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Une pépinière pour des logiciels 100% marocains

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  • Une pépinière pour des logiciels 100% marocains

    Un centre de développement de logiciels va prendre ses quartiers à l’Institut national des postes et télécommunications (INPT). Dans le jargon des TI, on parle de «soft center» où l’on travaille sur des applications technologiques de pointe. Tout y passe, e-gov, jeux vidéo, sécurité informatique… Plusieurs institutions vont s’engager dans le «soft center». Il y a d’abord les universités (Casablanca, Rabat, Al Akhawayn…), les écoles d’ingénieurs, notamment l’Ensias, et les entreprises.
    «Le lancement du centre va se faire dans une première phase au sein de l’INPT. D’ici 2 ans, il sera logé dans la technopole de Rabat», précise le responsable de l’entité prospective et nouvelles technologies à l’ANRT, Hicham Lahjomri. A l’INPT, l’incubateur sera installé sur une superficie de 700 m2. Cette surface va passer par la suite à 7.700 m2 au sein de la technopole.
    L’ANRT, partenaire du projet, vient d’ailleurs de lancer un appel d’offres. Son but est «d’identifier les thématiques porteuses, notamment dans les activités concurrentielles». Elle devra aussi plancher sur la formule juridique du futur soft center. Un «groupement d’intérêt public est parmi les formes sociales qui pourraient être retenues», commente-t-on auprès de l’ANRT.
    Le lancement de ce centre a-t-il un intérêt stratégique pour le secteur? Certainement, réplique le directeur de l’Association professionnelle des technologies de l’information (Apebi), Jamal Benhammou. Pour lui, «le secteur a besoin de visibilité, aussi bien en termes de commandes que de besoins». Et qui dit commandes et besoins, dit contrats et innovations.
    «La R&D est la clé pour anticiper à l’évolution du marché d’où l’intérêt d’un centre de développement», poursuit Ben Hammou. Les chiffres annoncés lors du Gitex à Dubaï, un des grands rendez-vous des TI, donnent le tournis. Le marché maghrébin connaîtra une croissance de 15% par an pour générer des revenus estimés à 10,4 milliards de DH. La région Mena se classe 3e en termes de croissance de marché, après l’Inde et la Chine. En cinq ans, son marché a pratiquement doublé pour atteindre un peu plus de 107 milliards de DH en 2008.
    C’est dire que les entreprises marocaines qui s’alignent dans le secteur des TI, doivent être réactives. Il y a une contrainte tout de même. Elles ne disposent pas toujours d’assez de fonds pour se lancer dans la recherche. «La mutualisation des compétences et des moyens permet de dépasser cet obstacle, d’où l’intérêt du soft center», souligne le représentant de l’Apebi. Il n’hésite pas à parler de «solutions technologiques marocaines». M2M groupe, à titre d’exemple, a déjà sauté le pas en créant une solution informatique. Pour rappel, un contrat-progrès 2006-2012, cautionné par le gouvernement, prévoit un fonds de soutien à l’innovation au secteur des TI.

    F. F. [/I]

  • #2
    Ou comment fabriquer un faux évènement national. cela dit même ta grand mère peut développer une application avec Dbase.


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    • #3
      laisse sa grande mere tranqil et parlons de la tienne pour une seconde.
      et si c'est aussi facile que sa pourquoi elle n'a pas developer un prince of percia comme a casa? elle peut faire beacoup d'argent.
      ou encore mieux pourquoi elle ne cree pas une solution monetique integree, la aussi elle peut travailler de sa maison pour des groupes marocain ou mondiaux.

      pour resumer je sais que ta grande mere a beacoup de savoire mais elle l'etulise pas c'est sa la differnce.
      tous le respet a ta grand mere et toutes les femmes maghrebain. la prochaine fois essaye de rester dans le sujet.
      Dernière modification par auscasa, 07 mars 2008, 08h23.

