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Sécheresse et stress hydrique : 2021, une année très difficile pour l’Agriculture algérienne qui recule dangereusement

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  • Sécheresse et stress hydrique : 2021, une année très difficile pour l’Agriculture algérienne qui recule dangereusement

    L’année 2021 a commencé très mal pour l’agriculture algérienne dont la production en volume a reculé dangereusement dés le premier trimestre de cette année en cours à cause des très mauvaises conditions climatiques marquées par notamment par une sécheresse de plus en plus forte et la rareté des ressources en eau pour l’irrigation, à savoir le stress hydrique.

    D’après les derniers chiffres publiés par le très officiel Office National des Statistiques (ONS), un organisme étatique algérien, la croissance de la production de l’agriculture en Algérie durant le 1er trimestre 2021 était d’à peine 0,6 %, soit presque 0 %, à savoir une croissance nulle. C’est la première fois depuis 2019 que l’agriculture algérienne subit une telle chute de production alors que d’habitude, elle enregistrait des taux de croissance en volume variant de 2,7 jusqu’à 2,9 %.

    « Le premier trimestre 2021 est marqué par une augmentation modérée de l’activité agricole de l’ordre de 0,6% au lieu d’une croissance de 2,0% durant la même période de l’année 2020. En 2021, le secteur agricole est de nouveau confronté à des conditions climatiques sévères et à un stress hydrique important qui influeront sur ses performances », explique de façon très succincte l’ONS.

    C’est dire qu’un immense défi pèse sur l’agriculture algérienne cette année 2021 et elle devra se surmonter pour résister à la crise de la sécheresse qui frappe le pays de plein fouet. Et pourtant, l’année dernière, 2020, aura plutôt été positive pour l’agriculture qui a pu rehausser sa barre en réalisant l’équivalent de 25 Mds USD en termes de production agricole, soit une augmentation de 2 Mds USD par rapport à l’année précédente 2019.

    En 2021, cette résilience de l’agriculture algérienne sera mise à rude épreuve car le stress hydrique et la sécheresse menacent grandement la stratégie des autorités algériennes qui ont misé sur le développement des filières stratégiques telles que le blé tendre, le maïs, les cultures sucrières et sur les oléagineux afin de pouvoir réduire, voire rééquilibrer, la facture alimentaire du pays encore très déficitaire de plus de 10 Mds USD. Or, ces cultures consomment beaucoup d’eau, voire énormément d’eau. Ce qui commence à manquer cruellement en Algérie à cause du niveau élevé du stress hydrique.


    algeriepart plus

  • #2
    Sécheresse et stress hydrique
    Ce phénomène touche toute la zone MENA, et même au-delà.
    Il ne faut pas non plus se focaliser sur l'Algérie, comme le fait cet idiot de Semmar, qui est prêt à publier n'importe quoi, pourvu que ça fasse sensation...

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    • #3
      En tout cas, là où je suis, il pleut à cordes depuis plus d'une heure.
      Espérons que c'est de bon augure pour la saison qui s'en vient...

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      • #4
        Parfois quand la pluie arrive c'est souvent le déluge localisé et inondations catastrophes le long des lits asséchés et couloirs urbanisés. C'est fréquent en Septembre sur tout le pourtour méditerranéen.

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        • #5
          Là où je suis, j'ai vu ces derniers jours les agents de la mairie s'affairer pour nettoyer les avaloirs, etc.
          Espérons que c'est le cas partout dans le pays...

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