L’économie de l’eau : un marché prometteur

[bazino]

300 participants étrangers attendus au salon d’Alger

L’économie de l’eau : un marché prometteur



Des dizaines d’entreprises étrangères sont attendues au 4e Salon international des équipements et services hydrauliques qui sera organisé à Alger du 19 au 23 mai prochain afin de se positionner dans un marché d’une valeur de 21 milliards de dollars dans le domaine de la revitalisation du secteur hydraulique et 250 millions de dollars dans le dessalement d’eau de mer.
Après le secteur des technologies et des télécommunications, le gouvernement a injecté des enveloppes financières importantes dans le domaine de l’économie de l’eau. Ceci a attiré les entreprises étrangères notamment françaises, espagnoles, italiennes, allemandes et suisses au moment où le gouvernement a décidé de réaliser 14 stations de dessalement dans différentes wilayas. Les repères de ce marché seront définis lors du Salon international organisé par l’opérateur international Politec au palais des expositions du 19 au 23 mai prochain.
Mme. Sylvie Vourne directrice de Politec 2008 a indiqué hier lors d’une conférence de presse que l’exposition abritera 300 exposants, 58% des compagnies étrangères représentant 20 pays alors que la participation locale est estimée à 95 entreprises, soit 42% du nombre total des exposants.
Le salon sera accompagné de débats animés par des experts dans le domaine de la technologie de l’eau en vue d’examiner les voies et moyens à même d’intégrer l’Algérie dans le système international des technologies de l’eau.

El Khabar

[zmigri]

Nos ministre parlent de dévelopement durable mais sur le terrain que d gaspillages en ressources et de dégats sur l'environnement. Si le déssalement de l'eau de mer est un paliatif, il ne doit pas être une règle parce qu'il a un coût. L'énergie qui a été necessaire à produire le m3 d'eau aurait pu servir à autre chose.
Des pays moins dotés que nous en ressources hydriques font tout pour augmenter et entretenir les ressources en eau.
Si les barrages participent dans cette démarche il existe des mesures moins onéreuses mais contraignantes pour les usagers, propriétaire de leurs maison individuelle, ça consiste à récupérer l'eau de pluie qui provient d'une toiture ou d'une terrasse au moyen d'une goutière qui sera acheminée à un puit "perdu" creusé par le propriétaire, 6m de profondeur suffisent pour alimenter la nappe phréatique et éviter que ces qtés d'eaux aillent encombrer le réseau des eaux vannes et des stations d'épuration et générant en ce cas un coût sur la facture d'eau(coût de l'assainissement).
Ce sont les mesures les plus simples qui préservent l'environnement.