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L'Algérie devrait réduire ses exportations de pétrole

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  • #16
    il est pas assez cher puisque les pays européens multiplient son prix par 3.5 a la pompe.la tipp fait que les augmentations profitent plus aux pays consommateurs qu'aux pays exportateurs.

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    • #17
      le pétrole franchira la barre des 200$

      Avec un milliard de chinois et un mrd d'indiens qui adoptent des modes de consommation à l'occidentale, le pétrole va atteindre des sommets inégalés, à moins que un khachkhach invente un procédé révolutionnaire ou revenir à la charrue et l'âne.

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      • #18
        un baril a 200 $ personne n'en doute , tt est de savoir qd celà arrivera , un expert petrolier passé sur la ChaineIII avant hier pense que celà arrivera ds moins de 5 ans , et que ce prix sera la moyenne pendant 25 a 30 ans , il preconise aussi que l'algerie adopte une autre strategie que celle qu'elle a tj adopté en pompant le plus possible , avec des pris a 200 voir 300 $ la logique voudrais qu'un qotas plafon doit etre installé où sera pris en compte les prix sur le parché international, la consommation interieure et les perspectives de son developpement ,, les rentrée escomptés , les reserves prouvées disponibles , bref creer des reserves strategiques intouchables pour le pays, en les atteignant ce plancher l'exportation doit cessez .
        en verité ...en verité... je vous le dis .. si un grain de blé tombe en terre et ne meurt pas ,il restera seul , mais s'il meurt ,il donnera beaucoup de fruits . evangile

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        • #19
          Le baril est aux alentours de 130$. Le prix moyen à la pompe aux USA est de 3.88$ le gallon alors qu'il était d'environ 3.20$ il y a un an.
          Tu as pris le pic d'avril-mai de l'annee derniere et non la moyenne de 2007... Le petrole en janvier 07 etait dans les 2 et quelques... il est monte a 3.20 en avril et est redescendu a 2.80 apre je crois..


          Si le baril monte à 200$, le gallon devrait maximum monter aux alentours de 6$, ce qui est très loin de tes 12$.
          Décidément, tu aimes la science-fiction.
          La "science-fiction" s'appelle le marche libre. Les prix de l'essence vendus a la pompe ne sont pas regules, ils sont regules par ce que chaque compagnie petroliere estime etre le differentiel entre l'offre et la demande... Et dans ce vaste ocean d'estimations ou ces derniers essaient de faire ce qui les arrange, il y a effectivement bcp de science fiction...

          La raison pour laquelle ni toi ni moi ne peuvent predire quoique ce soit de sur et d'exact et qu'on emet des "avis" est que ces prix dependent de la "speculation" basee sur l'offre, la demande, les evenements dans le monde et ne suivent pas un raisonnement scientifique.

          Et n'oublie surtout pas que les USA sont le prmier producteur mondial, qu'ils ont des réserves immenses en Alaska qu'ils ne touchent pas pour l'instant car le prix actuel est bas. Enfin, ils ont une influence certaine sur de nombreux pays producteurs (Arabie Saoudite, Koweit, EAU, etc...)
          Nan, si les US profitaient de leurs reserves au jour d'aujourd'hui, ils epargneraient au citoyen 50 cents sur le prix d'un gallon, pas plus...

          Et la question n'est pas si le baril va monter à 200$ mais effectivement quand.
          Ok

          Ce que je crois va se passer est que l'on atteindra un pic de production ou le volume va flotter avant de descendre. lorsque la production baissera, les prix atteindront un pic et les gouvernements et les citoyens vont faire leur calcul et commencer a economiser, chercher des alternatives, etc... Le citoyen lamba NE PEUT PAS mathematiquement suivre des cours haussiers a l'infini ou au dela d'une certaine limite... A moins qu'il ne vole pour cela. C'est la ou je crois que les predictions purement economiques ne prennent pas en compte qu'il y a un seuil d'acceptabilite ou les gens ne pourront tout simplement plus se permettre d'acheter du petrole et ou la demande baissera en consequence, demande qui baisse --> prix baisse, lorsque la demande augmentera encore, les prix augmenteront et ainsi de suite. Le tout maintenant est de savoir quel est le niveau acceptable que les gens sont prets a payer...
          Dernière modification par ayoub7, 27 mai 2008, 18h42.

