Le Figaro
Par Jorge CarassoPublié il y a 2 heures, Mis à jour il y a 25 minutes
Paris fait toujours rêver.
DÉCRYPTAGE - Loin de la morosité ambiante, les ventes de biens à plus de 3 millions d’euros s’envolent,dopées par le retour des étrangers.
C’est un paradoxe qui ne cesse d’étonner. Malgré la baisse des prix à Paris et les inquiétudes qui pèsent sur l’immobilier partout dans le monde, les riches acheteurs continuent de se ruer sur la pierre parisienne de luxe - au-delà de 3 millions d’euros. Les ventes au 4e trimestre 2022 sont en plein boom, selon le réseau d’agences Daniel Féau, spécialisé dans le haut de gamme. «L’appétit des acheteurs est toujours très fort», confirme Nicolas Pettex-Muffat, son directeur général.
Le montant cumulé des ventes de biens de plus de 3 millions d’euros a augmenté au 4e trimestre de 40 % par rapport à la même période en 2019, pourtant déjà l’un des meilleurs crus. L’année 2022 s’annonce déjà record sur ce segment, avec des hausses de volumes de l’ordre de 10 à 15 % sur un an, selon différents réseaux.
On est très loin de la morosité qui règne en ce moment sur le marché des biens plus traditionnels.
Par Jorge CarassoPublié il y a 2 heures, Mis à jour il y a 25 minutes
Paris fait toujours rêver.
DÉCRYPTAGE - Loin de la morosité ambiante, les ventes de biens à plus de 3 millions d’euros s’envolent,dopées par le retour des étrangers.
C’est un paradoxe qui ne cesse d’étonner. Malgré la baisse des prix à Paris et les inquiétudes qui pèsent sur l’immobilier partout dans le monde, les riches acheteurs continuent de se ruer sur la pierre parisienne de luxe - au-delà de 3 millions d’euros. Les ventes au 4e trimestre 2022 sont en plein boom, selon le réseau d’agences Daniel Féau, spécialisé dans le haut de gamme. «L’appétit des acheteurs est toujours très fort», confirme Nicolas Pettex-Muffat, son directeur général.
Le montant cumulé des ventes de biens de plus de 3 millions d’euros a augmenté au 4e trimestre de 40 % par rapport à la même période en 2019, pourtant déjà l’un des meilleurs crus. L’année 2022 s’annonce déjà record sur ce segment, avec des hausses de volumes de l’ordre de 10 à 15 % sur un an, selon différents réseaux.
On est très loin de la morosité qui règne en ce moment sur le marché des biens plus traditionnels.
