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Algérie: Des économistes tirent la sonnette d’alarme

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  • #16
    je vois pas la competence de benbitour il etais deja au pouvoir il etait r ministre d'economie qu'est ce qui a comme diplome ouver les yeux c'est juste il a acceder au pouvoir comme tout les chef de l'algerie
    et lamiri qu'est ce qui la fait c'est un docteur et alors on juge pas les gents selon leur diplomes
    lamiri docteur il a juste ouvert une ecole de formation coseil c'est un homme de theorie sa place est a l'université et benbitour aussi
    regarde rebrab il a un plan pour exporter plus de 15millard de dolars en 2025 que l'algerie ne vas pas l'atteindre avec cette politique
    au usa on te demande pas de presenter tes diplome mais plutot ce que u peut aporter comme profit

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    • #17
      ecolo

      Des hommes du terrain ils sont des millions même si il ne font de tapage médiatique.

      Pour ce qui de la TVA l'ami il s'agit de la moelle épinière du circuit économique, sans trop rentré dans le détail.

      Nul besoin d'être en amphithéâtre de la faculté des sciences économiques et sociales, pour en saisir l'importance.
      “La vérité est rarement enterrée, elle est juste embusquée derrière des voiles de pudeur, de douleur, ou d’indifférence; encore faut-il que l’on désire passionnément écarter ces voiles” Amin Maalouf

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      • #18
        monsieur l'imprevisible peut etre je comprend pas mais j'aomerai bien que tu entre dans les detail car moi ce que je comprebnd de la TVA c'est uen taxe sur la valeur ajouté donc il faut avoir une valeur ajouté pou qu'il est une taxe donc il faut avoir la VA pour qu'il est une T
        et ce que je veux bien te passer comme message
        je dis bien c'est une techinique faite pour les pays eupeen le liban c'est que dernierement qu'il ont instaurer cette tax hors qu'on algerie ca fait 15 ans je dis bien il faut arreter d'inporter des lois qui sont faite pour les autres meme le FMI a reconu dernierement quil a tors d'imposer des mode de gestion sur les pays sans avoir bien etudiers les specificité de chaque pays

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        • #19
          voilà un homme qui pourrait sortir l'algerie de son économie de bazar, Tayeb Hafsi,se sont les chinois qui l'exploitent actuellement

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          • #20
            écolo

            Ah si son Excellence le FMI à dit donc nous n'avons plus rien à redire !


            Paroles divines.

            Entre recommandations et systèmes de fonctionnements il y a un monde.

            Le FMI est au service d'un bloc, d'une puissance, pour le savoir il suffit de revoir son histoire et d'où il vient.

            La Valeur ajouté est l'essence même de l'économie.

            Importer des idées, il convient de revoir le fonctionnement de base de l'économie de marché en suite nous en reparlerons.


            Pour en finir avec la parenthèse, Rabrab à certes un parcours qui n'est pas négligeable, mais ce n'est certainement pas au patronat de jouer au régulateur, La révision à la baisse de la TVA est une chose, ça suppression en est une autre.

            Next time!
            “La vérité est rarement enterrée, elle est juste embusquée derrière des voiles de pudeur, de douleur, ou d’indifférence; encore faut-il que l’on désire passionnément écarter ces voiles” Amin Maalouf

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            • #21
              Le Makoudien, bonsoir.

              Faut croire que le journaliste d'El watan a lu dans tes pensées.
              Tiens l'Edito de demain, enfin d'aujourd'hui vue que nous somme déjà le 16.

              _______________________

              Compétences oubliées

              Peu de gens savent que c’est un éminent stratège algérien, Tayeb Hafsi, qui aide le gouvernement chinois à faire avancer ses réformes économiques. Cet expert, parmi tant d’autres, n’a jamais été sollicité par les décideurs algériens alors même que le pays souffre d’un lourd déficit en managers de grande valeur en mesure de doter le pays de cette fameuse vision d’ensemble qui fait la réussite de pays émergents tels la Corée du Sud, le Vietnam, l’Egypte, le Brésil, sans parler de la Chine et de l’Inde.

              Tourner le dos aux compétences est une des caractéristiques du pouvoir politique algérien dont le fonctionnement est assuré généralement par la logique du clanisme, du népotisme et du régionalisme. L’intelligence a fini par se raréfier dramatiquement dans le pays au moment où l’économie est fortement sollicitée pour résorber une énorme demande de travail et répondre à de considérables besoins sociaux.

              Certes, l’Algérie d’aujourd’hui subit toujours les effets de l’exode des cadres enregistré durant les années 1990 du fait du terrorisme. Mais de grandes compétences sont encore disponibles et les exilés ne demandent qu’à rentrer définitivement au pays ou mettre leur savoir-faire au service des institutions, pour peu qu’ils soient sollicités et sécurisés par de bonnes conditions de travail. Le défi majeur du moment reste celui-là, mais il n’est pas à l’ordre du jour.

              Résultat, l’Algérie traîne son immense retard économique, naviguant à vue d’œil, sans tableau de bord ni feuille de route. L’économie est ligotée par l’idéologie et livrée à des politiques souterraines de partage de la rente. Les décideurs politiques se contentent de faire du replâtrage au niveau du secteur productif, complètement déstructuré en contemplant de loin, avec méfiance et crainte, l’évolution anarchique du privé national.

              Les ministres et leurs cadres sont réduits à cafouiller et faire du sur-place. Piégés par l’autorité politique qui leur exige, pour des raisons électorales, des chiffres et des résultats, ils puisent dans les ressources financières tirées des ventes des hydrocarbures. Une manne, signalent des experts, qui profite en large partie à l’étranger par le biais des importations des biens et services.

              S’il est nécessaire, l’argent destiné aux équipements et aux infrastructures n’assure cependant pas une vraie croissance, laquelle ne peut venir que de l’économie productive, c’est-à-dire des entreprises et des investisseurs. Cette vérité – au demeurant universelle – est dite mais non écoutée en haut lieu, sourd à l’évolution du monde moderne, à sa performance et indifférent aux appels des Algériens qui ne trouvent que l’émeute et la grève pour se faire entendre.

              Les universitaires, les lycéens, les enseignants, les médecins et les fonctionnaires, c’est-à-dire l’intelligence et le savoir-faire, crient aujourd’hui leur colère, conduits par une noria de syndicats autonomes. C’est là le signe de la faillite totale du système politique et en même temps l’indice d’une bonne santé de la société algérienne qui refuse la soumission et qui veut s’impliquer dans la quête du changement.

              Ali Bahmane

              L'éditorial d'El watan.
              En date du 16 janvier 2008.
              “La vérité est rarement enterrée, elle est juste embusquée derrière des voiles de pudeur, de douleur, ou d’indifférence; encore faut-il que l’on désire passionnément écarter ces voiles” Amin Maalouf

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