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      • #4
        ya auscasa ça se voit que tu croit que l'informatique c'est de la magie!

        et apparemment le jeu Prince Of Persia est un fleuron de la technologie marocaine, c'est la fierté nationale, bravo les grand mères.


        tout ça c'est pour faire croire que le gouvernement travaille, alors que ce cinéma à grands frais cache une incompétence maladive.

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        • #5
          ya auscasa ça se voit que tu croit que l'informatique c'est de la magie!
          non mon frere je crois que l'informatique et la nouvelle technologie c'est un savoire faire et pas de la magie.

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          • #6
            Ah parce qu'on a developpé le jeu Prince of persia à Casa.... j'ai un p'tit doute qd meme. Surement pas dans son integralité cela va de soi. Quel(s) module(s) a été développé au Maroc ?
            Je suis père et fais de mon mieux au regard de cette citation :
            "L'exemple, c'est tout ce qu'un père peut faire pour ses enfants." Thomas Mann
            Cette citation me vient de mon cousin chaoui Adhrhar

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            • #7
              ca na rien a voir avec le gouvernement,
              tu es à coté de la plaque


              non ca veut dire que le privé travaille et les marocains travaillent

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              • #8
                c'est l'histoire des NTIC marocains qui bousculent l'inde et la chine ,bis
                l'effet annonce a fait son temps , avec les temps troubles que connais l'economie mondiale personne ne peux dire ceque sera l'economie mondiale ds 10 ans , je suis de ceux qui pensent que la mondialisation c'est du khorti , il faut une economie nationale tres tres solide et basée sur du strategique , preduire pour 1 million de dollars de logiciel et importer 4 milliards de dollards de blé !!!
                en verité ...en verité... je vous le dis .. si un grain de blé tombe en terre et ne meurt pas ,il restera seul , mais s'il meurt ,il donnera beaucoup de fruits . evangile

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                • #9
                  High Tech : Ubisoft Maroc : Expansion du studio de Casablanca

                  Ubisoft, l'un des plus grands éditeurs de jeux vidéo au monde, annonce un plan d'expansion de son studio de Casablanca, pour lequel seront recrutés 150 nouveaux collaborateurs d'ici 2010. Le studio déménagera vers des lieux avec les infrastructures adaptées pouvant accueillir l'équipe agrandie, toujours à Casablanca.

                  Le plan d'embauche de 150 personnes est soutenu par le gouvernement marocain, par l'intermédiaire d'un programme favorisant les emplois qualifiés dans le domaine des nouvelles technologies. Ce programme prend la forme d'aides à l'embauche et à la formation.

                  Ubisoft a ouvert le studio de Casablanca en 1998. Son équipe a travaillé sur les succès mondiaux que sont Peter Jackson's King Kong: The Official Game of the Movie et Prince of Persia Les Deux RoyaumesT. Elle a plus récemment créé des jeux sur Nintendo DS tels que Star Wars®: Lethal AllianceT et Rayman Raving RabbidsT. Le studio emploie actuellement une équipe de 50 personnes et développe Rayman Raving RabbidsT 2 sur Nintendo DS.


                  Avec plus de 3200 collaborateurs autour du monde, Ubisoft est la deuxième force de production de l'industrie du jeu vidéo. Seul développeur présent au Maroc et en Afrique du nord, Ubisoft recrute des talents issus des écoles d'ingénieurs et d'art locales, et leur fournit une formation supplémentaire dans l'art de créer des jeux vidéo. Par ailleurs, de nombreux artistes et ingénieurs marocains ont rejoint d'autres studios du groupe à travers le monde pour étendre et partager leur expérience.

