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Maroc: Décélération de la croissance au 4e trimestre
Par L'Economiste| Le 06/10/2022 - 13:41
Si la croissance s’est limitée à 1,8% au 3e trimestre de l’année, elle devrait baisser durant les trois derniers mois de 2022. D’après les projections du HCP, la croissance de l’économie nationale s’établirait à +1,4% au 4e trimestre 2022, une situation qui s’explique par la baisse attendue de la valeur ajoutée agricole (-15,8%), en rythme annuel. L’activité hors agriculture, elle, croîtrait de 3,3% sur la même période.
Au dernier trimestre, la demande étrangère adressée au Maroc continuerait de se modérer. Elle devrait évoluer de 4% contre 9,6% une année auparavant. La contribution de la demande extérieure nette à la croissance resterait ainsi négative et amputerait la croissance d’un point au 4e trimestre 2022, précise le HCP.
En revanche, la demande intérieure continuera à maintenir la croissance, grâce à la consolidation des dépenses de consommation des administrations publiques. Pour sa part, la consommation des ménages augmenterait de 2,6%, dans un contexte marqué par une légère inflexion des prix à la consommation. En contrepartie, les dépenses d’investissement s’infléchiraient sensiblement comparativement au 3e trimestre 2022.
Par L'Economiste| Le 06/10/2022 - 13:41
Si la croissance s’est limitée à 1,8% au 3e trimestre de l’année, elle devrait baisser durant les trois derniers mois de 2022. D’après les projections du HCP, la croissance de l’économie nationale s’établirait à +1,4% au 4e trimestre 2022, une situation qui s’explique par la baisse attendue de la valeur ajoutée agricole (-15,8%), en rythme annuel. L’activité hors agriculture, elle, croîtrait de 3,3% sur la même période.
Au dernier trimestre, la demande étrangère adressée au Maroc continuerait de se modérer. Elle devrait évoluer de 4% contre 9,6% une année auparavant. La contribution de la demande extérieure nette à la croissance resterait ainsi négative et amputerait la croissance d’un point au 4e trimestre 2022, précise le HCP.
En revanche, la demande intérieure continuera à maintenir la croissance, grâce à la consolidation des dépenses de consommation des administrations publiques. Pour sa part, la consommation des ménages augmenterait de 2,6%, dans un contexte marqué par une légère inflexion des prix à la consommation. En contrepartie, les dépenses d’investissement s’infléchiraient sensiblement comparativement au 3e trimestre 2022.
mais quelquechose me dit qu'il ne publiera jamais ce genre de nouvelles 
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