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Maroc : 0,8 % Une croissance presque nulle en 2022

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  • Maroc : 0,8 % Une croissance presque nulle en 2022

    Le Fonds monétaire international (FMI) a revu à la baisse ses prévisions de croissance pour le Maroc. Cette année, elle ressort à 0,8 % et devrait passer à 3,6 % en 2023, puis rebondir à 3,4 en 2024.

    Pour l’institution de Bretton Woods, le Maroc devrait enregistrer une inflation de 6,2 % cette année avant de passer à 4,1 % l’année prochaine. Le solde du compte courant s’établirait à -4,3 % en 2022 puis à -4,1 % l’année suivante. Pour le chômage, les projections tablent sur un taux de 11,1 % cette année et une légère baisse à 10,7 % en 2023.

    Dans son rapport, le FMI revient sur l’impact de la guerre en Ukraine, sur la croissance et sur l’inflation. Selon les estimations, la croissance au niveau régional devrait atteindre 5 % cette année, reflétant des perspectives favorables pour les pays exportateurs de pétrole dans la région.

    En 2023, la croissance devrait reculer à 3,6 % en raison de la baisse des prix du pétrole et des conséquences du ralentissement de l’économie mondiale et de la guerre. L’économie mondiale quant à elle, devrait croître de 3,2 % en 2022 avant de fléchir à 2,7 % l’année prochaine.

    ALM

  • #2
    En 2023, la croissance devrait reculer à 3,6 % en raison de la baisse des prix du pétrole

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    • #3
      la croissance ne viens pas du vide. quand la conjoncture et le ciel vous sont hostiles, il faut resister pour ne pas tomber dans la recession.

      ça sera problematique pour l'investissement et les créations d'emploi ...

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      • #4
        Ce n’est pas l’avis de Hadda and co

        j’au calculé, d’après les bonnes nouvelles qu’ils postent tous les jours, elle devrait être au moins à 18%
        « Great minds discuss ideas; average minds, events; small minds, people. » Eleanor ROOSEVELT

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        • #5
          On a du mal à comprendre pour le Maroc que c'est la faute à l'international quand la Tunisie affiche un beau 3% de croissance 2022

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          • #6

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            • #7
              dans les faits, le Maroc court toujours derrière son PIB pré pandémie.
              Heureusement qu'il y a les MRE. Ca sauve un peu la mise.
              ce qui se conçoit bien s'énonce clairement et les mots pour le dire arrivent aisément

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              • #8
                La Tunisie et la Jordanie font 3 fois mieux que les boukhariens
                « Great minds discuss ideas; average minds, events; small minds, people. » Eleanor ROOSEVELT

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                • #9
                  Il manque les données de L'ONTERNITE et des rizou sossyo pour que les 3abid elboukhari occupent les premières places

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                  • #10
                    Et du zellij et des bananes
                    « Great minds discuss ideas; average minds, events; small minds, people. » Eleanor ROOSEVELT

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                    • #11
                      Ce classement, vérifié ou non ،est de l'ordre du burlesque,arabe biensur..
                      Explication : a première vue je ne vois pas la Libye, normal vous allez dire ce pays a deux gouvernements deux parlement scindé en deux ou plus et aucune statistique qui vaille pour lui.
                      mais je vois aussi le Yémen qui ressemble à la Libye dans sa configuration politique comme deux gouttes d'eau,a éliminer de la liste donc.
                      Ensuite la Palestine qui vit sous occupation est à enlever en conséquent également.
                      Ce qui reste,a part le Maroc, ce sont des pays pétrolier,gaziers ou les deux qui tirent leurs devises de cette manne, soit en l'économisant a l'achat soit en la gagnant a la vente
                      Alors calculer la croissance sur le critère de la quantité des devises que procure la manne des hydrocarbures est une méthode plutôt biaisée.

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                      • #12
                        c'est la preuve que le Maroc souffre d'un sérieux stress hydrique. Le secteur agricole est une des plus grandes locomotives de l'économie marocaine. Quand il y a carence dans la pluviométrie, c'est un grand problème.
                        ce qui se conçoit bien s'énonce clairement et les mots pour le dire arrivent aisément

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                        • #13
                          Et donc le boukharien champion de la croissance avec 0,8%

                          « Great minds discuss ideas; average minds, events; small minds, people. » Eleanor ROOSEVELT

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                          • #14
                            c est une catastrophe ce taux de croissance.

                            La Tunisie en pleine crise politique et économique fait 3 fois plus

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                            • #15
                              Le Fonds monétaire international (FMI) vient de revoir ses prévisions sur la croissance économique de l’Algérie. Dans son dernier rapport, les chiffres de cette institution ont été revus à la hausse.

                              Ainsi, le FMI a prévu une croissance pour l’économie algérienne en 2022, à 4,7%, soit le double de ses précédentes prévisions qui tablaient sur une croissance de 2,4%.

                              En comparaison avec le rapport d’avril dernier, c’est 2,3% de plus que ce qu’envisageait le FMI, dans son dernier rapport sur les perspectives économiques mondiales, publié à l’occasion de la tenue des Assemblées annuelles conjointes avec la Banque Mondiale.

                              Pour l’année 2023, le Produit intérieur brut (PIB) réel algérien devrait enregistrer une croissance de 2,6%, selon les nouvelles projections de l’institution de Bretton Woods, basée à Washington. Les précédentes prévisions en avril tablaient sur une croissance de 2,4%.

                              Par ailleurs, le solde des transactions courantes de l’Algérie devrait repasser en zone positive, pour s’établir à 6,2% du PIB (contre 2,9 % anticipé en avril) et 0,6% du PIB en 2023. Le solde des transactions courantes représentait -2,8% du PIB en 2021, d’après le même rapport.

                              Pour l’ensemble de la région Moyen-Orient et Asie centrale (MOAC), le FMI prévoit une croissance de 5% en 2022 et 3,6% en 2023, « des taux qui reflètent largement les perspectives favorables pour les pays producteurs des hydrocarbures ».

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