n'est jamais facile à vivre.

                  Je ne crois pas qu'il y est des personnes qui s'identifient à cette catégorie de la société. Par contre je tiens à dire et à le redire elle n'est pas représentatrice de tout le pays, car c'est une insulte aux millions d'algériens qui se tuent à la tâche pour pouvoir s'en sortir !

                  Raison pour laquelle il y en a marre de lire cette caricature sur l'algérien.

                  J'ai connus des personnes dans l'impasse ayant une volonté et une motivation mais la chance ne leur a pas était offerte, même quand la possibilité est offerte elle est piégée, un diplômé à qui on propose 3500 Da/mois dans une institution étatique il faut le osé le faire !!

                  Il y a exploitation et embauche ! la différence entre les deux est énorme, ou encore le cas des jeunes ingénieurs et licenciés qui se font le choix d'aller vers le privé, ou la couverture sociale relève du divin, le salaire tourne autour des 7000 DA avec un volume horaire digne des temps des mines !!

                  Faut arrêter avec les politiques de façades, établir un véritable plan de gestion de la main d'oeuvre est une urgence nationale, faut aller au fond des problèmes et non pas les maquiller ou tenter de les aborder d'une manière simpliste.

                  Les troupes ça se motives.
                  “La vérité est rarement enterrée, elle est juste embusquée derrière des voiles de pudeur, de douleur, ou d’indifférence; encore faut-il que l’on désire passionnément écarter ces voiles” Amin Maalouf

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                  • #24
                    La preuve des feignants au pays qui une fois en Europe se lèvent à 4h du matin pour allez au travail
                    Lá aussi je dois te contrarier malheureusement, pas tous, je connais des algeriéns ici qui sont venus disons par hasard ( asylants) et qui ont pas mal de probleme de s adapter au monde du travail, et crois moi, ca n a rien à voir avec le rythme locale ( allemand) , mais avec le rhytme biologique herité par l education de lá ba,
                    pour te dire que cleui qui n a pas resussi chez lui, ne reussira pas forcement et autromatiquement chez les autres!!

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                    • #25
                      >>>Sérieusement j'ai beau lire et relire l'intitulé du thread n'a absolument rien a avoir avec le contenu de l'article. J'y comprends plus rien.

                      Normal, on y parle de boom économique. Un boom apparent en BTPH assuré par une main d'oeuvre abandamment chinoise, une frénésie d'achat et d'importations d'équipements et de produits manufacturés, une production en hausse des hydrocarbures mais qui semble-t-il est en regression cette année.

                      L'algérie n'arrive pas à s'auto-suffir en pomme de terre dont le prix au Kg dévient grosse dépense pour un ménage moyen et on parle de Boom. Normal que l'algérien moyen n'y comprend rien à cet article car, il est en total décalage avec la réalité.

                      Et pour celui qui pense que les algériens expat sentent mauvais, il n'a qu'à poser la question à temmar, celui qui a transformer l'algérie en une vaste caserne pour les chinois. On verra bien s'ils s'en vont après avoir épuiser le ciment encore disponible sur place.

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                      • #26
                        L'algérie n'arrive pas à s'auto-suffir en pomme de terre
                        si les algeriens s occupaient de / et cultivaiet leur terre il y auraiet beaucoup plus de pattates pour tlm mme pour nos voisin le maroc et la tunisie! et peut etre que je trouverais un jour meme ici sur les marchés europennes des mandarines made in Algerie!

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