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Après les mines du Maroc, Mohammed VI s’offre l’or du Soudan

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  • Après les mines du Maroc, Mohammed VI s’offre l’or du Soudan

    Normalement le sujet devrait déchaîner la kinkaillerie militante du forum, je m'en réjouis d'avance.. Pas la peine de vous dire que nous connaissons d'avance vos réponses, il nous suffit de faire un copier/coller,vu que vous êtes Incapable d'innover sur ce sujet vous ne pourrez pas vous empêcher de tirer sur l'ambulance.
    Tout d'abord je vous présente l'auteur :Aziz Chahir
    Aziz Chahir est docteur en sciences politiques et enseignant-chercheur à Salé, au Maroc. Il travaille notamment sur les questions relatives au leadership, à la formation des élites politiques et à la gouvernabilité. Il s’intéresse aussi aux processus de démocratisation et de sécularisation dans les sociétés arabo-islamiques, aux conflits identitaires (le mouvement culturel amazigh) et aux questions liées aux migrations forcées. Consultant international et chercheur associé au Centre Jacques-Berque à Rabat, et secrétaire général du Centre marocain des études sur les réfugiés (CMER), il est l’auteur de Qui gouverne le Maroc : étude sociologique sur le leadership politique (L’Harmattan, 2015).

  • #2
    istoriquement parlant, les sultans alaouites se sont toujours accaparés les richesses afin d’asseoir leur pouvoir tyrannique sur les tribus.

    Avant son accession au trône, Moulay Ismail (1672-1727) « se livra ainsi à l’agriculture et au commerce, afin d’augmenter ses richesses, car la soif de l’or fut une de ses passions favorites. Dès qu’il eut appris la mort de Moulay Rachid, en 1672, il s’empara de Fès, où étaient les trésors, et y fut proclamé souverain », raconte à ce propos Louis-Gabriel Michaud, écrivain français (1773-1858).

    On racontait aussi que Moulay Ismail confia un jour à un de ses conseillers qu’un roi peut tout avoir sur cette terre à condition qu’il dispose d’une grande fortune en or et pierres précieuses. À un moment, il crut naïvement que Louis XIV allait consentir à donner sa fille en mariage au riche empereur du Maroc.

    Dans la pure tradition alaouite, Hassan II, lui aussi, ne cacha jamais sa soif d’or et de richesses matérielles. Il laissa à son fils une fortune colossale que ce dernier s’est évertué à faire fructifier pour atteindre en 2019 la somme de 5,8 milliards de dollars, selon le magazine Forbes.
    https://www.middleeasteye.net/sites/...?itok=JCVOEkPQ
    Le Palais royal continue de mener un train de vie fastueux pendant que la pauvreté touche presque un quart des Marocains
    Lire
    Il faut dire que Mohammed VI est un homme d’affaires prospère qui contrôle le plus grand groupe financier du pays : Al-Mada, présent dans plusieurs secteurs, dont notamment celui des activités minières.

    La propagande officielle laisse par ailleurs entendre que les sociétés qui appartiennent au roi seraient des « entreprises locomotives » nécessaires pour booster la croissance économique du pays.

    Or, dans la réalité, il n’en est rien. Il suffit de rappeler que le Maroc occupe toujours la 121e place (sur 189 pays) dans le classement du rapport mondial sur le développement humain (IDH) du Programme des Nations unies pour le développement (PNUD).

    Après l’avènement du Printemps arabe, les masques sont tombés. Les activistes du Mouvement du 20 Février (M20F) ont dénoncé ouvertement l’affairisme du régime, qui a décidé alors de réagir sur le coup.

    En un an seulement, le holding royal Al-Mada a commencé à vendre ses piliers, opérant ainsi une patrimonialisation de ses affaires vers l’international. Les activités minières et l’exploitation de l’or, tout particulièrement, illustrent parfaitement la manœuvre royale visant à investir d’autres horizons, notamment le continent africain, sachant que le régime n’a eu de cesse d’exploiter les ressources minières intarissables du royaume.
    Le « Maroc inutile » regorge d’or


    La première société minière au Maroc vit le jour en 1930 avec les autorités coloniales françaises. Mais avec la « marocanisation » (1973), le roi Hassan II s’accapara malicieusement le contrôle des richesses minières, puis décida en 1990 de lancer une politique de privatisation des entreprises publiques.

