Le premier responsable de la plus importante entreprise algérienne, à savoir Sonatrach, a déclaré que cette dernière consacre quelque 40 millions de dollars par an au volet de la formation et du recyclage, soit 6% de son chiffre d'affaires. De prime abord, ce montant peut paraître exorbitant. 40 millions de dollars, c’est tout de même une somme assez conséquente. Sauf qu’il faut se dire que cet argent investi dans les ressources humaines n’est pas jeté par les fenêtres. C’est un ragent censé apporté une plus-value à l’entreprise par la mise à niveau du personnel et des cadres de la Sonatrach. Et pour cause, ce sont eux qui sont appelés à promouvoir davantage l’entreprise. Assurer donc les meilleurs enseignements atteints dans le monde qui sont à la base des meilleures pratiques dans le domaine de la gestion à cet encadrement est un investissement qui ne peut que s’avérer payant. Mais cette formation doit être rentabilisée par l’implication des cadres de la gestion en amont et en aval de Sonatrach, qui fait face à la concurrence d’entreprises étrangères installées dans le pays et qui proposent, entre autres, des salaires très attractifs. Mais il est vrai aussi que les cadres de Sonatrach, notamment, perçoivent des rémunérations supérieures à celles du commun des autres cadres exerçant dans d’autres entreprises nationales.
N. K.
N. K.
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