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Le déficit budgétaire du maroc de 13,3 MMDH à fin avril

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  • Le déficit budgétaire du maroc de 13,3 MMDH à fin avril

    Le déficit budgétaire de 13,3 MMDH à fin avril

    La situation des charges et ressources du Trésor (SCRT) à fin avril 2023 fait ressortir un déficit budgétaire de 13,3 milliards de dirhams (MMDH), contre un déficit de près de 11,4 MMDH un an auparavant, selon le ministère de l’Économie et des Finances.

    Cette évolution recouvre une augmentation des dépenses globales (+3,4 MMDH) plus importante que celle des recettes (+1,5 MMDH), explique le ministère dans un document sur la SCRT du mois d’avril 2023.

    D’après la même source, les recettes ont enregistré, sur une base nette des remboursements, dégrèvements et restitutions fiscaux, un taux de réalisation de 31,2% par rapport aux prévisions de la loi de finances (LF). Comparativement à fin avril 2022, ces recettes se sont inscrites en hausse de près de 1,5 MMDH ou 1,6%.


  • #2
    Avant , le Maroc n'arrivait pas à terminer l'année , maintenant il n'arrive même pas à la démarrer !!

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    • #3
      Pourtant d'après Haddou,
      en moyenne une dizaine d' investisseurs s'installent au maroc par jour x par 365
      et on ne voit rien apparaitre au niveau du PIB.

      Bizarre,... Bizarre.

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      • #4
        J'ai l'impression que vous ne comprenez rien à l'économie d'aujourd'hui

        Droite des Valeurs
        Gauche du Travail
        Centre "Intérêt de Mon Pays"

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        • #5
          A ces 13,3 milliards, le gvt va mettre 10 milliards de DH à travers la LF complémentaire pour parer aux dépenses

          On est donc déjà à 23,3 milliards de déficit

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          • #6
            Parler économie à des adeptes de l’économie dirge c’est comme utiliser le mIRC pour communiquer en 2023


            /
            "Tout ce qui te dérange chez les autres, c'est seulement une projection de ce que tu n'as pas résolu en toi-même" - Bouddha

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            • #7
              ayoub7 je te pose trois questions avec lesquelles tu peux démontrer que la vidéo de ce beur perroquet a tout faux :

              1- l'endettement permet de booster la croissance d'après l'exp de l'investissement dans les pommiers. QUEL EST LE TAUX DE CROISSANCE DU MAROC SUR LES CINQ DERNIÈRES ANNÉES ? Comparer avec l'Algérie.

              2- L'investissement permet de créer de l'emploi en boostant l'activité économique. QUELS SONT LES MONTANTS ANNUELS DE L'INVESTISSEMENT AU MAROC CES CINQ DERNIÈRES ANNÉES ? Comparer avec l'Algérie

              3- Si l'endettement est si bon POURQUOI LE GOUVERNEUR DE BANK EL MAGHRIB s'y est publiquement opposé ?

              CONCLUSION : ce gus confond investissements et endettements on est tenté de lui dire que le mieux c'est d'investir avec le moins d'endettement extérieur possible.

              Ps : le pb du maroc est qu'il ne s'endette pas pour investir mais plutôt pour équilibrer sa balance du commerce extérieur et ses achats alimentaires, énergétiques et fournitures de guerre devenues prioritaires
              Dernière modification par Tizwel, 20 mai 2023, 15h03.

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              • #8
                ça fuit de partout

                LF 2023: Vers une rallonge budgétaire de 10 MMDH


                Face à une nouvelle situation économique dû à la sècheresse, l’inflation, la fluctuation mondiale du cours du pétrole… le gouvernement fait face à une situation presque inédite et qui appelle des mesures, voire des décisions majeures. Pour contourner ces écueils, le gouvernement est obligé de revoir les allocations budgétaires, notamment les dépense.

                Prévu pour 408 milliards de dirhams en 2023 avec une hausse de 14.8% par rapport à 2022, le gouvernement avait pensé de faire le nécessaire pour la maitrise de l’inflation. Mais face aux chocs exogènes qu’endogène, le gouvernement de Akhannouch est obligé de revoir l’allocation des dépenses. Ainsi, il serait prévu la rallonge budgétaire de 10 milliards de dirhams pour la maitrise des équilibres économiques.

                Selon La Quotidienne, l’allocation de ce montant concernerait certaines entreprises publiques. Ainsi, l’Office National de l’Eau Potable et de l’Électricité (ONEE) recevra 4 milliards de dirhams pour mettre en œuvre le contrat-programme de 2023 à 2027. En plus, 1,5 milliard de dirhams seront alloués au plan national pour la fourniture d’eau potable et d’irrigation de 2020 à 2027. Un montant de 1,2 milliard de dirhams sera dédié à une nouvelle stratégie touristique et enfin 3,3 milliards de dirhams de dépenses supplémentaires seront utilisés permettront le soutien du pouvoir d’achat afin de faire face à l’inflation.

