Vers une hausse de 20 à 30 % des prix des véhicules assemblés en Algérie

[Bachi]

Par Maacha H.

2 mai 2021




Photo : production locale d'automobile


Les prix des véhicules montés en Algérie devront connaitre une hausse conséquente dès la reprise de l’activité du montage automobile dans le pays. En effet, des hausses oscillant entre 20 à 30 % sont attendues sur le prix total des voitures, ce qui représente des augmentations qui pourraient dépasser les 50 millions de centimes sur certains modèles.

Alors que les usines de montage automobile sont sur le point de reprendre service après un arrêt de 2 ans, les prix des voitures assemblés en Algérie devraient connaître une hausse considérable. Citant une source proche du dossier, le quotidien francophone Le Soir d’Algérie a indiqué que les voitures montées en Algérie subiront entre 20 et 30% de hausses par rapport aux anciens prix.

Se basant sur ces chiffres, le quotidien a pris l’exemple des véhicules montés à l’usine Renault Algérie. Alors qu’elle se vendait auparavant à 1 639 000 dinars, le prix de la Renault Symbol devrait passer à 2 048 000 dinars, après avoir subi une hausse approximative de 25 %. La Renault Clio, dont le prix initial était de 2 149 000 dinars, devrait connaître une augmentation de plus de 50 millions de centimes, et s’affichera à 2 686 000 dinars.
Les raisons des hausses des voitures montées en Algérie


Par ailleurs, la même source est revenue sur les raisons qui engendreront de telles hausses. En plus des droits de douane, variant entre 5% et 15% du prix des véhicules, les différents opérateurs devront désormais s’acquitter de la TVA de 19 %, après que la période d’exonération de paiement des droits et taxes de 5 ans a pris fin.

La nouvelle taxe sur le véhicule neuf qui débute à partir de 70 000 dinars, décidée par le gouvernement d’Ahmed Ouyahia fait également partie des raisons qui pousseront les opérateurs à augmenter les prix des voitures montées en Algérie. Notons enfin que les investisseurs devront régler les frais liés à la longue période de stockage des kits SKD bloqués depuis presque deux années dans les ports du pays.

Autant de paramètres qui feront en sorte que les prix des voitures montées en Algérie ne seront plus comme avant. Une situation qui arrange plus les revendeurs des véhicules qui revendent les véhicules dans les marchés à des prix exorbitants, mais qui ne fait pas l’affaire du simple citoyen algérien qui attend avec impatience la reprise de l’importation ou du montage automobile pour enfin pouvoir s’offrir un véhicule à un prix raisonnable.

[Scootie]

Ils ne manquent pas d'air !!

[FrozenRose]

Par Maacha H.

2 mai 2021




Photo : production locale d'automobile


Les prix des véhicules montés en Algérie devront connaitre une hausse conséquente dès la reprise de l’activité du montage automobile dans le pays. En effet, des hausses oscillant entre 20 à 30 % sont attendues sur le prix total des voitures, ce qui représente des augmentations qui pourraient dépasser les 50 millions de centimes sur certains modèles.

Alors que les usines de montage automobile sont sur le point de reprendre service après un arrêt de 2 ans, les prix des voitures assemblés en Algérie devraient connaître une hausse considérable. Citant une source proche du dossier, le quotidien francophone Le Soir d’Algérie a indiqué que les voitures montées en Algérie subiront entre 20 et 30% de hausses par rapport aux anciens prix.

Se basant sur ces chiffres, le quotidien a pris l’exemple des véhicules montés à l’usine Renault Algérie. Alors qu’elle se vendait auparavant à 1 639 000 dinars, le prix de la Renault Symbol devrait passer à 2 048 000 dinars, après avoir subi une hausse approximative de 25 %. La Renault Clio, dont le prix initial était de 2 149 000 dinars, devrait connaître une augmentation de plus de 50 millions de centimes, et s’affichera à 2 686 000 dinars.
Les raisons des hausses des voitures montées en Algérie


Par ailleurs, la même source est revenue sur les raisons qui engendreront de telles hausses. En plus des droits de douane, variant entre 5% et 15% du prix des véhicules, les différents opérateurs devront désormais s’acquitter de la TVA de 19 %, après que la période d’exonération de paiement des droits et taxes de 5 ans a pris fin.

La nouvelle taxe sur le véhicule neuf qui débute à partir de 70 000 dinars, décidée par le gouvernement d’Ahmed Ouyahia fait également partie des raisons qui pousseront les opérateurs à augmenter les prix des voitures montées en Algérie. Notons enfin que les investisseurs devront régler les frais liés à la longue période de stockage des kits SKD bloqués depuis presque deux années dans les ports du pays.

Autant de paramètres qui feront en sorte que les prix des voitures montées en Algérie ne seront plus comme avant. Une situation qui arrange plus les revendeurs des véhicules qui revendent les véhicules dans les marchés à des prix exorbitants, mais qui ne fait pas l’affaire du simple citoyen algérien qui attend avec impatience la reprise de l’importation ou du montage automobile pour enfin pouvoir s’offrir un véhicule à un prix raisonnable.

Je suis allergique à ce type d'article journalistique sans queue ni tête. On tourne en rond, sans être précis, sans donner de sources fiables et vide de raisonnement. Simple exemple: le passage en gras: auparavant date de quand en fait?! C'est quoi l'année de référence.

Puis, en plus de l'augmentation des taxes, tu as une inflation à deux chiffres qui se répercutent sur les prix.
Et si on veut creuser davantage, cette augmentation (ou pas) est nominale. Il faut comparer les taux d'inflation ( à "auparavant") et actuels pour voir l'augmentation réelle
weja3ni rassi...

[Scootie]

Ah, fini le bon vieux temps où on disait Honda Quintet c'est pour les grosses têtes, Honda Civic machi lik et Honda accord ma ranich d'accord

[hakimcasa]

Alors que les usines de montage automobile sont sur le point de reprendre service après un arrêt de 2 ans,

Une reprise du service qui aurait dû avoir lieu à la mi-avril et que ne devrait durer que quelques semaines. Elle concerne les 6000 kits comptabilisés pour l’exercice 2019 et restés bloqués au port d'Arzew suite à une décision de Ferhat Aït Ali qui avait exigé le paiement de taxes et droits de douane pour le dédouanement de ces kits. Mais visiblement cette reprise temporaire n'a pas eu lieu.