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L'Algérie maintient la cadence
L'Algérie couve un écosystème de plus en plus favorable à l'éclosion de ce secteur névralgique pour l'économie nationale.
Malgré un contexte économique mondial crispé et en proie à des tensions récurrentes et chroniques, l'Algérie maintient le cap des investissements structurels et des réformes économiques entamées, depuis quelques temps déjà. La bonne trajectoire économique de l'Algérie se confirme, de jour en jour, au fil des bilans et des haltes d'évaluation à mi-parcours. Bien que beaucoup reste à faire dans nombre de secteurs et de volets d'actions, il n'en demeure pas moins que le programme économique et des actions sectorielles laisse supposer que le train des réformes engagées s'annonce reluisant, à plus d'un titre.Néanmoins, comme l'avait stipulé le récent rapport du FMI, la nouvelle cadence des réformes et des projets structurants diligentés par les différents secteurs, devrait déboucher sur des perspectives prometteuses, pour peu que le rythme soit maintenu et réactualisé.
L'exemple nous vient du dernier rapport du ministère de l'Industrie au sujet de l'évolution du secteur des PME/PMI EN Algérie. Bien qu'en deçà des normes et standards internationaux, en matière de ratio et de densité de ce type d'entreprises PME/PMI et microentreprises, l'Algérie couve malgré tout un écosystème, de plus en plus, favorable à l'éclosion de ce secteur névralgique pour l'économie nationale. Il est vrai que le ratio national qui est de 29 petites et moyennes entreprises pour 1000 habitants, est insuffisant actuellement. Toutefois, cette densité ne renseigne nullement sur les gestations et la dynamique qui couve dans ce secteur précis, surtout avec les nouvelles dispositions réglementaires et les mesures incitatives concédées par les pouvoirs publics pour stimuler l'investissement national.
On notera, malgré tout, selon le rapport du premier semestre 2022 que plus de 1,3 million de petites et moyennes entreprises activaient au niveau national. Ces petites et moyennes entreprises emploient plus de 3220661 salariés, croit-t-on savoir d'autre part. Aussi, le taux de croissance semestrielle de ces entreprises, véritable maillon fort de l'industrie et de l'économie algérienne, est de 4,45% comparativement à la même période de l'année écoulée. En termes clairs, ce sont pas moins de 34057 nouvelles petites et moyennes entreprises qui ont été créées, au cours du premier semestre de l'année écoulée. On notera également la relance de 4470 activités d'entreprises qui étaient quasiment à l'arrêt, alors que 4227 ont vu leurs activités cesser définitivement (radiations).
À préciser, cependant, qu'approximativement «98% des petites et moyennes entreprises activant en Algérie sont de très petites entreprises, employant moins de 10 salariés», note le bilan du ministère de l'Industrie. Par ailleurs, il est important de souligner que plus de 43% de ces très petites entreprises représentent des activités liées à l'artisanat et aux professions libérales.
Quant aux petites et moyennes entreprises publiques, qui étaient de 224 unités, leur nombre semble avoir sensiblement baissé pour des raisons objectives. Dans ce cadre, il est utile de rappeler que l'opération de privatisation, induisant une série d'actions de restructuration et de réorganisation de ces entreprises PME/PMI publiques, a été derrière la baisse drastique de leur nombre au premier semestre de 2022, comparativement à la même période de l'année 2021.
l'expression.dz
L'Algérie couve un écosystème de plus en plus favorable à l'éclosion de ce secteur névralgique pour l'économie nationale.
Malgré un contexte économique mondial crispé et en proie à des tensions récurrentes et chroniques, l'Algérie maintient le cap des investissements structurels et des réformes économiques entamées, depuis quelques temps déjà. La bonne trajectoire économique de l'Algérie se confirme, de jour en jour, au fil des bilans et des haltes d'évaluation à mi-parcours. Bien que beaucoup reste à faire dans nombre de secteurs et de volets d'actions, il n'en demeure pas moins que le programme économique et des actions sectorielles laisse supposer que le train des réformes engagées s'annonce reluisant, à plus d'un titre.Néanmoins, comme l'avait stipulé le récent rapport du FMI, la nouvelle cadence des réformes et des projets structurants diligentés par les différents secteurs, devrait déboucher sur des perspectives prometteuses, pour peu que le rythme soit maintenu et réactualisé.
L'exemple nous vient du dernier rapport du ministère de l'Industrie au sujet de l'évolution du secteur des PME/PMI EN Algérie. Bien qu'en deçà des normes et standards internationaux, en matière de ratio et de densité de ce type d'entreprises PME/PMI et microentreprises, l'Algérie couve malgré tout un écosystème, de plus en plus, favorable à l'éclosion de ce secteur névralgique pour l'économie nationale. Il est vrai que le ratio national qui est de 29 petites et moyennes entreprises pour 1000 habitants, est insuffisant actuellement. Toutefois, cette densité ne renseigne nullement sur les gestations et la dynamique qui couve dans ce secteur précis, surtout avec les nouvelles dispositions réglementaires et les mesures incitatives concédées par les pouvoirs publics pour stimuler l'investissement national.
On notera, malgré tout, selon le rapport du premier semestre 2022 que plus de 1,3 million de petites et moyennes entreprises activaient au niveau national. Ces petites et moyennes entreprises emploient plus de 3220661 salariés, croit-t-on savoir d'autre part. Aussi, le taux de croissance semestrielle de ces entreprises, véritable maillon fort de l'industrie et de l'économie algérienne, est de 4,45% comparativement à la même période de l'année écoulée. En termes clairs, ce sont pas moins de 34057 nouvelles petites et moyennes entreprises qui ont été créées, au cours du premier semestre de l'année écoulée. On notera également la relance de 4470 activités d'entreprises qui étaient quasiment à l'arrêt, alors que 4227 ont vu leurs activités cesser définitivement (radiations).
À préciser, cependant, qu'approximativement «98% des petites et moyennes entreprises activant en Algérie sont de très petites entreprises, employant moins de 10 salariés», note le bilan du ministère de l'Industrie. Par ailleurs, il est important de souligner que plus de 43% de ces très petites entreprises représentent des activités liées à l'artisanat et aux professions libérales.
Quant aux petites et moyennes entreprises publiques, qui étaient de 224 unités, leur nombre semble avoir sensiblement baissé pour des raisons objectives. Dans ce cadre, il est utile de rappeler que l'opération de privatisation, induisant une série d'actions de restructuration et de réorganisation de ces entreprises PME/PMI publiques, a été derrière la baisse drastique de leur nombre au premier semestre de 2022, comparativement à la même période de l'année 2021.
l'expression.dz