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                • #9
                  rien de nouveau...
                  le déficit au maroc est depuis des années autour de ce chiffre.
                  une dette qui s'accumule et donc un Maroc qui va au mur...

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                  • #10
                    Y a pas 2 moyens : soit emprunter soit imprimer.
                    chacun à fait son choix.
                    Cela dit, l'algerie a imprimé 54 mds$ en 2 ans, soit l'equivalent de 20 ans d'emprunt du maroc.
                    bachi, le scoring (notation) du maroc reste meilleur (b+) que celui de l'algerie. Si nous allons dans le mur, alors vous l'enfoncerez bien avant.

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                    • #11
                      Pour remettre les chose en perspective :

                      La planche à billets: L’art de payer ses dettes avec des dettes

                      Les dramatiques conséquences de la pandémie de Coronavirus sur l’économie mondiale, ont réussi à mettre fin à l’obsession relatives aux déficits budgétaires, que les Etats modernes tenaient à réduire au maximum afin de présenter au reste du monde, l’image rassurante d’un pays bien géré. Une autre obsession la remplace aujourd’hui. Celle de la relance économique à tout prix, y compris au moyen de l’endettement, leurs économies menacées par la récession, les pertes de compétitivité et le chômage massif. Une pluie de dollars subitement sortie des entrailles des banques centrales, des réserves fédérales, des trésors publics, et des planches à billets, se déverse depuis cette année sur des pans entiers de l’économie et de catégories socioprofessionnelles en détresse. Les imprimeries des banques centrales se sont subitement remises à produire massivement de la monnaie, sans qu’aucune critique ne s’élève, ne serait-ce que du côté de ceux qui en avaient fait leur cible. C’est ainsi que les USA et l’Union Européenne ont subitement mis à la disposition de la relance économique et de la sauvegarde des entreprises en difficulté, respectivement 1900 et 1200 milliards de dollars. De l’argent qui commence déjà à produire les effets escomptés, puisque bon de branches et filières d’activités économiques, se sont remises à produire, au point qu’elles ont engendré une forte hausse des cours du pétrole et de certains inputs et matières premières.

                      Décomplexées par l’initiative de ces puissants pays de financer la relance économique au moyen de la planche à billets, les autorités algériennes embourbées dans de gros problèmes de déficits budgétaires, ont décidé de prendre ouvertement exemple, en faisant croire à l’opinion publique que la crise économique que subit présentement l’Algérie est essentiellement due au Covid-19 et, non pas, comme c’est en réalité le cas, au mode de gouvernance rentier et bureaucratique de l’économie. Les sous performances des entreprises publiques, le surendettement de l’Etat, le poids des créances douteuses des banques publiques, ne sont en effet pas nouveaux. Ils remontent pratiquement à l’indépendance du pays, dés lors que les autorités politiques de l’époque, avaient imposé aux algériens un système de gestion rentier et bureaucratique, qui ne tient pas compte de la rigueur managériale, mais seulement, du maintien de la paix sociale qui permet à quelques individus de se maintenir le plus longtemps possible au pouvoir.

                      Ce n’est effectivement pas la première fois que les autorités algériennes recourent à ce type de financement, puisque le gouvernent d’Ahmed Ouyahia avait déjà procédé au tirage d’environ 6000 milliards de dinars en 2018, ce qui lui avait valu, on s’en souvient, de vives critiques de la part de certains parlementaires et, plus tard, de graves ennuis avec la justice.

                      Cette fois c’est le tout nouveau premier ministre Aimene Benabderrahmane, qui en tant qu’ex gouverneur de la Banque d’Algérie, connaît parfaitement les mécanismes de fonctionnement de la planche à billets, le fera sans état d’âme avec l’espoir qu’on ne lui reprochera en faisant valoir les décisions de la même nature prises par les gouvernements des plus grandes nations du monde. Pas moins de 2200 milliards de dinars seront imprimés cette année, ce qui portera à environ 8000 milliards de dinars, le total de l’argent émis sans contre partie productive. L’écrasante majorité de ce nouveau tirage sera engloutie comme annoncé lors du dernier conseil des ministres, dans l’assainissement financier des entreprises publiques déficitaires, le rachat d’environ 500 milliards de dinars de créances détenues par les banques publiques, au paiement des retards de salaires des travailleurs du secteur public et à la rémunération régulière de millions de fonctionnaires de l’Etat, déjà gagnés par l’inquiétude. Très peu d’argent ira, comme on le constate, à l’Équipement et à la relance des activités économiques et sociales ébranlées par les crises politiques et sanitaires.

