New York (AWP/AFX) - Les stocks américains de brut ont chuté à la surprise générale la semaine dernière, propulsant les prix du baril de pétrole à des niveaux historiques aussi bien à New York qu'à Londres.
Le baril de pétrole est monté à 114,95 dollars à New York, peu après la publication du rapport hebdomadaire du département américain à l'Energie (DoE), faisant le point sur l'état des réserves.
A Londres, le baril de Brent de la Mer du Nord s'est hissé à 112,73 dollars, là encore un niveau inédit.
Les réserves américaines de brut ont diminué de 2,3 millions de barils, à 313,7 millions de barils, lors de la semaine achevée le 11 avril, a annoncé mercredi le ministère, alors que les analystes prévoyaient au contraire une progression de 1,8 million de barils.
Cette fonte des stocks s'explique notamment par une baisse des importations, ressorties à environ 8,9 millions de barils par jour, soit 33'000 barils quotidiens de moins que la semaine précédente, selon le ministère.
Les réserves de brut sont désormais inférieures de 6% à leur niveau d'il y a un an et elles se situent "en deçà de la fourchette moyenne pour cette période", selon le ministère.
Très sollicités à l'approche de l'été, période de grands déplacements aux Etats-Unis, les stocks d'essence ont quant à eux fondu de 5,5 millions de barils, à 221,3 millions de barils. Les analystes tablaient sur un recul ne dépassant pas 1,8 million de barils.
Inférieurs de 8% par rapport à l'an dernier à la même époque, ces stocks sont toutefois "dans la moitié supérieure de la fourchette moyenne pour cette époque de l'année", a précisé le DoE.
Les réserves de produits distillés se sont quant à elles étoffées de 100'000 barils, à 106,1 millions de barils, alors qu'elles étaient annoncées en baisse de 1,65 million. En retrait de 11,7% sur l'an dernier, elles se situent "dans la moitié inférieure de la fourchette pour cette époque de l'année".
Enfin, la cadence des raffineries a ralenti la semaine dernière, en tournant à 81,4% de leurs capacités, contre 83% la semaine précédente.
Sur les quatre dernières semaines, la consommation des Américains en produits pétroliers a été de près de 20,6 millions de barils par jour en moyenne, soit 0,1% de plus qu'un an plus tôt.
La demande d'essence, qui croît avec l'approche de l'été, a été en moyenne de 9,3 millions de barils par jour sur les quatre dernières semaines, soit +0,8% par rapport à la même période un an plus tôt.
La consommation de distillats (fioul de chauffage et diesel), qui ralentit avec l'arrivée du printemps, a été en moyenne de 4,2 millions de barils par jour sur les quatre dernières semaines, en baisse de 0,9% par rapport à la même période en 2007.
Le baril de pétrole est monté à 114,95 dollars à New York, peu après la publication du rapport hebdomadaire du département américain à l'Energie (DoE), faisant le point sur l'état des réserves.
A Londres, le baril de Brent de la Mer du Nord s'est hissé à 112,73 dollars, là encore un niveau inédit.
Les réserves américaines de brut ont diminué de 2,3 millions de barils, à 313,7 millions de barils, lors de la semaine achevée le 11 avril, a annoncé mercredi le ministère, alors que les analystes prévoyaient au contraire une progression de 1,8 million de barils.
Cette fonte des stocks s'explique notamment par une baisse des importations, ressorties à environ 8,9 millions de barils par jour, soit 33'000 barils quotidiens de moins que la semaine précédente, selon le ministère.
Les réserves de brut sont désormais inférieures de 6% à leur niveau d'il y a un an et elles se situent "en deçà de la fourchette moyenne pour cette période", selon le ministère.
Très sollicités à l'approche de l'été, période de grands déplacements aux Etats-Unis, les stocks d'essence ont quant à eux fondu de 5,5 millions de barils, à 221,3 millions de barils. Les analystes tablaient sur un recul ne dépassant pas 1,8 million de barils.
Inférieurs de 8% par rapport à l'an dernier à la même époque, ces stocks sont toutefois "dans la moitié supérieure de la fourchette moyenne pour cette époque de l'année", a précisé le DoE.
Les réserves de produits distillés se sont quant à elles étoffées de 100'000 barils, à 106,1 millions de barils, alors qu'elles étaient annoncées en baisse de 1,65 million. En retrait de 11,7% sur l'an dernier, elles se situent "dans la moitié inférieure de la fourchette pour cette époque de l'année".
Enfin, la cadence des raffineries a ralenti la semaine dernière, en tournant à 81,4% de leurs capacités, contre 83% la semaine précédente.
Sur les quatre dernières semaines, la consommation des Américains en produits pétroliers a été de près de 20,6 millions de barils par jour en moyenne, soit 0,1% de plus qu'un an plus tôt.
La demande d'essence, qui croît avec l'approche de l'été, a été en moyenne de 9,3 millions de barils par jour sur les quatre dernières semaines, soit +0,8% par rapport à la même période un an plus tôt.
La consommation de distillats (fioul de chauffage et diesel), qui ralentit avec l'arrivée du printemps, a été en moyenne de 4,2 millions de barils par jour sur les quatre dernières semaines, en baisse de 0,9% par rapport à la même période en 2007.
Commentaire