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Le sous-secrétaire adjoint, chargé de la politique d’assistance technique, du département du Trésor des États-Unis, W. Larry McDonald et le gouverneur de la Banque d’Algérie M. Mohamed Laksaci, ont signé, le 26 février dernier, les termes de référence d’un accord d’assistance. L’accord porte sur l’installation d’un conseiller résident du département du Trésor américain à la Banque d’Algérie, qui fournira une assistance technique sur le secteur bancaire algérien en mettant l’accent sur la supervision des banques. M. Robert Demler, le conseil résident, lors d’une conférence de presse organisée hier à l’ambassade des États-Unis, explique l’assistance porte sur cinq domaines. Il s’agit entre autres des préparatifs pour l’éventuelle adoption des dispositions pertinentes de Bâle II, la comptabilité financière des banques, l’amélioration de l’inspection sur site et sur documentation et la communication entre les banques et les régulateurs. Ce sont les priorités dégagées durant cette première année de coopération. M. Demler, qui s’est engagé à assurer l’exposition et la formation sur les meilleures pratiques internationales au personnel d’encadrement du secteur bancaire en Algérie, affirme qu’il fera appel à plusieurs conseillers intermittents (à court terme) durant l’année 2008 afin d’atteindre les objectifs de la Banque d’Algérie.
Le sous-secrétaire adjoint, chargé de la politique d’assistance technique, du département du Trésor des États-Unis, souligne que sa première visite en Algérie a pour objectif de faire valoir l’engagement du Trésor américain à soutenir le programme de modernisation du système financier algérien. W. Larry McDonald affirme avoir “beaucoup appris de ses interlocuteurs”, notamment le ministre des Finances, la ministre déléguée chargée de la Réforme financière et le gouverneur de la Banque d’Algérie. Au-delà de l’assistance à la Banque d’Algérie, le sous-secrétaire adjoint, chargé de la politique d’assistance technique, du département du Trésor des États-Unis a évoqué, un autre programme avec le ministère des Finances. Une relation consultative entre le département du Trésor américain et le ministère des Finances avait été établie, rappelle le communiqué, au début de 2006, à travers les visites du conseiller du département du Trésor américain, James French.
Ce dernier a travaillé avec le ministère des Finances sur la gestion et la stratégie des dettes ; la création d’un système moderne, sécurisé et efficace de dépôt et de règlement des fonds publics ; le développement d’un système de marché financier diversifié qui repose sur les prix du marché et sur des pratiques saines de gestion des risques internationaux ; l’établissement d’un marché secondaire dynamique pour les fonds publics ; le développement d’une infrastructure de technologie de l’information pour les finances ; la construction d’un marché hypothécaire. “Nous allons nous focaliser sur le marché hypothécaire et celui des titres souverains de l’État. L’objectif est de multiplier le nombre et le genre de titres pour le bon fonctionnement du marché et de rendre les titres plus accessibles aux investisseurs”, explique James French. La véritable assise de la Bourse, ce sont les marchés obligataires et hypothécaires. Le marché hypothécaire ne fonctionne pas en Algérie. Mais, M. French se dit optimiste. “Le potentiel est énorme eu égard à la disponibilité des liquidité”, explique-t-il, estimant que le moment “est opportun”. Le sous-secrétaire adjoint, chargé de la politique d’assistance technique, du département du Trésor des États-Unis, W. Larry McDonald, a aussi rencontré le directeur général des impôts et le responsable de la Cellule de traitement du renseignement financier (CTRF) avec lesquels il a évoqué la possibilité de coopération.
source : Liberté
Le sous-secrétaire adjoint, chargé de la politique d’assistance technique, du département du Trésor des États-Unis, souligne que sa première visite en Algérie a pour objectif de faire valoir l’engagement du Trésor américain à soutenir le programme de modernisation du système financier algérien. W. Larry McDonald affirme avoir “beaucoup appris de ses interlocuteurs”, notamment le ministre des Finances, la ministre déléguée chargée de la Réforme financière et le gouverneur de la Banque d’Algérie. Au-delà de l’assistance à la Banque d’Algérie, le sous-secrétaire adjoint, chargé de la politique d’assistance technique, du département du Trésor des États-Unis a évoqué, un autre programme avec le ministère des Finances. Une relation consultative entre le département du Trésor américain et le ministère des Finances avait été établie, rappelle le communiqué, au début de 2006, à travers les visites du conseiller du département du Trésor américain, James French.
Ce dernier a travaillé avec le ministère des Finances sur la gestion et la stratégie des dettes ; la création d’un système moderne, sécurisé et efficace de dépôt et de règlement des fonds publics ; le développement d’un système de marché financier diversifié qui repose sur les prix du marché et sur des pratiques saines de gestion des risques internationaux ; l’établissement d’un marché secondaire dynamique pour les fonds publics ; le développement d’une infrastructure de technologie de l’information pour les finances ; la construction d’un marché hypothécaire. “Nous allons nous focaliser sur le marché hypothécaire et celui des titres souverains de l’État. L’objectif est de multiplier le nombre et le genre de titres pour le bon fonctionnement du marché et de rendre les titres plus accessibles aux investisseurs”, explique James French. La véritable assise de la Bourse, ce sont les marchés obligataires et hypothécaires. Le marché hypothécaire ne fonctionne pas en Algérie. Mais, M. French se dit optimiste. “Le potentiel est énorme eu égard à la disponibilité des liquidité”, explique-t-il, estimant que le moment “est opportun”. Le sous-secrétaire adjoint, chargé de la politique d’assistance technique, du département du Trésor des États-Unis, W. Larry McDonald, a aussi rencontré le directeur général des impôts et le responsable de la Cellule de traitement du renseignement financier (CTRF) avec lesquels il a évoqué la possibilité de coopération.
source : Liberté