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          • #20
            Ayoub :
            J'ai bien dit "il était d'environ 3.20$ il y un an". Je ne t'ai pas parlé de moyenne !
            Source : CNN Money du 21 mai 2007 qui dit entre autre :
            AAA's reading of nearly $3.20 a gallon marks ninth straight record high in current dollars.
            Voici la fluctuation des prix, Source: U.S. Energy Information Administration :
            Year Jan Feb Mar Apr May Jun Jul Aug Sep Oct Nov Dec
            2007 228.9 232.3 260.9 289.1 318.7 310.2 301.1 283.4 284.9 285.3 312.8 307.0
            2008 309.5 307.8 329.3 350.7

            Pour la science-fiction, c'est toi qui a balancé un chiffre très largement exagéré. J'ai fait un réajustement plus plausible même si c'est bien sûr impossible à prévoir exactement.

            Enfin, je lisais encore un article hier dans MacLeans (tu dois très bien connaitre) comme quoi dans le Golfe du Mexique, il y a d'immenses réserves qui attendent. Et la technologie est là. C'est une question de temps.
            La mauvaise langue n'est jamais à court d'inventions !

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            • #21
              pour ceux qui pensent que c la spéculation et non la forte dde des pays emergents qui tire les prix du brut vers la hausse, une dépêche de reuters:
              LONDRES (Reuters) - Les cours du pétrole restent en hausse mardi à la mi-journée, soutenus par une nouvelle attaque d'activistes contre des installations au Nigeria et par la faiblesse du dollar face à l'euro.
              Vers 10h15 GMT, le contrat juin sur le brut léger américain gagnait 0,86 dollar, soit 0,65%, à 133,06 dollars le baril et le Brent prenait 0,20 dollar (+0,15%) à 132,57 dollars.
              Le 22 mai, les cours du brut ont atteint un nouveau record à plus de 135 dollars, à 135,09 dollars pour le WTI et à 135,14 dollars pour le Brent.
              Lundi, les cours du brut ont bénéficié de l'annonce d'une réduction de la production de Royal Dutch Shell au Nigeria après un attentat contre un oléoduc.
              La production nigériane est réduite de 15% environ depuis 2006 en raison d'attaques à répétition contre des infrastructures de production ou de transport d'hydrocarbures.
              Les marchés avaient auparavant réagi à la fermeture ce week-end de deux oléoducs de StatoilHydro en mer du Nord après une fuite. Tous deux ont été rouverts dès lundi.
              "Le marché semble toujours porteur, le dollar continue de se déprécier ce qui, dans les conditions actuelles, favorise la hausse des matières premières et du pétrole", note Marc Lansonneur, responsable des dérivés matières premières de la societé générale en Asie.
              Les prix du pétrole ont augmenté de quelque 40% depuis le début de l'année, soutenus par la faiblesse du dollar et par le sentiment généralisé que la production mondiale de brut sur les dix prochaines années sera insuffisante pour satisfaire une demande toujours croissante.
              "Le facteur fondamental le plus important qui influence le marché, (...) c'est la perspective d'une pénurie au cours des prochaines années", estime Marc Lansonneur.
              Du côté de l'Opep, son président Chakib Khelil, a réaffirmé que le cartel ne se réunirait pas avant la date prévue, soit le mois de septembre, pour débattre de la hausse des cours, a rapporté le site internet de la compagnie pétrolière nationale libyenne.

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              • #22
                Comme j'ai dit, il y a plusieurs ecoles dans le domaine... Cela depend des avis personnels... Pour ma part, je crois qu'il n'y a aucune contradiction a ce que la speculation existe sur fond d'offre et de demande... L'une n'empeche pas l'autre, bien au contraire...

                Voila un article qui parle de speculateurs qui sortiront a 90$, nous sommes a 130$, la demande n'a toujours pas baisse, le seuil acceptable a partir duquel le baril commencera a descendre a mon avis se situe non pas a 90$ au dans les 6-7$ par gallon. La demande a ce moment baissera (les gens n'ont tout simplement pas les moyens de payer cela...), les prix baisseront et la speculation baissera.

                Selon les analystes, le marché du pétrole est en surchauffe, et un certain nombre de facteurs pourraient faire éclater la bulle des prix. L'élément le plus important tient au fait que les spéculateurs sont largement responsables de la hausse des cours de l'or noir cette année. Si la tendance s'inverse, ils quitteront rapidement le marché. Il ne fait aucun doute que la demande mondiale demeure forte actuellement, mais un certain nombre de variables - les indicateurs techniques, un ralentissement économique, une diminution de la demande - pourraient inciter les investisseurs à se retirer en masse.