    Grâce à ce tour de passe-passe, le despote parvint à acquérir ce qui deviendra par la suite Managem, aussitôt rattaché au groupe royal Omnium nord-africain (ONA), puis à la Société nationale d’investissement (SNI), devenue en 2011 Al-Mada.

    Le roi Mohammed VI, dans la lignée de son père, va bénéficier de son statut et ses prérogatives pour faire profiter généreusement Managem des permis d’extraction et d’exploitation des métaux précieux au Maroc.

    Aujourd’hui, la société compte 500 millions d’euros de chiffre d’affaires, selon les données publiées par le groupe en 2018, mais c’est surtout un arsenal d’une dizaine de complexes miniers riches en or et en argent.

    L’exploitation des richesses minières du royaume par le groupe Managem a toujours déchaîné les passions et suscité des controverses sur la surexploitation par le holding royal des ressources minières, pendant que les populations locales sont de plus en plus vulnérables à la pauvreté, surtout en l’absence d’infrastructures socioéconomiques (hôpitaux, écoles, routes…).
    À l’intérieur du Maroc, la majorité des complexes miniers exploités par Managem se situent en effet dans les régions berbérophones les plus démunies du pays.

    La mine la plus importante exploitée par Managem est celle d’Akka. Située à 280 kilomètres au sud d’Agadir, elle est en activité depuis 2001, mais son adjudication au profit de Managem remonte à 1996.

    On pourrait aussi citer la mine d’Imiter, au sud-est du royaume, à 137 km de Ouarzazate, sans doute l’un des plus importants sites d’exploitation de l’argent, qui a commencé en 1969. En septembre 2011, la surexploitation minière a engendré des manifestations dans cette région. Pour marquer leur indignation, les mineurs ont fermé la vanne d’alimentation en eau de l’usine.

    Il y a aussi la mine d’or de Tiouit, située à quelque 45 kilomètres de la ville de Ouarzazate, près de Tinghir, fermée depuis 1964, avant qu’elle soit réactivée par Managem en 2015.

    Enfin, impossible de passer sous silence la mine d’or de Tichla, dans la province de Oued Eddahab (Rio de Oro), dans laquelle les populations locales ont découvert des gisements d’or.
    https://www.middleeasteye.net/sites/...?itok=-25Mbv-w
    Sahara occidental : la guerre pour les ressources naturelles a commencé
    Lire
    À l’époque, la communauté a commencé à rêver d’un lendemain meilleur grâce au minerai précieux, mais c’était sans compter l’hégémonie du pouvoir, qui a décidé d’interdire aux populations l’extraction de l’or de Tichla, désormais dans la ligne de mire de Managem.

    C’est dire toutes les ressources minières, notamment les minerais précieux, dont regorge le royaume mais qui ne profitent en fin de compte qu’au holding royal, lequel ne se contente pas de l’exploitation des mines marocaines mais a décidé de se tourner sérieusement vers l’or subsaharien.

    Depuis les années 2000, le roi Mohammed VI n’a eu de cesse d’afficher ses ambitions de faire de Managem un acteur majeur dans l’exploitation de l’or au sud du Sahara. En témoignent ainsi les investissements du groupe dans la mine de Wadi Gabgaba, dans le nord-est du Soudan, et le projet titanesque de Tri-K en Guinée.

    En ligne avec sa stratégie visant à développer ses investissements en Afrique et à conforter sa présence au Soudan, Managem a franchi un nouveau cap, en officialisant le 16 mars un accord avec le Chinois Wanbao Mining.

    Cet accord permettra à la holding royale de détenir 65 % d’intérêts dans la mine d’or Gabgaba et de prendre 35 % d’intérêts dans certaines licences d’exploration appartenant à Wanbao.

    Les deux partenaires ont d’ailleurs déjà signé deux accords d’exploitation minière en 2013 et en 2017. L’objectif actuel est de développer un grand projet aurifère, avec une production à moyen terme d’environ 5 tonnes d’or par an et un niveau d’investissement d’environ 250 millions de dollars.

