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La Toile regorge d'initiatives et de transactions électroniques échappant à tout cadre légal.
Le paiement en ligne a le vent en poupe en Algérie. Bien que insuffisamment exploité, ce vecteur primordial de la numérisation semble connaître davantage d'engouement au cours de ces dernières années. Selon le rapport de la société d'automatisation des transactions interbancaires et de monétiques Satim, le nombre des transactions globales de paiement en ligne avoisine les 23 millions (22941995). Ce chiffre représente le nombre global des transactions depuis le lancement du paiement sur Internet en 2016. Aujourd'hui, le réseau national du système de paiement via Internet par carte interbancaire compte quelque 307 Web-marchands abonnés. Néanmoins, ce constat est loin de refléter la dynamique réelle qui couve sur la Toile et, particulièrement, sur les réseaux sociaux, faut-il le souligner. Sur la base des chiffres communiqués par la Satim, on apprend qu'au cours du seul mois de janvier 2023, ce sont pas moins de 269944 transactions paiements via Internet qui ont été enregistrées totalisant un montant global de transactions paiements de plus de 216 milliards de centimes (2167355583,93 DZD). Ces chiffres englobent des transactions relatives aux charges ménagères quotidiennes ou mensuelles, traduisant une tendance haussière dans les us des Algériens quant à utiliser le Net pour les achats ou pour s'acquitter des redevances multiples. À consulter les statistiques fournies par la Satim, on remarque que les charges de Télécommunication prennent la part du lion dans les transactions via Internet pour un nombre global de 731505 opérations de paiements. Elles sont suivies par les frais de sport et loisirs avec 129017 opérations. En troisième position viennent les prestations de services avec un nombre global de 58091 transactions. Les factures et le transport suivent avec, respectivement 34219 et 22575 opérations de paiements en ligne. Les assurances et les ventes de biens suivent avec, respectivement 5064 et 2892. Et enfin, en dernière position les services administratifs ont totalisé quelque 529 opérations de paiements via Internet. Ces chiffres représentent le total des activités monétiques avec 983892 transactions pour un chiffre d'affaires de 1897808059,28 da pour le seul mois de janvier 2023. Le rapport sur l'activité monétique fait, également, état de 22941995 opérations de paiement en ligne ont été effectuées, depuis le lancement des opérations de paiement en ligne depuis octobre 2016. Ce sont les grands facturiers, à savoir les sociétés de télécoms, des eaux, électricité, etc... qui ont boosté les transactions via Internet, en optant pour des systèmes de paiements électroniques. Il y a lieu de signaler que l'adhésion d'Algérie poste au GIE Monétique et la réalisation de l'interopérabilité CIB/Edahabia, a propulsé les transactions via le Web et restitué, quelque peu, la confiance des usagers de ces nouvelles technologies. Il convient, par ailleurs, de souligner que ces chiffres qui sont en inadéquation avec les moyens mis en place et la volonté politique affichée, sont loin de refléter la réalité du terrain. En effet, la Toile regorge d'initiatives et de transactions électroniques échappant à tout cadre légal ou un quelconque système de régulation. Le développement du E-paiement en Algérie doit patienter encore pour prétendre à une extension de ses activités et transactions.
l'expression.dz
Le paiement en ligne a le vent en poupe en Algérie. Bien que insuffisamment exploité, ce vecteur primordial de la numérisation semble connaître davantage d'engouement au cours de ces dernières années. Selon le rapport de la société d'automatisation des transactions interbancaires et de monétiques Satim, le nombre des transactions globales de paiement en ligne avoisine les 23 millions (22941995). Ce chiffre représente le nombre global des transactions depuis le lancement du paiement sur Internet en 2016. Aujourd'hui, le réseau national du système de paiement via Internet par carte interbancaire compte quelque 307 Web-marchands abonnés. Néanmoins, ce constat est loin de refléter la dynamique réelle qui couve sur la Toile et, particulièrement, sur les réseaux sociaux, faut-il le souligner. Sur la base des chiffres communiqués par la Satim, on apprend qu'au cours du seul mois de janvier 2023, ce sont pas moins de 269944 transactions paiements via Internet qui ont été enregistrées totalisant un montant global de transactions paiements de plus de 216 milliards de centimes (2167355583,93 DZD). Ces chiffres englobent des transactions relatives aux charges ménagères quotidiennes ou mensuelles, traduisant une tendance haussière dans les us des Algériens quant à utiliser le Net pour les achats ou pour s'acquitter des redevances multiples. À consulter les statistiques fournies par la Satim, on remarque que les charges de Télécommunication prennent la part du lion dans les transactions via Internet pour un nombre global de 731505 opérations de paiements. Elles sont suivies par les frais de sport et loisirs avec 129017 opérations. En troisième position viennent les prestations de services avec un nombre global de 58091 transactions. Les factures et le transport suivent avec, respectivement 34219 et 22575 opérations de paiements en ligne. Les assurances et les ventes de biens suivent avec, respectivement 5064 et 2892. Et enfin, en dernière position les services administratifs ont totalisé quelque 529 opérations de paiements via Internet. Ces chiffres représentent le total des activités monétiques avec 983892 transactions pour un chiffre d'affaires de 1897808059,28 da pour le seul mois de janvier 2023. Le rapport sur l'activité monétique fait, également, état de 22941995 opérations de paiement en ligne ont été effectuées, depuis le lancement des opérations de paiement en ligne depuis octobre 2016. Ce sont les grands facturiers, à savoir les sociétés de télécoms, des eaux, électricité, etc... qui ont boosté les transactions via Internet, en optant pour des systèmes de paiements électroniques. Il y a lieu de signaler que l'adhésion d'Algérie poste au GIE Monétique et la réalisation de l'interopérabilité CIB/Edahabia, a propulsé les transactions via le Web et restitué, quelque peu, la confiance des usagers de ces nouvelles technologies. Il convient, par ailleurs, de souligner que ces chiffres qui sont en inadéquation avec les moyens mis en place et la volonté politique affichée, sont loin de refléter la réalité du terrain. En effet, la Toile regorge d'initiatives et de transactions électroniques échappant à tout cadre légal ou un quelconque système de régulation. Le développement du E-paiement en Algérie doit patienter encore pour prétendre à une extension de ses activités et transactions.
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