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Une étude révèle que le Maroc est parfaitement positionné pour devenir un acteur majeur de la production d’hydrogène vert, avec un coût estimé à environ 1 dollar par kilogramme. Cette performance économique est rendue possible grâce aux ressources abondantes en énergie solaire et éolienne dont dispose le pays. De plus, sa proximité avec l’Union européenne (UE) renforce sa compétitivité sur le marché mondial.
Selon les conclusions d’une étude réalisée par le cabinet de conseil international « Deloitte« , le Maroc devrait être parmi les premiers exportateurs d’hydrogène vert dans le futur, suivi par l’Arabie saoudite et le Chili. Quant aux principaux importateurs, ils seraient l’Espagne, le Royaume-Uni et le Japon.
Ces perspectives encourageantes interviennent alors que le gouvernement marocain s’apprête à mettre à jour sa stratégie dans le domaine de l’hydrogène vert. L’objectif est de stimuler les investissements dans ce secteur qui attire déjà d’importants capitaux du monde entier.
Il apparaît clairement que le marché émergent de l’hydrogène vert redessinera la carte énergétique mondiale dès le début des années 2030. On estime qu’il représentera une valeur annuelle de 1,4 billion de dollars d’ici 2050.
L’étude souligne également que la transition vers les énergies vertes gagne du terrain alors que les gouvernements et l’industrie mondiale cherchent à faire face au changement climatique tout en renforçant la sécurité énergétique. Les entreprises privées, les institutions de recherche, les organismes de réglementation et les investisseurs unissent leurs efforts pour éliminer les émissions de carbone.
Dans cette perspective, l’hydrogène vert propre jouera un rôle crucial dans l’atteinte de la neutralité climatique, qui exige une réduction significative des émissions de gaz à effet de serre. On estime que le marché de l’hydrogène vert passera de 642 milliards de dollars de revenus en 2030 à 1,4 billion de dollars par an d’ici 2050, représentant ainsi 85% du marché mondial de l’hydrogène.
L’étude souligne que l’hydrogène vert offre le coût le plus bas pour éliminer le carbone de l’économie mondiale, tout en créant des opportunités de développement durable pour les économies émergentes en Afrique, en Amérique latine et dans le Pacifique, ainsi que pour des pays tels que l’Australie, les États-Unis et les pays du Golfe.
Selon l’étude de Deloitte, l’économie de l’hydrogène vert pourrait créer un million d’emplois chaque année d’ici 2030, avec une accélération de ce rythme au cours des deux prochaines décennies, atteignant ainsi 1,5 million d’emplois dans les pays en développement.
Afin d’atteindre la neutralité climatique d’ici 2050, la demande en hydrogène vert pourrait passer de 170 millions de tonnes en 2030 à 600 millions de tonnes en 2050. Cette demande proviendra initialement des efforts de décarbonisation de l’industrie existante, en particulier dans la fabrication d’engrais, puis s’étendra aux secteurs de l’acier, de la chimie et du transport.
hespress
Selon les conclusions d’une étude réalisée par le cabinet de conseil international « Deloitte« , le Maroc devrait être parmi les premiers exportateurs d’hydrogène vert dans le futur, suivi par l’Arabie saoudite et le Chili. Quant aux principaux importateurs, ils seraient l’Espagne, le Royaume-Uni et le Japon.
Ces perspectives encourageantes interviennent alors que le gouvernement marocain s’apprête à mettre à jour sa stratégie dans le domaine de l’hydrogène vert. L’objectif est de stimuler les investissements dans ce secteur qui attire déjà d’importants capitaux du monde entier.
Il apparaît clairement que le marché émergent de l’hydrogène vert redessinera la carte énergétique mondiale dès le début des années 2030. On estime qu’il représentera une valeur annuelle de 1,4 billion de dollars d’ici 2050.
L’étude souligne également que la transition vers les énergies vertes gagne du terrain alors que les gouvernements et l’industrie mondiale cherchent à faire face au changement climatique tout en renforçant la sécurité énergétique. Les entreprises privées, les institutions de recherche, les organismes de réglementation et les investisseurs unissent leurs efforts pour éliminer les émissions de carbone.
Dans cette perspective, l’hydrogène vert propre jouera un rôle crucial dans l’atteinte de la neutralité climatique, qui exige une réduction significative des émissions de gaz à effet de serre. On estime que le marché de l’hydrogène vert passera de 642 milliards de dollars de revenus en 2030 à 1,4 billion de dollars par an d’ici 2050, représentant ainsi 85% du marché mondial de l’hydrogène.
L’étude souligne que l’hydrogène vert offre le coût le plus bas pour éliminer le carbone de l’économie mondiale, tout en créant des opportunités de développement durable pour les économies émergentes en Afrique, en Amérique latine et dans le Pacifique, ainsi que pour des pays tels que l’Australie, les États-Unis et les pays du Golfe.
Selon l’étude de Deloitte, l’économie de l’hydrogène vert pourrait créer un million d’emplois chaque année d’ici 2030, avec une accélération de ce rythme au cours des deux prochaines décennies, atteignant ainsi 1,5 million d’emplois dans les pays en développement.
Afin d’atteindre la neutralité climatique d’ici 2050, la demande en hydrogène vert pourrait passer de 170 millions de tonnes en 2030 à 600 millions de tonnes en 2050. Cette demande proviendra initialement des efforts de décarbonisation de l’industrie existante, en particulier dans la fabrication d’engrais, puis s’étendra aux secteurs de l’acier, de la chimie et du transport.
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