Tweet
Agence Ecofin) - Dans le contexte de la transition énergétique, l’hydrogène vert est annoncé comme le carburant de demain. L’Egypte, avec huit projets déjà dans le secteur, se positionne comme un futur grand producteur et exportateur.
Le mercredi 27 juillet, Mostafa Madbouly, le Premier ministre égyptien, a assisté à la signature d'un protocole d'accord pour la mise en place d'une usine de production d'hydrogène vert, d’une capacité de 220 000 tonnes par an, dans la zone économique du canal de Suez. La mise en place de l’installation devrait nécessiter un investissement de 8 milliards de dollars.
Le protocole d’accord a été signé entre l'Autorité des énergies nouvelles et renouvelables, l’Autorité de la zone économique du canal de Suez et le Fonds souverain égyptien, d’une part, et la société indienne d’énergie renouvelable, Renew Power, d’autre part.
« Nous sommes heureux de nous associer à l'un des plus grands producteurs d'énergies renouvelables en Inde et dans le monde, Renew Power Private. Ce partenariat reflète l'intérêt des développeurs internationaux spécialisés dans l'investissement dans de tels projets en choisissant l'Égypte comme destination d'investissement dans ce domaine, du fait notamment de ses ressources et de son positionnement stratégique », s’est réjoui Ayman Suleiman, PDG du fonds souverain égyptien.
Le projet devrait être mis en œuvre par phases. La première est une phase pilote visant à produire 20 000 tonnes d'hydrogène vert par an.
Ce projet d’hydrogène vert rejoint sept autres projets en cours de développement dans le pays. Le futur hôte de la prochaine COP 27 se veut un hub énergétique régional ainsi qu’un leader de la transition énergétique, en misant sur ses abondantes ressources renouvelables et sur sa position géographique très avantageuse.
A noter que ce projet ambitieux de 8 milliards de dollars d’investissement est annoncé la même semaine du lancement des travaux de construction de la première centrale nucléaire en Egypte. La fréquence et l’importance des projets d’énergies propres lancés dernièrement par les autorités égyptiennes montrent clairement la stratégie et les ambitions énergétiques élevées du pays.
Le mercredi 27 juillet, Mostafa Madbouly, le Premier ministre égyptien, a assisté à la signature d'un protocole d'accord pour la mise en place d'une usine de production d'hydrogène vert, d’une capacité de 220 000 tonnes par an, dans la zone économique du canal de Suez. La mise en place de l’installation devrait nécessiter un investissement de 8 milliards de dollars.
Le protocole d’accord a été signé entre l'Autorité des énergies nouvelles et renouvelables, l’Autorité de la zone économique du canal de Suez et le Fonds souverain égyptien, d’une part, et la société indienne d’énergie renouvelable, Renew Power, d’autre part.
« Nous sommes heureux de nous associer à l'un des plus grands producteurs d'énergies renouvelables en Inde et dans le monde, Renew Power Private. Ce partenariat reflète l'intérêt des développeurs internationaux spécialisés dans l'investissement dans de tels projets en choisissant l'Égypte comme destination d'investissement dans ce domaine, du fait notamment de ses ressources et de son positionnement stratégique », s’est réjoui Ayman Suleiman, PDG du fonds souverain égyptien.
Le projet devrait être mis en œuvre par phases. La première est une phase pilote visant à produire 20 000 tonnes d'hydrogène vert par an.
Ce projet d’hydrogène vert rejoint sept autres projets en cours de développement dans le pays. Le futur hôte de la prochaine COP 27 se veut un hub énergétique régional ainsi qu’un leader de la transition énergétique, en misant sur ses abondantes ressources renouvelables et sur sa position géographique très avantageuse.
A noter que ce projet ambitieux de 8 milliards de dollars d’investissement est annoncé la même semaine du lancement des travaux de construction de la première centrale nucléaire en Egypte. La fréquence et l’importance des projets d’énergies propres lancés dernièrement par les autorités égyptiennes montrent clairement la stratégie et les ambitions énergétiques élevées du pays.
Commentaire