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    • #3
      Relations opaques


      Sur les six complexes miniers exploités dans quatre pays du continent africain, seul celui de la République démocratique du Congo n’exploite pas l’or, mais le cuivre et le cobalt.

      En mai 2010, deux mois après la visite du roi, une convention a été signée par l’État gabonais avec Managem, autorisant ce dernier à exploiter la mine d’or de Bakoudou, qui comporte des réserves d’1,7 million de tonnes d’or. L’extraction, qui a débuté en juillet 2011, génère actuellement une production annuelle de 500 000 tonnes de minerai.

      Ces dernières années, les activités de Managem en Afrique ont remis sur la table la question des relations opaques du roi –patron de la Société nationale d’investissement contrôlant Managem, seul bénéficiaire des licences d’exploitation des mines d’or et responsable de l’attribution des autorisations spéciales du Palais royal pour les transferst aériens d’or –avec les affaires liées à l’exploitation des ressources minières.

      Le 9 mai 2019, un hélicoptère transportant une cargaison de 241 kilos d’or – dont seuls 84 avaient les autorisations nécessaires – pour le compte de Managem a été intercepté par les autorités soudanaises alors qu’il se dirigeait vers la capitale Khartoum.

      Gênés par cette affaire fortement relayée par les médias et les réseaux sociaux, les dirigeants du groupe minier marocain ont précisé qu’ils ne disposaient pas de permis pour le transfert de l’ensemble de la cargaison (autrement dit, ils se seraient trompés sur le poids exact de l’or transporté).

      Actuellement, Managem vise la production à moyen terme de sept tonnes d’or annuelles, même si les chiffres officiels avancent que le groupe n’a extrait que 600 kilos. Et pourtant, malgré la chute des cours en 2019, le groupe s’est affirmé en 2020 comme une des valeurs les plus en vue de la Bourse de Casablanca.
      Pour quand une redistribution des richesses ?


      Or, l’activité minière n’a guère contribué à favoriser le développement du pays. Le bilan est sans appel : l’exploitation des minerais n’a pas profité aux populations locales. Réduites au silence par les pouvoirs publics, à chaque fois qu’elles protestent contre la surexploitation des mines, des populations enclavées se trouvent interdites d’extraire l’or des terres de leurs ancêtres.

      Bien plus, les autorités se montrent intraitables avec ceux qui tentent l’aventure de chercher ou encore de vendre le minerai précieux.

      En 2019, par exemple, les autorités ont procédé à l’arrestation de deux individus inculpés à de lourdes peines de prison pour avoir transporté illégalement, à bord d’une camionnette, environ deux tonnes de terre contenant de l’or vers une destination inconnue.

      On aurait compris la fermeté des autorités à « faire respecter la loi » si seulement ce principe s’appliquait à tout le monde sans exception. Comment en effet expliquer le fait que 5 tonnes d’or auraient été sorties du royaume illégalement à destination de Dubaï en 2012 ? Les lingots d’or avaient été recouverts d’argent et leurs références effacées.
      https://www.middleeasteye.net/sites/...?itok=TH7OSsPW
      Comment les Émirats arabes unis sont devenus une plaque tournante de la contrebande d’« or sale »
      Lire
      On pourrait donc avancer que le royaume constitue une plaque tournante du trafic international du métal précieux, dont une grande partie proviendrait du Soudan. Un pays où le groupe Managem est implanté depuis 2006, et où il a décidé en 2009 de relancer l’exploitation de l’or.

      L’implication du régime marocain dans des affaires (réelles ou supposées) de trafic d’or n’est plus un secret de polichinelle. La surexploitation des mines aurifères par le pouvoir se fait ainsi au détriment du développement socioéconomique du pays. Les recettes provenant de la commercialisation du métal précieux contribuent à financer le train de vie fastueux du roi.

      À l’image de son père, un collectionneur des horlogeries de luxe, Mohammed VI possède plusieurs collections de montres de luxe (en or et diamants).

      En septembre 2018, le « roi des pauvres » s’est affiché avec une montre haut de gamme à son poignet, une Patek Philippe en or blanc incrusté de 883 diamants d’une valeur de 1,2 million de dollars !