                Les spéculateurs ont pris une importance croissante sur le marché du pétrole ces dernières années. On compte aujourd'hui plus de 595 fonds spéculatifs effectuant des transactions régulières dans le secteur énergétique. C'est trois fois plus qu'il y a trois ans. M. Fusaro estime que les actifs mobilisés pour ce type de transactions totalisent plus de 200 milliards de dollars (138 milliards d'euros), soit une hausse de plus de 60 % depuis le début de l'année.

                Il est difficile de savoir jusqu'où va la spéculation. Une grande partie des transactions est réalisée sur le marché officiel non régulé. Toutefois, une minorité de celles qui concernent le pétrole brut se fait sur le New York Mercantile Exchange (la Bourse des matières premières de New York), et là, le nombre de contrats à terme sur le pétrole brut misant sur une augmentation des prix atteint des records. Les négociateurs se sont engagés sur 135 000 contrats, chacun représentant 1 000 barils de brut, en pariant que les prix continueraient d'augmenter. On est juste en dessous du record atteint cet été avec 155 000 contrats!

                Selon certains analystes, si le nombre de contrats augmente fortement, les prix pourraient chuter. "Pour les investisseurs, le franchissement de la barrière de 150 000 ou 160 000 contrats pourrait donner le coup de sifflet final, explique Joel Fingerman, président d'Oil Analytics, cabinet de conseil en énergie. A ce niveau-là, les investisseurs pourraient estimer avoir tiré leurs dernières cartouches."

                En attendant, les investissements continuent de déferler sur le marché du pétrole brut, ainsi que sur celui des matières premières en général. "Tout le monde pense que ça va continuer de grimper, nous confie M. Fingerman. Tant que l'argent afflue, on achète, comme si les prix allaient grimper jusqu'à la stratosphère."

                Pourtant, certains analystes prédisent que l'impact psychologique du baril à 100 $ pourrait marquer le début d'une baisse des prix. "Les professionnels sortiront du marché à 98,50 $ (67,96 euros) ou à 98,99 $ (68,30 ?)", nous dit Peter Beutel, président du cabinet de gestion du risque énergétique Cameron Hanover à New Canaan, dans le Connecticut. "Ils ne vont pas attendre qu'on atteigne 100 $
                Mais la barre de 100 $ a-t-elle une signification particulière ? Certains experts pensent que non. "On a dit que la barrière se situait à 70, à 80, puis à 90 $. On est déjà au-dessus. Pourquoi le chiffre de 100 $ causerait-il un renversement soudain ?", fait remarquer Stephen Schork, consultant en énergie de Villanova et rédacteur de SchorkReport , bulletin d'information quotidien sur l'énergie. "Ce chiffre ne sonnera pas le glas de la hausse."
                Spéculation
                La hausse du pétrole est due à la spéculation sur les marchés financiers et non à une offre insuffisante, a affirmé mardi le ministre vénézuélien de l'Energie et du Pétrole, Rafael Ramirez, après une rencontre avec le secrétaire général de l'Opep à Caracas.

                Selon Rafael Ramirez, «une quelconque hausse de la production serait immédiatement stockée et cela aurait un impact négatif sur les prix». La hausse des cours du brut «n'est pas liée à l'offre et à la demande» car «il existe suffisamment de pétrole sur le marché», a insisté M. Ramirez, conjointement avec Abdallah el-Badri, son interlocuteur de l'Opep, qui n'a de cesse également de répéter que le marché est correctement approvisionné.

                Signe que le torchon brûle entre pays producteurs et pays consommateurs, la Chambre des représentants américaine a adopté mardi à une majorité écrasante un projet de loi visant à permettre au ministère de la Justice de poursuivre les pratiques anticoncurrentielles dans le milieu pétrolier, notamment parmi les «entités contrôlées par l'Opep».

                ats/tac
                Dernière modification par ayoub7, 27 mai 2008, 20h39.

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                • #23
                  Ayoub :
                  J'ai bien dit "il était d'environ 3.20$ il y un an". Je ne t'ai pas parlé de moyenne !
                  DZmes Bond: Le prix moyen à la pompe aux USA est de 3.88$ le gallon alors qu'il était d'environ 3.20$ il y a un an.
                  ...


