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Une délégation du Maroc a conclu dimanche une tournée promotionnelle d’une semaine en Inde. Et ce, dans le but de présenter l’offre marocaine et d’attirer les investissements des entreprises indiennes de New Delhi, Bombay et Ahmedabad.
La tournée promotionnelle, organisée par l’Agence marocaine pour le développement des investissements et des exportations, en partenariat avec l’ambassade du Maroc en Inde, comprenait des rencontres avec un certain nombre de dirigeants d’entreprises indiennes. Objectif : présenter les opportunités d’investissement dans le Royaume et explorer les moyens d’accroître leurs activités commerciales.
En effet, le Maroc compte sur l’Inde pour devenir un partenaire économique important pour lui. Car c’est l’une des cinq plus grandes économies du monde. Et ce, compte tenu de l’intérêt des entreprises indiennes à investir au Royaume du Maroc au cours des dernières années. En ciblant les pays africains, européens et les marchés américains.
Ainsi, Piyush Goyal, ministre indien du Commerce et de l’Industrie, a exprimé son admiration pour ce que le Maroc a réalisé en matière d’infrastructures et de climat des affaires propice à l’investissement. Tout en confirmant que son pays est intéressé à encourager les investissements dans le Royaume. Parce qu’il est lié à environ 50 pays par un accord de libre-échange. Ce qui donne accès à un immense marché qui comprend environ deux milliards de consommateurs.
Pour sa part, Rabat compte principalement sur le développement de la coopération avec l’Inde au niveau des technologies de l’information; mais aussi des engrais, de l’industrie automobile et des énergies renouvelables. Le ministère indien de l’Industrie et du Commerce devrait se rendre au Maroc dans les mois à venir.
L’Inde fournit environ 30 % de l’investissement brut total
Par ailleurs, l’industrie automobile au Maroc est le secteur le plus important qui peut intéresser l’Inde. Car c’est le deuxième secteur en termes d’exportations, l’an dernier. Et ce, avec une capacité de production d’environ 1 million de voitures. Et le Royaume se classe au premier rang des pays exportateurs vers l’Europe de l’extérieur de l’Union.
En outre, la campagne promotionnelle visait à présenter le secteur des énergies renouvelables comme un secteur important pour les investissements indiens. Les grandes entreprises indiennes ont été introduites dans le nouveau pacte d’investissement. Lequel fournit environ 30 pour cent de l’investissement brut total.
Selon les données de l’ambassade de l’Inde au Maroc, la valeur des échanges commerciaux avec le Maroc a atteint pour la première fois 3,2 milliards de dollars. L’Inde exportant de nombreux produits vers le Royaume, tels que les téléphones portables, les produits pétroliers et le miel; en plus des pièces automobiles et des textiles. Le Maroc exporte de nombreux produits vers l’Inde. Y compris l’acide phosphorique, les phosphates, les minéraux bruts et les produits chimiques.
Enfin, de nombreuses entreprises indiennes ont choisi de s’installer au Maroc. Il s’agit notamment de « Tata Motors » et « Mahandria » pour l’industrie automobile. En plus de la société « Samta » opérant dans le secteur des métaux et de la société « HCL » investissant dans le secteur de l’offshoring.
L'économiste maghrébin
La tournée promotionnelle, organisée par l’Agence marocaine pour le développement des investissements et des exportations, en partenariat avec l’ambassade du Maroc en Inde, comprenait des rencontres avec un certain nombre de dirigeants d’entreprises indiennes. Objectif : présenter les opportunités d’investissement dans le Royaume et explorer les moyens d’accroître leurs activités commerciales.
En effet, le Maroc compte sur l’Inde pour devenir un partenaire économique important pour lui. Car c’est l’une des cinq plus grandes économies du monde. Et ce, compte tenu de l’intérêt des entreprises indiennes à investir au Royaume du Maroc au cours des dernières années. En ciblant les pays africains, européens et les marchés américains.
Ainsi, Piyush Goyal, ministre indien du Commerce et de l’Industrie, a exprimé son admiration pour ce que le Maroc a réalisé en matière d’infrastructures et de climat des affaires propice à l’investissement. Tout en confirmant que son pays est intéressé à encourager les investissements dans le Royaume. Parce qu’il est lié à environ 50 pays par un accord de libre-échange. Ce qui donne accès à un immense marché qui comprend environ deux milliards de consommateurs.
Pour sa part, Rabat compte principalement sur le développement de la coopération avec l’Inde au niveau des technologies de l’information; mais aussi des engrais, de l’industrie automobile et des énergies renouvelables. Le ministère indien de l’Industrie et du Commerce devrait se rendre au Maroc dans les mois à venir.
L’Inde fournit environ 30 % de l’investissement brut total
Par ailleurs, l’industrie automobile au Maroc est le secteur le plus important qui peut intéresser l’Inde. Car c’est le deuxième secteur en termes d’exportations, l’an dernier. Et ce, avec une capacité de production d’environ 1 million de voitures. Et le Royaume se classe au premier rang des pays exportateurs vers l’Europe de l’extérieur de l’Union.
En outre, la campagne promotionnelle visait à présenter le secteur des énergies renouvelables comme un secteur important pour les investissements indiens. Les grandes entreprises indiennes ont été introduites dans le nouveau pacte d’investissement. Lequel fournit environ 30 pour cent de l’investissement brut total.
Selon les données de l’ambassade de l’Inde au Maroc, la valeur des échanges commerciaux avec le Maroc a atteint pour la première fois 3,2 milliards de dollars. L’Inde exportant de nombreux produits vers le Royaume, tels que les téléphones portables, les produits pétroliers et le miel; en plus des pièces automobiles et des textiles. Le Maroc exporte de nombreux produits vers l’Inde. Y compris l’acide phosphorique, les phosphates, les minéraux bruts et les produits chimiques.
Enfin, de nombreuses entreprises indiennes ont choisi de s’installer au Maroc. Il s’agit notamment de « Tata Motors » et « Mahandria » pour l’industrie automobile. En plus de la société « Samta » opérant dans le secteur des métaux et de la société « HCL » investissant dans le secteur de l’offshoring.
L'économiste maghrébin