      En 2019, on apprenait que plusieurs dizaines de ces montres de luxe avaient été volées par des femmes de ménage qui travaillaient dans le palais royal de Marrakech. Sans surprise, les personnes impliquées dans cette affaire, notamment 36 détaillants d’or et des intermédiaires, ont écopé de quinze ans de prison ferme !

      Pendant que les milliards coulent à flot dans les caisses du holding royal, notamment grâce à l’exploitation massive des mines d’or de l’Afrique subsaharienne, le Maroc continue de sombrer dans une crise socioéconomique majeure.

      En 2020, le taux de chômage est passé de 9,2 % à 11,9 % (selon les estimations du gouvernement), à l’heure où cinq millions d’habitants vivent avec 10 dirhams par jour (0,88 euro).
      https://www.middleeasteye.net/sites/...?itok=DIgINntn
      VIDÉO : Au Maroc, une grève syndicale appelle à la fin de la répression policière contre les enseignants
      Lire
      Cela pourrait sembler infondé, mais mettons-nous à la place de ces milliers d’« instituteurs contractuels », par exemple, qui se sont encore une fois fait tabasser par les forces de l’ordre, auxquels l’État refuse la titularisation sous prétexte du manque de ressources budgétaires, alors que le royaume regorge de ressources minières à l’instar du holding royal qui enregistre des gains astronomiques grâce aux activités minières.

      De quoi nourrir le sentiment d’injustice parmi les populations les plus démunies, qui n’arrivent toujours pas à comprendre comment il se fait que les revenus considérables provenant de la commercialisation de l’or, extrait des terres de leurs ancêtres, profitent uniquement au monarque au détriment de la collectivité, laquelle manque cruellement de projets nécessaires pour le développement d’un pays qui croule sous la misère.

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      • #4
        bah ouais.. et on est fiers que notre pays y arrive .. et bien évidemment je préfèreraiq que ce soit le roi que les généraux d'Alger ou d'autres pays ... car il est MAROCAIN comme ses ancêtres depuis des siècles .. et le Maroc reprend grace à ses décision ses terres .. et que peut etre grace à tout cela la RASD sera éjectée de l'UA...

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        • #5
          Ah.. Algérie quand tu nous tiens... Ben moi je préfère que ce soit le peuple marocain qui en profite, à ce que je sache il ne crève pas de faim le roi non ? Par ailleurs cet or est présent sur l'ensemble du territoire, dont la majeure partie dans le Maroc sans Sahara. Et relis bien l'article et tu verras la misère subie par ceux des marocains qui exploitaient cet or avant d'être chassé par les entreprises du roi.

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          • #6
            Des leçons? je te renvoie à Amir DZ qui raconte pourquoi on a avait assassiné les touristes dans le sud algérien .. et qui profite bien de l'or là bas .. mais bon tu me répondrais que ce DZ et que c'est un 3amil du Makhzen.. je répondrais: c'est un courageux qui se bat pour "madanya machi 3askarya"

            En attendant moi personnellement j'aimerais mieux vivre au Maroc qu'en Algérie ... et merci de ne pas m'y inviter ..

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            • #7
              Managem est une société cotée en bourse, qui exploite des ressources minières partout en Afrique et réalise de bons bénéfices.

              Tant mieux pour ses actionnaires (principalement le holding royal objet de ce thread) et tant mieux pour le Maroc.

              Les algeriens et autres n'ont qu'à bien apprendre l'économie et faire pareil
              Dernière modification par Maurice_94, 04 décembre 2021, 12h09.

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              • #8
                Ils ne peuvent pas comprendre : une société en Algérie c'est automatiquement 49% pour l'investisseur et 51% pour le général kafil.. donc toi tu travailles, lui il se sert .. investir ça? .. Tebboune a expliqué mieux que quiconque les raisons des refus d'investir en Algérie : au Maroc il n'y a pas de syndicat ! Tiens il paraitrait qu'aux USA non plus d'ailleurs.. ni en France puisqu'il y a des milliards investis par des étrangers .. c'est tellement ridicule

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                • #9
                  la kinkaillerie militante du forum
                  pas mal
                  ce qui se conçoit bien s'énonce clairement et les mots pour le dire arrivent aisément

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                  • #10
                    Je les attendais au tournant.. Ils n'arrivent pas à comprendre que je m'en tape des réflexions sur l'Algérie, que je ne compare pas leur pays à l'Algérie.