                  " En 1998, Ubisoft a décidé de créer un studio à Casablanca, en sachant que le système d'enseignement local serait en mesure de fournir des talents, " a déclaré Yves Guillemot, PDG d'Ubisoft. " C'est un honneur de travailler avec le gouvernement marocain pour étendre de façon significative notre activité dans la région. L'économie marocaine et l'industrie du jeu vidéo ont un point commun : leur croissance. Nous sommes fiers de notre rôle de pionniers dans cette région dynamique. "

                  " Il y a beaucoup de jeunes au Maroc qui ont la passion des jeux vidéo, " a déclaré Cyril Vermeil, directeur du studio de Casablanca. " Notre rôle est de recruter des talents locaux qui veulent évoluer au sein d'Ubisoft et devenir des spécialistes reconnus dans une industrie qui offre toujours plus d'opportunités de carrières. "

                  D'après Ubisoft
                  Dernière modification par ayoub7, 07 mars 2008, 16h57.

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                  • #10
                    en effet 150 personne c'est meiux que 0 personne , mais 150 c'est comme nos 100 concepteurs de sattelites que forme eads à toulouse , c'est un echantillon non representatif de quque chose qui s'apelle industrie , c pas ces 100 qui font une induistrie du jeux video, ou une industrie spaciale.
                    en verité ...en verité... je vous le dis .. si un grain de blé tombe en terre et ne meurt pas ,il restera seul , mais s'il meurt ,il donnera beaucoup de fruits . evangile

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                    • #11
                      jamaloup, c'etais juste un exemple parmis des milliers .

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                      • #12
                        des NTIC marocains qui bousculent l'inde et la chine



                        Le studio emploie actuellement une équipe de 50 personnes
                        femmes de ménages comprises?

                        Ce programme prend la forme d'aides à l'embauche
                        hahahaha


                        pendant que vous y êtes faites nous le retour de mickey

                        basta les bluffeurs

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                        • #13
                          oui regole l'ami, le chiffre d'affaire de l'offshooring etait deja de 4.1 milliard de dollars en 05. biensur c'est un ptit chiffre mais c'est pas mal pour un debut parceque tous sa n'a commencer qu'on 2001.




                          L’activité génère un chiffre d’affaires avoisinant les 31 milliards de dhs L’Offshoring fait son chemin au Maroc. Depuis 2001, ce secteur a connu une croissance remarquable.

                          Les opportunités et les atouts dont il dispose ainsi que la dynamique qui se met déjà en place laissent présager que le meilleur est à venir. Tel est le constat du département de l’Industrie et du Commerce, livré dans un récent numéro de sa revue trimestrielle « Interface ».

                          Bien plus, ajoute-t- on, le Maroc est considéré aujourd’hui comme une plate- forme attractive, pour accueillir les activités de services délocalisés, par les entreprises européennes, pour tout ce qui concerne la conception et le traitement de l’information (conception des logiciels, centres d’appels, traitement de l’information financière et comptable, travaux d’édition,...).

                          Selon le département de l’Industrie et du Commerce, plusieurs entreprises ont pu, d’ailleurs, développer des activités liées au pôle de l’offshoring et pour lesquelles le pays est bien positionné à l’échelle internationale notamment dans l’espace francophone et hispanophone. Dans ce sillage, la même source cite quelque indicateurs de la Fédération des technologies de l’information, des télécommunications et de l’offshoring. Le chiffe d’affaires du pôle offshoring au Maroc a atteint en 2004, plus de 26 milliards de Dh et avoisine les 31 milliards en 2005. Le secteur emploie actuellement plus de 45.000 personnes (Casablanca, Tanger, Rabat, Marrakech, Agadir).

                          La branche la plus développée en matière de ce type de service sont les centres d’appels. Plus de 10.000 personnes y travaillent actuellement et leur nombre peut atteindre 150.000 à condition que les mesures adéquates soient prises pour améliorer la qualification des ressources humaines, selon toujours le ministère du Commerce et d’Industrie (MCI) citant cette fois- ci l’Association marocaine des centres d’appels. Casablanca est devenue la principale destination offshore des centres d’appels francophones. Et ce, grace à l’aménagement de la zone destinée à accueillir les activités de ce type de service. Ce qui permettra à la capitale économique de faire face à la concurrence, certes forte, de la Tunisie, du Sénégal, des Iles Maurice, de la Roumanie et surtout de la France.

