RENAULT VA OUVRIR DES CENTRES DE RECHERCHE SUR LA SECURITE
20 mai
AUTOMOTIVE NEWS EUROPE (28/4/08) indique que Renault ouvrira de nouveaux centres de recherche sur la sécurité en Inde, en Roumanie et au Maroc cette année, ainsi qu’en Russie en 2009. Ces centres seront chargés d’adapter les standards de sécurité du constructeur aux besoins des marchés émergents, qui diffèrent sensiblement de ceux des marchés matures d’Europe de l’Ouest. « Il est clair qu’en Inde ou au Maroc, nous ne nous battons pas pour obtenir un sixième ou septième sac gonflable dans une voiture », souligne Jean-Yves Le Coz, directeur de la politique de sécurité routière et directeur des projets avancés de sécurité de Renault. « Le type d’accidents et le type de blessures ne sont pas les mêmes sur ces marchés qu’en Europe, et les priorités en matière de sécurité ne sont pas les mêmes non plus », ajoute-t-il. « Une fois que nous avons effectué des études d’accidents, nous avons une meilleure idée des équipements de sécurité qui devraient être ajoutés. S’agit-il de sacs gonflables ? D’une assistance au freinage d’urgence ? Du contrôle électronique de la stabilité ? », s’interroge-t-il.
M. Le Coz indique que le centre russe de recherche sur la sécurité sera important pour Renault. « Nous venons juste d’arriver en Russie, mais il est clair que les questions de sécurité dans le pays représenteront une grande partie de notre plan de développement pour 2009 », explique-t-il.
Renault investit plus de 100 millions d’euros par an dans la recherche et le développement sur la sécurité. Il est le seul constructeur à avoir reçu cinq étoiles pour neuf véhicules aux essais de choc EuroNcap. Cette performance est le fruit du travail d’une équipe de 600 personnes qui développe en permanence de nouvelles solutions permettant d’améliorer la sécurité active et passive. M. Le Coz indique que la prochaine étape sera la sécurité interactive, et que Renault sera bientôt en mesure de proposer une communication voiture-à-voiture et voiture-à-infrastructure. « Cela a déjà commencé avec la généralisation des systèmes de navigation par satellite », ajoute-t-il. « Nous verrons la convergence des caméras, des radars et des capteurs dans un seul système de sécurité capable de délivrer un ensemble de données et d’images au conducteur. Lorsque nous serons capables de combiner cela, au lieu d’empiler un système au sommet d’un autre, comme c’est le cas actuellement, nous serons en mesure de répartir les coûts sur une large gamme de voitures », explique-t-il.
20 mai
AUTOMOTIVE NEWS EUROPE (28/4/08) indique que Renault ouvrira de nouveaux centres de recherche sur la sécurité en Inde, en Roumanie et au Maroc cette année, ainsi qu’en Russie en 2009. Ces centres seront chargés d’adapter les standards de sécurité du constructeur aux besoins des marchés émergents, qui diffèrent sensiblement de ceux des marchés matures d’Europe de l’Ouest. « Il est clair qu’en Inde ou au Maroc, nous ne nous battons pas pour obtenir un sixième ou septième sac gonflable dans une voiture », souligne Jean-Yves Le Coz, directeur de la politique de sécurité routière et directeur des projets avancés de sécurité de Renault. « Le type d’accidents et le type de blessures ne sont pas les mêmes sur ces marchés qu’en Europe, et les priorités en matière de sécurité ne sont pas les mêmes non plus », ajoute-t-il. « Une fois que nous avons effectué des études d’accidents, nous avons une meilleure idée des équipements de sécurité qui devraient être ajoutés. S’agit-il de sacs gonflables ? D’une assistance au freinage d’urgence ? Du contrôle électronique de la stabilité ? », s’interroge-t-il.
M. Le Coz indique que le centre russe de recherche sur la sécurité sera important pour Renault. « Nous venons juste d’arriver en Russie, mais il est clair que les questions de sécurité dans le pays représenteront une grande partie de notre plan de développement pour 2009 », explique-t-il.
Renault investit plus de 100 millions d’euros par an dans la recherche et le développement sur la sécurité. Il est le seul constructeur à avoir reçu cinq étoiles pour neuf véhicules aux essais de choc EuroNcap. Cette performance est le fruit du travail d’une équipe de 600 personnes qui développe en permanence de nouvelles solutions permettant d’améliorer la sécurité active et passive. M. Le Coz indique que la prochaine étape sera la sécurité interactive, et que Renault sera bientôt en mesure de proposer une communication voiture-à-voiture et voiture-à-infrastructure. « Cela a déjà commencé avec la généralisation des systèmes de navigation par satellite », ajoute-t-il. « Nous verrons la convergence des caméras, des radars et des capteurs dans un seul système de sécurité capable de délivrer un ensemble de données et d’images au conducteur. Lorsque nous serons capables de combiner cela, au lieu d’empiler un système au sommet d’un autre, comme c’est le cas actuellement, nous serons en mesure de répartir les coûts sur une large gamme de voitures », explique-t-il.
Commentaire