                    Tu prends Paix , par exemple et tu lui dit qu'il pleut à Rabat, et tout de suite il va te dire "et an Algérie blabalabla ?" .

                    Quand à Maurice_94 plus fort encore il saute le passage où il est dit "Dans la pure tradition alaouite, Hassan II, lui aussi, ne cacha jamais sa soif d’or et de richesses matérielles."et aussi celui-ci : "Le Palais royal continue de mener un train de vie fastueux pendant que la pauvreté touche presque un quart des Marocains" ou encore celui-là : "Or, l’activité minière n’a guère contribué à favoriser le développement du pays. Le bilan est sans appel : l’exploitation des minerais n’a pas profité aux populations locales"

                    L'auteur de l'article est marocain , et de plus ce n'est pas le marocain lambda, il est juste docteur en sciences politiques et enseignant-chercheur pas troll du makhzen sur un forum algérien. Il décrit une vérité triste où sa majesté le commandeur des croyants dépouille son peuple pour se payer des montres, alors que des besoins réels se font cruellement sentir au Maroc.
                    Sa société cotée en bourse est le fruit du vol du patrimoine de sa population. En France si tu expropries quelqu'un c'est pour un projet d'utilité publique, et tu ne expropries pas sans indemnisation.
                    Ce qui n'est pas le cas présentement. Y'a de l'or ? tu l'as vu le premier mais il est à moi , allez dégages ! ouste , sale con de sujet pourri !! En clair il ne respecte pas "son peuple", alors que ce peuple le vénère.

                    Inutile de me parler de l'Algérie, je l'ai déjà fait des dizaines de fois sur ce forum, et je ne suis pas du tout tendre avec les dérives et les exactions de ce pays.. mes post les plus récents à ce sujet c'est sur la mosquée d'Alger, et sur la détestation du Maroc par Kebdoune. Ce qui nous différencie, c'est que nous n'avons pas de soucis à critiquer et dénigrer nos dirigeants et leur caste de voleurs, alors que vous, même si on vous fouette à 4 pattes au milieu de la place Jamaa el Fna vous n'y parvenez pas.

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                    • #11

                      Après les mines du Maroc, Mohammed VI s’offre l’or du Soudan
                      C'est cool, on est d'accord...

                      D'autres questions qui turlupinent nos amis?

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                      • #12
                        Tu prends Paix , par exemple et tu lui dit qu'il pleut à Rabat, et tout de suite il va te dire "et an Algérie blabalabla ?" .
                        y a pas que Paix, ils sont tous ( ou presque) pareils en matière d'éluder tout propos en invoquant l'Algérie...
                        ce qui se conçoit bien s'énonce clairement et les mots pour le dire arrivent aisément

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                        • #13
                          Pourtant Marcel_Piaf est l'un des algériens conciliant, diplomate et sympatisant de la monarchie marocaine et il arrive quand même à subir l'acharnement et le dénigrement de la part des mouches du Makhzen. On constate qu'il est tout non seulement impossible de dialoguer avec eux mais qu'en plus leur présence sur cet espace n'a pour unique but de nuire au débat et le trolling de haute intensité. C'est dommage qu'on ne voit presque jamais de marocains raisonnés recadrer ces éléments de nuisance.

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                          • #14
                            exact nojoud...

                            Avec nos 3ayacha , si tu dis pas 3ach el malik à chaque topic, tu es marocophobe mdrrrrrr
                            c'est aussi que con que ca
                            ce qui se conçoit bien s'énonce clairement et les mots pour le dire arrivent aisément

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                            • #15
                              Nodjoud Je suis sympathisant des marocains et du Maroc en tant que pays, mais pas de la monarchie, loin de là. Je l'ai dit maintes fois sur ce forum, je comprends le coté symbolique, mais cette monarchie absolue et prédatrice me débecte profondément. En cela ils ne valent pas mieux que notre junte. Je les renvoie dos à dos.
                              Même la démocratie représentative de la France ne me plait pas ( c'est moins pire, mais ça ne me plait pas), je suis pour la démocratie par tirage au sort ( système qui a existé dans la Grèce antique).

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