                      La grosse crainte est que cette gigantesque manne financière sorties des entrailles de l’imprimerie de la Banque d’Algérie, provoque une inflation à deux chiffres du fait que cet argent ne sera pas investie dans des activités sensées apporter la contrepartie productive à cette forte création de monnaie. Le gouvernement ne sera sans doute pas mécontent de provoquer un regain d’inflation qui lui permettra de résorber plus facilement une partie non négligeable de la dette par le simple truchement de la perte de valeur des emprunts provoquée par l’inflation. Grace à cette inflation, l’argent emprunté aujourd’hui vaudra en effet beaucoup moins dans quelques années, lorsque arrivera à terme l’échéance de remboursement
                      Dernière modification par Alfassi, 20 mai 2023, 16h53.

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                      • #12

                        1- l'endettement permet de booster la croissance d'après l'exp de l'investissement dans les pommiers. QUEL EST LE TAUX DE CROISSANCE DU MAROC SUR LES CINQ DERNIÈRES ANNÉES ? Comparer avec l'Algérie.
                        Fais moi rire, ces 5 dernieres annees sont le pire Benchmark du siecle pour mesurer une quelconque politique, tu as entendu parler de COVID et economies a l'arret?
                        Et meme dans ce benchmark on s'en sort bien comparativement a d'autres pays...

                        Deuxio, l'endettement se fait pour des projets structurants avec effets induits a moyen et long terme, parfois tres long terme...

                        Tant que cet endettement est dans cette optique d'investissement et de construction d'infrastructures a meme de booster l'investissement et la consommation, il n'y a pas de souci.

                        Le probleme c'est quand on imprime des billets pour pouvoir faire manger la population sans aucune strategie de production ou d'invesetissement derriere.

                        2- L'investissement permet de créer de l'emploi en boostant l'activité économique. QUELS SONT LES MONTANTS ANNUELS DE L'INVESTISSEMENT AU MAROC CES CINQ DERNIÈRES ANNÉES ? Comparer avec l'Algérie
                        Google is your friend, tu ne me paies pas a l'heure

                        3- Si l'endettement est si bon POURQUOI LE GOUVERNEUR DE BANK EL MAGHRIB s'y est publiquement opposé ?
                        il communique regulierement, s'il s'y est publiquement opposé, il s'y est publiquement expliqué aussi.

                        CONCLUSION : La video d'une neutralite polaire, et tres bien preparee par le jeune avec chiffres et explications niveau Khochaybates est le maximum qu'on puisse faire pour vous expliquer ce que tout le monde economique sait deja

                        Desole, can't do more

                        "Tout ce qui te dérange chez les autres, c'est seulement une projection de ce que tu n'as pas résolu en toi-même" - Bouddha

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                        • #13
                          Cela dit, l'algerie a imprimé 54 mds$ en 2 ans, soit l'equivalent de 20 ans d'emprunt du maroc.
                          faut être nul pour écrire ça.

                          La banque européenne a eu recours à la planche, la fed bank aussi..

                          Djouahri a proposé l'austérité, comme ouyahia avait fait mais akhanouch n'en veut pas..

                          Commentaire


                          • #14
                            Te réponds sérieusement

                            5 dernieres annees sont le pire Benchmark
                            tu ne comprends pas le terme. Le benchmarking est la veille technologique non l'analyse des résultats.

                            Pour le reste, si tu compares les invest depuis l'an 2000, tu vas déchanter.. Because BOIT hydrocarbure. En revanche, Bouteflika a cherché des invest sans céder les entreprises (loi 51/49) et le maroc a choisi de forcer l'invest en cédant les entreprises d'état.

                            en résumé, les dernières années le maroc a vendu une image de leader en vaccination et en mise au pas de la population pour soit disant protéger l'outil de production pour au final se retrouver avec la pire récession et la plus mauvaise prévision 2023.

                            Last but not least, le maroc semble englué dans des querelles byzantines de pétrole russe, gaz espagnol, sandoq maqasa, maghrib vert, export d'eau vert etc.. Aucune stratégie économique ne semble émerger.

                            À côté, il y a fiat avec accord de taux d'intégration, il y a le gazoduc, l'hydrogène vert et le câble électrique, la france négocie des projets importants, le brics...
                            Dernière modification par Tizwel, 20 mai 2023, 17h54.

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                            • #15
                              tu ne comprends pas le terme. Le benchmarking est la veille technologique non l'analyse des résultats.

                              il ne maque que des croutons a cette soupe de mots clés qui sont juste collés l'un à l'autre et qui n'ont aucun sens. Encore une fois, désolé, mais c'est inutile de parler d'economie entre un pays liberal comme le Maroc avec des strategies sectorielles a objectis chiffres et echeancier defini a l'avance et un pays socialiste comme l'Algerie, l'un vit toujours dans les annees 60 et l'autre a avancé avec le monde.
                              Dernière modification par ayoub7, 20 mai 2023, 18h13.
                              "Tout ce qui te dérange chez les autres, c'est seulement une projection de ce que tu n'as pas résolu en toi-même" - Bouddha

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