                  Pour la science-fiction, c'est toi qui a balancé un chiffre très largement exagéré. J'ai fait un réajustement plus plausible même si c'est bien sûr impossible à prévoir exactement.
                  Ton reajustement prend le principe de proportionalite comme seul element dans l'equation, or crois moi, au premier coud de feu US-Iran, les prix risquent de monter illico presto a des sommets que tu n'aurais pas imagine... Et ils ne prendront en compte ni l'ofre ni la demande mais bel et bien le risque du futur proche et si cela arrivait, c'est de la speculation...

                  Enfin, je lisais encore un article hier dans MacLeans (tu dois très bien connaitre) comme quoi dans le Golfe du Mexique, il y a d'immenses réserves qui attendent. Et la technologie est là. C'est une question de temps.
                  Nope j'ai pas lu, mais effectivement, ca c'est une autre donnee qui peut faire baisser les prix, l'exploitation ou la decouverte de nouveaux gisements.
                  Dernière modification par ayoub7, 27 mai 2008, 19h18.

                  Commentaire


                  • #24
                    le baril commencera a descendre a mon avis se situe non pas a 90$ au dans les 6-7$ par gallon. La demande a ce moment baissera (les gens n'ont tout simplement pas les moyens de payer cela...), les prix baisseront et la speculation baissera.
                    Un baril de pétrole équivaut à 42 gallons américains
                    42x6= 252 $/baril
                    42x7=294 4/baril

                    Pour quelqu'un qui causait, il y a deux jours, d'un plafond de 70 $ le baril...
                    Le gap est fossé
                    ce qui se conçoit bien s'énonce clairement et les mots pour le dire arrivent aisément

                    Commentaire


                    • #25
                      Envoyé par ayoub7
                      demande qui baisse --> prix baisse
                      La demande globale de pétrole ne baissera pas tant que rien n'a été trouvé pour remplacer le pétrole. Pour le moment, le pétrole reste incontournable dans de larges segments de l'économie.

                      Le prix du baril pourra légèrement baisser sur le court terme, mais sur le moyen et long terme, la hausse est inéluctable. Ce n'est pas de la science fiction, mais une réalité économique : l'offre de pétrole deviendra de plus en plus inférieure à la demande.

                      Il suffit de regarder le graphe ci dessous : le prix du baril a été multiplié par 13 en moins de dix ans (1999-2008).

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                      • #26
                        la speculation est un fait agravant , les pricipes haussiers sont structurels , le plus important est la conviction de plus en plus des acteurs petrolier que le monde a atteint le pic de production ou est sur le point de le faire , a partir de maintenant il faut compter avec les reserves , de plus 20 à 30 ans de bas prix n'ont pas insité les gens a investir ds la prospection , le developpement de nouveaux gisements , le raffinage , et ce n'est pas en deux tours trois mouvements qu'on va rattraper un retard de 30 ans , les vcapacité de production supplementaires sont derisoires à peines 1 million de barils jours detenus par l'arabie saoudite , ensuite ya biensur la consommation interne des pays producteurs qui augmente ausi en plus de celle dont on parle bcp de la chine et de l'inde ..exemple ds une dizaine d'année la russie n'exportera plus de petrole si son economie continue a se developper au rythme actuel .. tt celà fait un peu trop , si vous ajoutez que chose comme une menace de conflit au proche orient ou un accident au nigeria , un ouragan au mexique ...
                        d'où un retour à la baisse releve du scenario tres tres improbable peut etre sur de courtes periodes , mais la hausse sera pour des dizaines d'années la regle , technologiquement rien ne remplacera le petrole pour la motorisation sur un horizon proche , preconiser l'abondant d'un certain style de vie oui ,mais celà n'est rien d'autre que l'ecroulement de l'economie mondiale , on n'abondonne pas la voiture , ou l'avion , comme celà , celà fait une chaine ,et c'est un chateau de cartes qui s'ecroule .
                        en verité ...en verité... je vous le dis .. si un grain de blé tombe en terre et ne meurt pas ,il restera seul , mais s'il meurt ,il donnera beaucoup de fruits . evangile

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                        • #27
                          l'ère du pétrole bon marché est révolue, pour preuve les programmes de production d'énergie nucléaire sont relancés, le prix du pétrole le permet.D'un autre côté la technologie a atteint ses limites en matière de réductions des consommations d'énergie, le coût marginal de production de pétrole permet de relancer des forages autrefois impossible(sous la banquise, exploitation des schistes bitumineux), mais les découvertes majeures restent rares. La dernière grande découverte au large du brésil suffira à peine à couvrir les besoins de ce pays du BRIC's pour qq années.
                          Le constat est unanime il y aura de moins en moins de pétrole et les grandes nations se disputeront les rares puits qui vont se réduire en peau de chagrin.

