Casablanca est menacée d’une pénurie d’eau, selon le ministre de l’Équipement et de l’Eau, Nizar Baraka. Le barrage Al Massira, principal pourvoyeur en eau de la ville, est presque à sec, rendant la situation très difficile.
La sécheresse que traverse le Maroc n’a pas que des retombées dans les champs. Les principales réserves d’eau du pays sont en souffrance. C’est le cas dans certaines villes comme Marrakech, Nador, Berkane, mais aussi Casablanca, a révélé Nizar Baraka, ministre de l’Equipement et de l’Eau, lors d’une rencontre organisée jeudi 3 mars 2022 à Rabat, par le Club de la presse, en partenariat avec l’Institut supérieur de l’information et de la communication (ISIC), sous le thème générique de « L’enjeu de l’eau au Maroc ».
Au plan national, Nizar Baraka a évoqué une baisse considérable des taux de remplissage des barrages durant ces quatre dernières années. De 62 % en 2018, ce taux est passé à 49 % en 2019, 37 % en 2020 et 34 % en 2021. Il est actuellement de 32,7 %. Le gouvernement envisage la construction de 115 barrages pour combler le déficit actuel.
Bladi
La sécheresse que traverse le Maroc n’a pas que des retombées dans les champs. Les principales réserves d’eau du pays sont en souffrance. C’est le cas dans certaines villes comme Marrakech, Nador, Berkane, mais aussi Casablanca, a révélé Nizar Baraka, ministre de l’Equipement et de l’Eau, lors d’une rencontre organisée jeudi 3 mars 2022 à Rabat, par le Club de la presse, en partenariat avec l’Institut supérieur de l’information et de la communication (ISIC), sous le thème générique de « L’enjeu de l’eau au Maroc ».
Au plan national, Nizar Baraka a évoqué une baisse considérable des taux de remplissage des barrages durant ces quatre dernières années. De 62 % en 2018, ce taux est passé à 49 % en 2019, 37 % en 2020 et 34 % en 2021. Il est actuellement de 32,7 %. Le gouvernement envisage la construction de 115 barrages pour combler le déficit actuel.
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