Sontrach : deux contrats de 4,5 mds USD pour la construction deux usines d'ammoniac

[mendz]

La société société nationale des hydrocarbures Sonatrach a signé lundi à Alger deux contrats d'un montant global de 4,5 milliards de dolllars pour la réalisation de deux complexes de production d'ammoniac et d'urée dans la zone industrielle d'Arzew, près d’Oran.

Sonatrach a signé un premier contrat pour la construction d'un complexe de production d'ammoniac et d'urée avec la société Al Aldjazairia Al Omania Lil Asmida, détenue à 49% par le groupe Sonatrach, et 51% par le groupe Omanais Suhail Bahuan avec le consortium japonais Mitsubishi heavy industries (Mhi). Le coût global de ce projet est estimé à 2,4 milliards de dollars. La capacité de production de cette usine est de 7.000 tonnes par jour d'urée et 4.000 tonnes par jour d'ammoniac, selon la Sonatrach.

Le second contrat, signé entre la Sonatrach et le groupe égyptien Orascom, porte sur la construction d'une autre usine de production d'ammoniac et d'urée à Arzew d'une capacité de 4.400 tonnes/jour d'ammoniac et 3.450 tonnes/jour d'urée, destinés à l'exportation, selon la même source. Le coût de ce projet s'élève à 2,16 milliards de dollars.

TSA

[nacer-eddine06]

IL FAUT une raffinerie
qui puisse transformer 500 OOO B/J
en produits blancs
c la qu il ya des sous a ce faire
au lieu d envoyer notre petrole betement aux usa

[riati]

Aussi, le voisin de l'Ouest est un gros importateur d'amoniac

[azouz75]

IL FAUT une raffinerie

La nouvelle raffinerie d'Adrar est désormais opérationnelle.

Une nouvelle raffinerie sera construite dans la région centrale de Tiaret, a annoncé le quotidien Liberté jeudi 2 février. Tiaret a été choisie en raison de sa proximité des oléoducs OZ1 et OZ2 et de sa position au confluent des 14 districts algériens. Ce site est également proche des Hauts Plateaux et de la future autoroute Est-Ouest qui reliera les frontières tunisienne et marocaine. La raffinerie aura une capacité de production annuelle de 15 millions de tonnes, dont la moitié est destinée à l'exportation. Elle produira des dérivés du pétrole (fuel et essence sans plomb, notamment) conforme aux normes européennes.

L’Algérie compte traiter et raffiner sur son sol pour l’utilisation locale ou l’exportation, la moitié de sa production pétrolière, portée à 1,5 million de barils/jour.

La capacité actuelle des raffineries existantes étant de 500.000 barils/jour, un apport supplémentaire de quelque 300.000 barils/jour est donc nécessaire, devait souligner le ministre de l’Energie et des Mines, Chakib Khellil, qui était en visite jeudi à Adrar, Hassi R’mel et Tiaret pour inspecter des infrastructures et projets de son secteur.


(c) Liberte