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Hydrocarbures : 60% du domaine minier algérien n’est pas exploré

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  • Hydrocarbures : 60% du domaine minier algérien n’est pas exploré


    Par Rédaction AE -
    09 novembre 2021 / 9 :44
    https://www.algerie-eco.com/wp-conte...020/04/gaz.jpg
    « La superficie couverte par les travaux de prospection, de recherche et de d’exploitation représente 40% de la surface globale, ce qui laisse libre une superficie dépassant les 60% du domaine minier national des hydrocarbures », qui n’est pas encore exploré, a déclaré a indiqué lundi à Oran le président de l’Agence nationale pour la valorisation des ressources en hydrocarbures (ALNAFT), Noureddine Daoudi, qui a souligné l’ampleur des investissements à consentir pour la valorisation des ressources d’hydrocarbures en Algérie.

    Intervenant à l’ouverture de la 10e édition du salon professionnel international des secteurs de l’énergie et des hydrocarbures (NAPEC 2021), le dirigeant d’ALNAFT a précisé que « la couverture du domaine minier national des hydrocarbures (onshore et offshore) qui s’étend sur une superficie de plus de 1.75 million de kilomètres carrés, en matière de travaux, demeure insuffisante », a rapporté l’agence APS.

    « Ces chiffres témoignent de la diversité d’opportunités présentes et de l’ampleur des investissements à considérer dans les perspectives d’une valorisation optimale des ressources existantes », a-t-il soutenu, avant d’ajouter que « le potentiel pétro-gazier de l’Algérie demeure important et la base des réserves actuelles peut être renforcée grâce à la couverture de l’ensemble des thématiques et régions du pays, y compris le offshore ». Le domaine offshore, devrait « bénéficier d’une appréciation plus soutenue », a estimé M. Daoudi, rappelant que 75% des découvertes majeurs réalisées à travers le monde ces dernières années sont situées en mer.

    Le président d’ALNAFT a, par ailleurs, évoqué la nouvelle loi sur les hydrocarbures qui vise « l’amélioration et l’assouplissement des conditions de réalisation des projets ». « Cette loi, bénéfique aussi bien aux investisseurs qu’à l’Etat, permet une meilleure rentabilité », a-t-il affirmé. Le dirigeant d’ALNAFT a aussi abordé d’autres questions liées à l’environnement, à la quête de décarboner le secteur de l’énergie et à la place de l’hybride dans la transition énergétique.

    Aeco.

  • #2
    la france en quelques années découvre 2 gisements super géants ( gaz et pétrole) .qui font vivre l'algérie en 2021 encore. mais l'algérie en 60 ans n'a rien découvert....d'important. il a fallu partager la production et modifier le code minier dans les années 90 pour qu'une entreprise américaine ( anadarko) découvre enfin un gisement important ( 3 milliards barils) .
    je pense qu'il reste encore a découvrir mais faut ouvrir le pays mais vraiment sinon sonatrach nous a montré son incapacité a trouver seule ( hormis des petirs gisements sans importance) imaginez si la france était restée.....je ne parle même pas des autres mines.....

    pour trouver sonatrach va devoir investir des dizaines de milliards de dollars.....est-ce raisonnable ? non.vaut mieux qu'elle fasse sa mue et investisse dans l'énergie verte comme toutes les autres compagnies énergetiques du monde ( et même changer de nom)

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    • #3
      Envoyé par samarkand777
      La france en quelques années découvre 2 gisements super géants ( gaz et pétrole) .qui font vivre l'algérie en 2021
      Vous devez apprendre dans ce domaine avant de parler de choses que vous ne savez peut-être pas Ou posez-vous la question a Si Messaoud sur l'histoire du pétrole dans le désert algérien avant votre FRANSSA