                          Commentaire


                          • #28
                            La demande globale de pétrole ne baissera pas tant que rien n'a été trouvé pour remplacer le pétrole. Pour le moment, le pétrole reste incontournable dans de larges segments de l'économie.
                            Si, il y a un element tres simple in the real life, un salaire qui ne triple pas par exemple...

                            Le prix du baril pourra légèrement baisser sur le court terme, mais sur le moyen et long terme, la hausse est inéluctable. Ce n'est pas de la science fiction, mais une réalité économique : l'offre de pétrole deviendra de plus en plus inférieure à la demande.
                            Ok laisses moi donc te poser une question tres tres simple a un titre personnel : tu te vois donner 90% de ton salaire pour utiliser ta voiture?

                            D'où un retour à la baisse releve du scenario tres tres improbable peut etre sur de courtes periodes , mais la hausse sera pour des dizaines d'années la regle , technologiquement rien ne remplacera le petrole pour la motorisation sur un horizon proche , preconiser l'abondant d'un certain style de vie oui ,mais celà n'est rien d'autre que l'ecroulement de l'economie mondiale , on n'abondonne pas la voiture , ou l'avion , comme celà , celà fait une chaine ,et c'est un chateau de cartes qui s'ecroule .
                            Oh aucun doute que d'autres matieres premieres qui au jour d'aujourd'hui ne sont pas interessantes a exploiter en raison du cout de production seront exploitables, je pense au shiste bitumineux par exemple dont les 2 plus gros gisements sont au Canade et au Maroc... Mais aussi aux voitures electriques, hybrides, etc... qui deviennent de plus en plus interessantes malgre qu'ils coutent plus cher que les voitures normales.

                            Tres pessimiste comme point de vue que celui de croire que l'humanite va s'arreter quand une certaine source d'energie s'arretera. Les hommes ont toujours invente quelque chose quand ils se sont trouves au pied du mur. La technologie est deja la pour la motorisation, ce qu'il faut c'est faire baisser les prix et la rendre attirante pour tous les budgets. Pour l'abandon d'un certain style de vie, je pense que ca a deja commence, les gens aux US pensent serieusement a ne plus conduire pour leurs vacances.

                            Il faut s'attendre a ce que le nucleaire fasse son entree en force aux US et un peu partout dans le monde, l'energie eolienne n'est pas exploitee a fond (meme pas du tout parfois), le solaire etc... Ca ne va pas etre une solution, mais un mix qui fera en sorte que les etats feront tout ce qui sera possible pour faire baisser leur facture, ils n'ont pas le choix vraiment...

                            Une fois cela fait, la demande en petrole baissera. C'est inevitable a mon avis.

                            Un baril de pétrole équivaut à 42 gallons américains
                            42x6= 252 $/baril
                            42x7=294 4/baril
                            Yeah, j'achete un gallon a 3.79, donc d'apres toi le baril au jour d'aujourd'hui, 3.79*42 = 159$, Bizarre il ne fait pas ca...

                            Bonjour les raccourcis de la regle de troie...

                            Pour quelqu'un qui causait, il y a deux jours, d'un plafond de 70 $ le baril...
                            Le gap est fossé
                            Jene vais pas rentrer avec toi dans des discussions de Bachi contre Ayoub, ca finit toujours par "je ne repondrais pas a ta question"... Si tu veux avoir une discussion clean tu es le bienvenu, si tu veux croiser le fer, j'en ai pas trop envie aujourd'hui. Une autre fois peut etre.

                            Commentaire


                            • #29
                              la généralisation du nucléaire fera aussi face a la rareté du combustible et au gros problème des déchets, le pétrole ne sera jamais remplacé car il n'est pas uniquement source d'énergie facilement stockable au contraire de l'électricité mais aussi sources d'une centaine de dérivés!
                              ?

                              Commentaire


                              • #30
                                Envoyé par ayoub7
                                tu te vois donner 90% de ton salaire pour utiliser ta voiture?
                                T'es entrain de sortir du sujet. T'es libre de penser que le prix du pétrole va baisser, mais le topic (prend en compte la réalité économique et le consensus de la majorité des experts qui estiment que le prix du baril continuera à augmenter) est consacré à l'opportunité pour l'Algérie de réduire ses exportations de pétrole et de miser sur la constitution d'un stock pétrolier stratégique pour les générations futures.

                                Commentaire

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