                          Il ressort aussi de la revue « Interface » qu’outre les centres d’appels, certaines activités de service délocalisées par les entreprises européennes, notamment françaises, s’orientent vers la destination Maroc. Pour les entreprises marocaines, certaines d’entre- elles s’occupent déjà des travaux comptables et de gestion et du traitement de l’information. Quant aux logiciels et au génie informatique, leur industrialisation commence à se développer.

                          Pour le MCI, plusieurs facteurs sont à l’origine du développement de ces activités. D’abord, l’existence de jeunes bacheliers et de jeunes diplômés, qui peuvent se convertir, grace aux formations dédiées de courte durée, aux activités de l’offshore.

                          Les autre facteurs évoqués, l’existence d’une politique volontariste affichée (infrastructures de télécommunication conformes aux standards internationaux et la mise en place d’une zone dédiée à l ’offshoring à Casablanca) et la stabilité politique.

                          En dépit de ces performances, le développement de l’offshoring au Maroc demeure entraver par certains obstacles.

                          Parmi ces freins, le monopole d’Ittisalat Al Maghrib sur les services de données.

                          En tout cas, et à la lumière des données sus- mentionnées, l’offshoring connaît actuellement au Maroc un développement significatif. Ce qui montre que le Royaume s’insère davantage dans l’économie mondiale.

                          A. Channaje Source : L’Opinion
                          Dernière modification par auscasa, 07 mars 2008, 19h50.

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                          • #14
                            Oh non c'est tres loin d'etre un petit chiffre, le chiffre de l'offshoring uniquement est surement plus grand que toutes les exportations non-hydrocarbures de certains pays petroliers...

                            Pour Prince of Persia, il n'y a pas que le jeu, il y aussi une autre industrie qui en profitera vu que le film sera tourne au Maroc...

                            Prince of Persia sera tourné au Maroc !
                            Par Gillossen, le 07/03/2008 à 07:18

                            Sous la direction de Mike Newell, qui semble avoir amorcé un virage dans sa carrière de réalisateur, l'adaptation du jeu vidéo Prince of Persia déplacera son tournage dans les sables du Maroc !

                            Celui-ci devrait débuter là-bas à la mi-juin. Le long métrage se tournera également dans les fameux studios anglais de Shepperton, à Pinewood. Disney espère d'ores et déjà pouvoir en mettre d'autres en chantier si celui-ci est un succès.
                            Le script a été écrit à quatre mains, par Jeffrey Nachmanoff (Le Jour d'Après) et le créateur originel du jeu, Jordan Mechner.
                            Dernière modification par ayoub7, 07 mars 2008, 23h12.

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                            • #15
                              Superlatifs,effets d'annonces creux.......quand tu nous tiens.

                              Tout ca pour dire:

                              Des compagnies etrangeres pour raisons budgetaires evidentes,sous-traitent des operations a valeur ajoutee technologique insignifiante,dans un pays aux salaires derisoires.

                              Comprendre par la:

                              98% de tout ce jargon sophistiquee(offshore,nearshore...) c'est du call center business(centre d'appels).
                              Oui vous avez tout comprit:
                              Allo,oui missiou......tousuite missiou....il faut que j'abelle la froce pour gunfirmer.

                              Et les 2% qui restent,c'est des activites repetitives assimilees,qui n'ont plus cours dans les pays developpes(gestion des couts oblige).

                              C'est bien,continuer a suivre les instructions de ceux qui font la conception et le developpement de ces produits et engrangent des plus values immenses,pendant que vous executez des taches repetitives incongrues revolues en europe,a moindre coup et......repondre au telephone,biensur.
                              Dernière modification par Samy111, 08 mars 2008, 00h38.

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