      Envoyé par samarkand777
      mais l'algérie en 60 ans n'a rien découvert....d'important. il a fallu partager la production et modifier le code minier dans les années 90 pour qu'une entreprise américaine ( anadarko) découvre enfin un gisement important ( 3 milliards barils) .
      Peut-être que l'Algérie a des cerveaux comme vous et moi c'est peut-être pour ça que l'Algérie n'a pas pu découvrir de grands gisements

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      • #4
        euh tu vas me dire que le pétrole a été découvert par des dz ? )

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        • #5
          même a l'étranger sonatrach a été incapable d'investir pour grossir les réserves dz. même en libye pourtant au maghreb, sonatrach n'a jamais pesé . après on nous chante son expertise etc ses meilleurs cadres sont tous a l'étranger. payés 10 a 20 fois mieux.

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          • #6
            60 % du domaines miniers non encore exploité, c énorme !

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            • #7
              Samarkand
              rat ghir tiri!

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              • #8
                oui car le pays aurait du faire 100 fois mieux. sonatrach aurait du devenir un géant présent partout et se diversifiant .il aurait du acheter des stations services en afrique et ailleurs. par ex

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                • #9
                  il aurait du acheter des stations services en afrique et ailleurs
                  Comme Oillibya (devenu OLA Energy) qui appartient au fonds souverain libyen Libya investment Authority et qui est présente dans 17 pays africains dont le Maroc, la Tunisie et l'Egypte.

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                  • #10
                    .il aurait du acheter des stations services en afrique et ailleurs. par ex
                    argument bidon! Sonatrach est deja un geant en afrique, sans même acheter des stations d'essence!

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                    • #11
                      les stations services ça rapporte beaucoup ça participe a la diversification .des stations total bp ou shell tu en trouves partout dans le monde. ( pourtant total ne possèdait pas de pétrole a la base, mais a un chiffre d'affaire comparable au pib dz !)

                      l"exemple de hakim casa est bon, il montre que c'est un bon investissement les stations ( ça permet d'avoir des revenus réguliers même quand le prix du baril chute) moi j'avais conseillé a l'époque quand le baril était de 150 dollars d'investir dans de petites parts d'entreprises occidentales stratégiques pour l'algérie et qui était données vu la chute de leur cours suite a la crise économique (eads,danone,altsom,peugeot etc) si l'algérie avait suivi cette stratégie (au lieu de tout mettre sur les réserves de change bêtement) elle possèderait aujourd'hui un fonds compris entre 200 et 300 milliards de dollars vu l'envolée des bourses mondiales (et fr) . rien que les dividendes payeraient toute la facture d'importation des produits agricoles !

                      le fond de régulation de 70 milliards de dollars s'est évaporé dès que le prix du baril avait chuté.car c'était pas un vrai fond souverain .

                      j'avais même parlé de diviser sonatrach en 10 entités pour créer de vrais champions africains dans leur domaine ( en nommant de vrais managers étrangers etc et de les faire entrer en bourse en même temps pour capter l'épargne dz ) le pouvoir a préféré faire confiance aux oligarques.....pour ces champions ....on a vu le résultat catastrophique.
                      Dernière modification par samarkand777, 10 novembre 2021, 01h49.

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                      • #12
                        Sonatrach est deja un geant en afrique, sans même acheter des stations d'essence!
                        Ce n'est pas difficile d’être un géant en Afrique.

                        Un grand producteur d'hydrocarbures comme la Sonatrach devrait se mesurer avec des adversaires comme Total, Eni, Shell, Repsol et BP.

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                        • #13
                          oui sonatrach était dans le top 10 des compagnies pétro-gazières du monde il y a encore qq années. en 2021 elle se rapproche doucement du top 20 et risque de ne plus compter (et perdre sa 1 ère place en afrique)si elle ne se diversifie pas rapidement et change complètement ses méthodes managerialles. les changements incessants a sa tête démontre qu'on navigue a vue. elle est gérée comme tout le reste ( air algerie, sonelgaz etc) c'est triste.

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                          • #14
                            Au contraire, c tres difficile d'être geant en afrique, la concurrence est rude!

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